«Encore et toujours la même scène», constate le quotidien Nice-Matin. Ce 17 juillet 2017, dans la matinée, quelque 130 migrants sont arrivés par train dans le centre-ville de Nice. Bloqués à Vintimille, les réfugiés ont fait un crochet par la commune de Breil-sur-Roya, village d'un peu plus de 2 300 habitants situé à la frontière entre la France et l'Italie, où réside un certain Cédric Herrou, connu pour son aide apportée aux migrants.
Après son arrivée en gare de Nice, le convoi a été escorté par la police ainsi que des militants d'une association d'aide aux migrants, «Roya Citoyenne», afin que les réfugiés puissent déposer leurs dossiers auprès de la Plateforme d'aide aux demandeurs d'asile (Pada).
En attendant que leurs demandes soient traitée, rapporte Nice-Matin, les migrants prendront leurs quartiers dans le parc départemental d'Estienne d'Orves. «Ce parc urbain de 15 hectares au cœur de Nice est composé d'une oliveraie [...] de sentiers agréables et d'une belle aire de jeux pour enfants», détaille le site récréanice.
Le 7 juin, parmi d'autres convois réguliers, Cédric Herrou et l'association Roya Citoyenne avaient déjà acheminé plus de 80 migrants dans le centre-ville de Nice. Un record battu ce 17 juillet.
Extrait de: Source et auteur
Nooon, pas à Nissa (Nice en français), qui était un comtat indépendant jusqu’en 1860, avant qu’il soit annexé par la France, 30 ans après l’Algérie. Le pays nissart n’a jamais colonisé personne, et il ne mérite pas qu’on lui fourgue tous les immigrés qui passent la frontière italienne. Pauvre Nice, quel destin que ce destin français ignoble !
et les touristes ils en disent quoi?