France : il a 18,34 de moyenne au bac mais est recalé à la fac à cause du tirage au sort mis en place par Najat Belkhacem

On est un pays qui marche totalement sur sa tête, que dire lorsqu’on lit un titre pareil, que penser d’une société qui recale ses élèves les plus brillants pour placer tout en haut les plus nuls. Tout ça sous couvert d’une idéologie égalitariste. Peut-être que c’est moi tout simplement qui suis complètement dingue ou bien mes valeurs sont en réalité totalement biaisées depuis ma plus tendre enfance. Je ne sais pas, suis-je réellement le problème ?
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3 commentaires

  1. Posté par Anne Lauwaert le

    En Flandres il y a quelques années la petite-fille d’une cousine voulait faire médecine. Bonne élève « sérieuse » sortant d’un collège de jésuites, elle ne figurait pas parmi les meilleurs qui étaient pris à l’examen d’entrée auquel participaient des centaines de Hollandais, Allemands, Français etc qui chez eux ne trouvaient pas de place et raflaient les places en Belgique. La petite cousine a dû faire des années de détours via pharmacie etc pour quand même retourner vers médecine qu’elle a terminé brillamment…
    Que de temps et d’argent perdus – en plus le contribuable belge paye pour l’enseignement duquel bénéficient les étrangers… cerise : en Belgique grâce au numerus clausus les médecins manquent et on engage des étrangers qui ne connaissent pas la langue de leurs patients… et on finance les ONG qui envoient des médecins dans le Tiers Monde dont les médecins viennent travailler en Belgique…

  2. Posté par Debaia le

    En plus le tirage au sort permet les plus belles magouilles….

  3. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Pour le projet cosmopolite, il est urgent de baisser de plus en plus le niveau du peuple pour mieux réussir à les occuper par du pain et des jeux, et surtout en faire des consommateurs qui achèteront les « marques » et les produits qu’on leur vend.
    Ce niveau aux ras des pâquerettes assurera aussi l’integration du peuple d’origine dans les peuplades qui arrivent. Plus on baisse le dénominateur commun, plus « l’integration » se déroulera sans problèmes.
    L’égalité devant le rayon du supermarché, la fraternité pour tous sauf envers ses vrais frères, et la liberté de consommer ce qu’on vous dicte – voila la nouvelle devise de la France.

Et vous, qu'en pensez vous ?

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