Parmi les 2249 couples mariés l’an passé, 1075 étaient mixtes, soit 48% d’entre eux. Les conjoints franco-suisses ont été 246 à se passer la bague au doigt en 2016.
Les unions entre Suisses et Kosovars, Portugais, Italiens ou Espagnols constituent les autres principaux mariages mixtes.
Nos remerciements à
Il fut un temps où c’était une question de choix, à un moment où l’immigration était « raisonnée »,c’est à dire il y a environ quarante ans.
J’ai donc connu des couples heureux d’être mixte et ne se vivant pas « assis entre deux chaises » parce que celui qui n’était pas autochtone de naissance était agréablement assimilé.
tout en sachant d’où il venait.
Aujourd’hui, l’assimilation serait presque un délit. L’intégration une atteinte à l’intégrité de la personne..
Dans le futur, si le tsunami migratoire n’est pas contenu, ce sera une banalité ou une obligation. Selon ce que l’avenir nous réservera.
Vive les accords Schengen, ces accords sont en train de tuer notre pays. Vous voyez le travail de brassage des entités culturelles initié par les internationalistes, voilà un parfait exemple à l’échelle micro.
Si, peut-être, cela renouvelle un peu l’ADN de ces personnes, d’un autre côté cela va engendrer des rejetons binationaux, qui devront choisir entre le pays de papa ou le pays de maman, mais qui de toute façon se sentiront moins intégrés par le manque de racines solides et univoques. Ajoutez à cela un probable environnement multiculti composé de nombreuses communautés, comment construiront-ils alors un véritable sentiment patriotique ?