Sur la carte de sécurité sociale du bébé canadien Searyl Alti, la case sexe n’est remplie ni par un M. pour « mâle » ni par un F pour « female », mais par un « u » pour « undetermined ». L’enfant, âgé de huit mois, a tout d’un petit garçon, mais son parent, lui même transgenre, refuse de l’inscrire dans un genre avant qu’il n’ait lui même décidé.
Pour être sûr de ne pas contraindre sa liberté de choix, il préfère même employer le pronom pluriel « they » plutôt que « she » ou « he » quand il parle de Searyl, et ce jusqu’à ce que ce dernier soit lui même en mesure d’exprimer qui il est.
Respectant ce souhait étonnant, les autorités sanitaires ont accepté de lui remettre un document officiel non genré. C’est une première, emblématique des inquiétants progrès de la théorie du genre au Canada.
C’est de la maltraitance grave sur enfant et cela devrait être sévèrement réprimé par la loi, si ce mot avait encore un sens.
Je ne parviens pas à considérer ce pauvre gosse comme un ratage total par la faute de ses parent et du gouvernement québécois !
Merci encore une fois les socialauds !
Confusion des genres afin de mieux manipuler les populations.
C’est pareil avec la légalisation du mariage homosexuel; l’agenda qui est derrière est tout sauf glorieux. Et nous sommes les fossoyeurs de notre propre tombe, car obnubilés par le spectacle, nous oublions de regarder le marionnettiste.
Les homosexuels vont défendre becs et ongles leurs droits à l’égalité, et ils ont raison, sauf lorsque ils laissent des gouvernements belliqueux dicter ces droits.
Pour en revenir au sujet, ce bébé a bel et bien un genre, pourquoi le nier? Et quelle est l’étape suivante ? Tous les bébés seront dorénavant « sans genre », le temps qu’ils décident ? Pourtant la génétique a déjà décidé.
La théorie du genre est maintenant inscrite dans la loi au Canada…
http://www.cqv.qc.ca/le_canada_promulgue_une_loi_radicale_imposant_l_acceptation_de_la_theorie_du_genre