L’échec cuisant du « vivre-ensemble » suédois

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Le festival de rock de Bravalla, en Suède, n’aura pas lieu l’année prochaine. Trop, c’est trop, les organisateurs ont décidé samedi de jeter l’éponge après la nouvelle vague de viols et d’agressions sexuelles. Attouchements, masturbation en public, viol d’une jeune femme dans les toilettes, d’une autre au camping, et encore d’une adolescente de 15 ans au milieu de la foule pendant le concert du musicien suédois Hakan Helström : la police a enregistré en tout cinq plaintes pour viol et quinze pour agressions sexuelles caractérisées. Les brassards anti-attouchements remis par la police et les tracts distribués par les féministes avec des « astuces pour éviter les viols » n’y font rien, la Suède progressiste et multiculturelle est désormais un pays où il ne fait vraiment pas bon être une jeune fille ou une femme.

La police ne donne aucune indication sur l’origine de suspects, mais les auteurs des agressions sexuelles dont avaient été victimes 40 jeunes filles au même festival l’année dernière avaient été décrits comme « d’origine étrangère ». Ce n’est en effet sans doute pas un hasard si le nombre d’agressions sexuelles dans les festivals de musique suédois avait augmenté, selon un rapport de l’ONG Nattskiftet, de 1 000 % (mille pour cent) entre 2015 et 2016, après le tsunami migratoire de l’automne 2015.

Et ce n’est pas le seul problème créé par la politique immigrationniste du gouvernement social-démocrate de Stefan Löfven. Fin juin, le directeur de la police, Dan Eliasson, présentait un rapport montrant une multiplication des zones de non-droit. Il y a désormais 61 zones « vulnérables » en Suède, dont au moins 23 où la police ne s’aventure plus (contre 15 il y a un an), et il s’agit principalement de quartiers à forte population immigrée. Eliasson a mis en garde contre une possible rupture du contrat social en Suède, tandis qu’une proportion croissante de policiers suédois envisagent de changer de métier.

Autre effet du « vivre-ensemble », le nombre d’islamistes potentiellement violents recensés en Suède a été multiplié par dix depuis le début de la décennie, et il atteint désormais 2 000. Environ 140 djihadistes sont par ailleurs rentrés de Syrie. Au retour, certains bénéficient d’un programme de protection du gouvernement et d’une nouvelle identité pour leur permettre de recommencer leur vie incognito en Suède… ou ailleurs en Europe !

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4 commentaires

  1. Posté par blum le

    Mais qu’ils le maintiennent ce festival, les Suédois!
    Je puis vous certifier ( expérience vécue en 2012, avec une cinquantaine d’amis de mon fils,
    « métalleux ») que les mahométans abhorrent le rock et le « métal » !
    Raison pour laquelle j’avais pris soin, pressentant qqch de pas commun, lors de l’enterrement
    d’un jeune homme — qui venait de faire connaissance avec son père, égyptien, à 27 ANS, — de prendre un CD de la chanteuse de METAL finlandaise: TARJA.
    L’ami de mon fils n’avait pas été élevé par sa mère, dans l’islam.
    Eh bien le père, se chargeant des obsèques de son fils récemment retrouvé, le fit enterre r islamiquement, avec un horrible cortège de voilées et de types en babouches.
    Spectacle à hurler.
    Je fis passer à la compagne du jeune défunt le CD que j’avais apporté
    Vite fait, elle chercha les musiques de « métal » sur son portable; les mit à fond.
    Les islamistes déguerpirent! Quelques-uns nous prirent en photo.
    Plus largement: souvenez-vous du BATACLAN.
    Nous devons maintenir nos concerts.
    Pour ceux que cela intéresse, tapez NIGHTWISH ; et Tarja.
    Vous entendrez des musiques superbes; Tarja a une voix à couper le souffle.
    Et, de plus, elle est belle.

  2. Posté par Tommy le

    A Anne @

    Non, les organisateurs de ces festivals sont tous des gauchistes bien-pensants .
    Nous en avons notre lot chez nous en Suisse .
    Musique  » world », tam-tam, balafon, didgeridoo et autres ont remplacé Ludwig Van Beethoven depuis longtemps .
    Je reste toujours autant fan des seventies pour autant.

  3. Posté par meloe le

    Voilà qui est fort bien dit.
    Mais, part les temps qui courent, l’ humour … » la politesse du désespoir »?

  4. Posté par Anne Lauwaert le

    Que des femmes se fassent violer tout le monde s’en fout, mais si on commence à supprimer les festivals, là, on touche au portemonnaie des organisateurs et des zartistes… alors là y a p’têt kekchoos qui va bouger…

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