Par Audrey D’Aguanno
12’000 débarquements de migrants en 48 heures dans les ports de Sicile et de Calabre, voilà le rythme vertigineux de l’invasion à laquelle doit faire face l’Italie. Plusieurs dirigeants politiques de premier plan ont dénoncé le caractère insoutenable de la situation. Le 13 juin, le jeune maire Cinq étoiles de Rome Virginia Raggi, qui considère pourtant les immigrés comme une « ressource » (variante italienne d’une « chance pour la France »), écrivait une lettre au préfet de la capitale demandant un moratoire sur les arrivées de ces derniers (« Rome est soumise à une forte poussée migratoire, on ne peut plus continuer ainsi »), jugeant opportunément qu’après un petit revers électoral, « il est temps d’écouter les citoyens romains ». Dans le même registre, hier, le chef d’État italien, Sergio Mattarella, a réitéré l’isolement de sa nation et le peu de participation de l’Union européenne en matière de sauvetages et de prise en charge des clandestins, depuis le Canada où il est en visite officielle. « Un pays seul n’y arrivera pas. La collaboration internationale est nécessaire, mais certains pays de l’Europe restent insensibles. »
Propos devancés par ceux du président autrichien, Alexander Van der Bellen, qui avait qualifié d’« insoutenable » la situation de l’Italie face au problème, ajoutant qu’« il faudra trouver des accords avec les États africains pour faire en sorte que ces personnes ne sentent plus la nécessité de risquer leur vie en traversant la mer sur des canots ». Une lettre officielle du gouvernement a été envoyée au commissaire aux Migrations Dimítris Avramópoulos, pour mettre à l’agenda le thème des débarquements sur les côtes italiennes. Il sera abordé lors de la réunion informelle des ministres de l’Intérieur de l’Union à Tallinn la semaine prochaine. Une avancée, du changement, un progrès ? Il n’en est rien : à aucun moment il ne s’agit d’une réelle dénonciation de la substitution de population en cours en Europe, les actions ci-dessus mentionnées ne visent qu’à une répartition plus « équitable » des demandeurs d’asile dans les différents pays membres de l’Union et à de majeures ressources financières, jamais un quelconque arrêt des flux.
Et pendant ce temps-là, on tape sur les véritables opposants au Grand Remplacement, et on tape fort : ce sont au total 60 ans de condamnation qui ont été requis par le procurateur de la République contre neuf militants de CasaPound accusés de résistance aggravée durant les affrontements de Casale San Nicola, où ils avaient tenté de bloquer, aux côtés des habitants, l’arrivée d’un bus de migrants.
Condamnation ahurissante qui survient quelques jours seulement après la manifestation à Rome où ils ont réuni 5.000 participants contre le projet de loi visant à imposer le droit du sol dans la péninsule. Une loi qui aurait un impact irrémédiable si elle venait à être appliquée dans cette partie du monde soumise à une immigration massive incontrôlée.
Source : Boulevard Voltaire
de toute façon c est la faute des Italiens , ils l ont eux même provoqué cette invasion , allocations sociales diverses…ils traversent la mer pour l argent en risquant leur vie , c est les gauchistes qui sont responsable de ce fiasco , quand ils en prennent un , il rapporte la bonne nouvelle prenant l Europe pour un ELDORADO et ils arrivent par millions , c est la que l on voit que la politique des gauchistes depuis des décennies est catastrophique mais ces cons sont incapable de se remettre en question et la même politique continue jusqu’à mettre notre civilisation en péril ; il faudra la guerre en Europe pour faire un électrochoc, sinon ils continueront dans la même voie
S’il n’y a ni enfants, ni femmes, ni vieillards parmi ces millions d’envahisseurs mahométans, alors ce sont des guerriers que merkel et juncker, lauréats du prix kalergi, font venir en europe pour une raison bien précise qui n’a rien à voir avec le travail. Et pour l’instant, ces prédateurs violents, haineux, voleurs, violeurs et criminels protégés n’ont montré qu’une infime partie de leur » talent ». Les italiens nomment ça » antipasti ».
Nous n’avons pas à accueillir des clandestins, des colons croyant débarquer au Far West et nous prenant pour des Indiens. En pire, ils ne construiront rien, ils ne développeront rien. Ils sont là pour exiger. Le devoir de toute civilisation digne de ce nom est de repousser les envahisseurs déterminés à ronger ce qui a été patiemment construit. Nous ne devons rien à ces gens, absolument rien.
Tous ces politiciens essaient de faire payer aux peuples les problèmes qu’ils ont eux-mêmes créé par ignorance, lâcheté, opportunisme.
La pastèque autrichienne ne semble pas vraiment au courant que ces parasites ne traversent plus la mer ?….c’est devenu depuis longtemps des voyages organisés à quelques kilomètres des côtes Libyenne !….et il est hors de question que les autres pays « aident » l’Italie…..c’est RETOUR SYTHEMATIQUE en Lybie si on veut arrêter ce bordel !….
Le président autrichien, Alexander Van der Bellen ajoutant qu’« il faudra … faire en sorte que ces personnes ne sentent plus la nécessité de risquer leur vie en traversant la mer sur des canots».
Soit ce croûton a raté un épisode du feuilleton « les envahisseurs 2017 » et il ignore vraiment qu’ils sont confortablement transférés en frégate, soit il prend vraiment ses citoyens pour des cons.