LA FAMILLE JNEID FAIT CONFIANCE A LA JUSTICE : « LE DOUANIER SUISSE A FAUTÉ, IL DOIT PAYER »

C’est ainsi que Le Matin titre la page consacrée à nouveau à la famille syrienne qui est entrée dans notre pays en 2014 sans autorisation de séjour valable, dans l’espoir de trouver en France une meilleure planque que celle que l’Italie leur offrait. L’épouse d’Omar, Souha, était enceinte de son troisième enfant lorsqu’ils ont pris le risque de cette escapade, et elle a fait une fausse couche.

Puis, avec l’aide des ONG et des journalistes, cette fausse couche a été enflée en drame humanitaire.

 

Rappelons les faits déjà relatés dans le Matin en 2015:

[…] « La fausse couche de la jeune Souha Jneid a été constatée par les médecins de l’hôpital de Domodossola (I), le 5 juillet 2014 à 19h20. Depuis, deux enquêtes ont été ouvertes pour connaître les raisons de la mort de ce foetus de 7 mois. Une première, en Italie, par la justice ordinaire. Une deuxième par la justice militaire suisse contre le chef de jour de la section du Corps des gardes-frontière suisses, qui escortait cette famille de réfugiés syriens depuis Vallorbe (VD) pour les remettre à la police des frontières italienne. Les deux cas font principalement état de soupçons d’homicide par négligence, d’omission de prêter secours, de mise en danger de la vie d’autrui et d’interruption de grossesse punissable.

[…] Le piétinement de cette affaire dramatique s’explique aussi, et surtout, par sa complexité juridique. «Encore aujourd’hui, nous ne savons pas où est mort le foetus», explique Daniele Fortis, l’avocat de la famille en Italie. […] L’heure exacte du drame permettrait de savoir dans quel pays il a eu lieu. Et donc de préciser les responsabilités des uns et des autres. De 6 à 9 heures ce jour-là, la famille de Souha était en France. De 9 à 19 heures, ils étaient en Suisse, et dès 19 heures, en Italie.

[…] Le fœtus était-il déjà mort au moment des premières contractions? Si c’était le cas, ne serait-il pas considéré comme une personnalité juridique? Toujours dans cette hypothèse, le procureur militaire pourrait-il alors abandonner, par exemple, les charges d’homicide par négligence et blanchir le garde-frontière? Tobias Kühne, porte-parole de la justice militaire, ne fait aucun commentaire en raison de l’enquête en cours. Il ne veut pas non plus préciser quels soupçons pèsent sur les épaules du douanier sous enquête. Dans l’attente de la fin des investigations, l’homme continue d’ailleurs à travailler. Tobias Kühne précise que l’enquête ne se limite pas au seul enfant mort-né, mais aussi à la mère et à toute sa famille. […]»

 

Omar répète inlassablement aux journalistes à l’écoute: «Le douanier a fauté, il doit payer».

La famille Jneid a obtenu l’asile en 2014 en Italie. Mais ce pays est un pis-aller, ils avaient rêvé mieux:

«Ici, c'est la crise. Il n'y a pas d'argent, pas de travail. Le parti de la Ligue du Nord n'aime pas les étrangers.»

Puis, Omar, le père, essaie de nous arracher des larmes en racontant qu’il achète des jouets aux enfants et qu’il les leur donne en disant qu’il s’agit d’un cadeau du fœtus décédé, qu’ils ont «baptisé» Sara ... (Le père manipulateur rajoute encore une autre névrose à la « névrose d’Allah»: les cadeaux donnés par le fœtus décédé, ça promet pour leur progéniture!)

Et sans avoir travaillé un jour depuis qu’il a foulé le sol de l’Europe, «le clan s’est agrandi depuis, Ibrahim est né le 27 juillet 2015.»

Tout ce qu’ils reçoivent est très insuffisant par rapport aux espoirs qui les avaient amenés en Europe. Un chantage vis-à-vis du douanier (et des contribuables) est en cours.

Cette famille sera toujours assistée pour tout (y compris les frais dentaires, hors de portée pour beaucoup d'Italiens), elle va continuer de s'agrandir (c’est Allah qui paie), et tous seront frustrés et revendicateurs à vie avec tous les risques que cela fait courir au pays d'accueil.

[…] «Le procès devra déterminer si, à Brigue, le fœtus était encore en vie et si les premières vraies contractions de l’accouchement avaient commencé, explique la porte parole de la justice militaire Danièla Cueni. Si tel est le cas, la responsabilité du garde-frontière serait aggravée. Il pourrait être condamné pour homicide volontaire et risquerait au moins 5 ans de prison. A l’inverse, si le fœtus était déjà mort à l’arrivée à Brigue, le meurtre ne pourrait pas être invoqué.» […]

 

https://www.pressreader.com/switzerland/le-matin/20150419/281870116973744

http://www.lematin.ch/suisse/parents-enfant-syrien-decede-racontent/story/20034101

http://www.pressdisplay.com/pressdisplay/mobile/articleview.aspx?articleId=e144fedc-8682-4768-970c-63bf01b0e954

 

Cenator, 21 juin 2017

18 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Suite et fin. Le douanier pas trop condamné, mais devait-il l’être ? Dans letemps.ch on apprend que les « parents » revendiquaient € 870’000.-+ € 400’000.- soit
    C H F 1 ‘ 5 2 4 ‘ 0 0 0 .-
    pour la mort de leur enfant à naître, ce qui démontre bien pour qu’elles raisons ils sont venus en Suisse. Et LES JOURNALISTE COUARD N’A PAS JUGE BON DE FAIRE LE CALCUL TOTAL EN FRANCS, pour ne pas favoriser le racisme… évidemment.

    Ces zigotos étaient vraisemblablement de la même espèce que les parents du petit Aylan Kurdi… qui ont participés indirectement à une mise en scène scandaleuse au profit de la propagande pro-faux réfugiés, alors que le père espérait se faire refaire le dentier aux frais des contribuables allemands, du vulgaire tourisme sanitaire sous prétexte d’asile.

    Notez bien au passage « Si on estime qu’à l’arrivée à Brigue le bébé était déjà mort » « A l’hôpital de Domodossola, les médecins italiens n’ont pu que constater la mort du bébé, causée par un manque d’oxygène, suite à un décollement partiel du placenta. » Dommage que la justice n’ait pas eu en main le dossier médical, parce que vu la rapacité des ces industriels de la natalité, on aurait pu déterminer réellement s’ils n’avaient pas pris le train avec un cadavre dans le tiroir et explorer plus loin pour vérifier si l’enfant n’avait pas été volontairement violenté depuis l’extérieur (décollement partiel du placenta). Quand on connait les méthodes islamiques à l’égard des femmes c’est autre chose que celles du douanier qui dans la réalité pouvait parfaitement se douter de quelque choses d’étranges, mais naturellement pas d’une affaire montée de toute pièce. En tout cas l’avocat qui avait fait miroiter le pactole n’avait pas perdu le nord.

    https://www.letemps.ch/suisse/2017/12/07/mort-in-utero-lors-renvoi-dune-syrienne-un-douanier-reconnu-coupable
    https://www.letemps.ch/suisse/2017/11/23/monde-etait-responsable-dappeler-un-medecin

  2. Posté par pépé le moko le

    il va falloir que nos autorités commencent a soutenir son propre peuple et non plus tous les envahisseurs qui arrivent sans-gene pour nous !
    Dans le Matin Dimanche, un reportage sur le kidnappeur de Lausanne, le journaliste décrit la crapule avec des mots tendres, il accuse carrément la Suisse et ses habitants qui auraient poussé ce monsieur saraoui a la dépression et a ces gestes de désespoir !!!

  3. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Le monde est bien tombé sur la tête.

  4. Posté par Maurice le

    « Il doit payer. »
    Mais il doit payer quoi, combien, à qui ? Cela sous-entendrait-il que cette famille cherche à monnayer son fœtus mort ? Sans compter que ce ne sont assurément pas des réfugiés, car les vrais réfugiés se comportent autrement et sont extrêmement peu nombreux surtout les Syriens, qui sont restés dans leur pays, soit pour aider à sa libération, soit, lorsque ce n’était pas possible, ils sont allés se réfugier auprès d’amis ou de famille dans d’autres villes de la Syrie, ou alors ils sont allés rejoindre les camps du Liban. En réalité, ces gens ont vraisemblablement profité d’une vague de migrants alléchés par les promesses des passeurs. Et maintenant, c’est l’un des nôtres, un douanier consciencieux, qui doit payer pour ces malfrats niais et revendicateurs…

  5. Posté par SD-Vintage le

    Le Monde est hypocrite comme d’habitude : pour la loi française approuvée par la gauche, dont le Monde, le foetus n’est pas un être humain. Donc pas d’homicide.

  6. Posté par Ralebol le

    Il a joué (avec la vie d’un enfant) et il a perdu. Quand on arrive d’un pays où l’on risque sa vie, on remercie le pays d’accueil et on y reste, surtout avec un épouse enceinte jusqu’aux yeux. Motivé par le droit du sol, cette hérésie que la France paie très cher, il a entrepris un voyage qui a mis sa famille en danger. Il est seul responsable. Quand à ses commentaires, on peut noter qu’il se plaint sans arrêt, ne remercie jamais. Il critique la mentalité des gens de la région où il réside. Retournons le problème et imaginons des Italiens réfugiés dans son pays à lui et qui se comporteraient de la sorte, quelle serait sa réaction? Quand au garde-frontière, je lui souhaite Bonne Chance et il est aberrant qu’il doive passer en jugement. Le monde à l’envers une fois de plus.

  7. Posté par Palador le

    La première chose qui me paraît folle, c’est que ce couple qui à déjà deux enfants veut en faire un troisième et surtout dans un pays en guerre ? Ca me fait penser à un documentaire de Fernand Melgar où une femme et son gamin de 10 ans vienne rendre visite à leur père et mari détenu justement dans ce centre nommé « La Forteresse » en attente de son expulsion vers un pays sûr. On imagine en voyant cette scène toutes les pleureuses poussant des cris hystériques. Mais cet homme est entré illégalement en Suisse, puis il s’est marié et a eu cet enfant, alors qu’il savait qu’il pouvait être expulsé. Et voilà on en revient toujours à ce chantage, en mettent les enfants en avant, et en faisant passer par le bias de documentaires bien orientés à faire passer les autorités pour d’affreux nazis voulant séparer une famille. Ce genre de documentaire est une vraie propagande pour des centaines de milliers d’immigrants qui pensent qu’en ayant des enfants on ne pourra pas les renvoyer.

  8. Posté par philippe le

    le commentateur précédent à parfaitement raison ; ce sont les parents qui ont exposé la vie fœtus. Il devaient rester là où ils avaient un status convenable. Mais bien sur il faut accuser la suisse et nos journaux ne sont la justice. Alors il la ferme et attendent le considérants de la justice !

  9. Posté par Bussy le

    Ces parasites et tous ceux qui les soutiennent vont se faire une masse de fric sur le dos de l’honnête contribuable, et vont certainement briser la vie et la carrière d’un honnête garde-frontière suisse !
    Alors que, comme le relève certains commentaires, ce sont les parents qui devraient être jugés, punis lourdement et réexpédiés d’où ils viennent, on a maintenant fait le plein de boulets en Europe, ça suffit !!!!

  10. Posté par J.J. le

    Fermez les yeux…. respirez calmement…. et pendant 40 secondes imaginez le Monde sans musulmans…. voilààààà c’est bieeeeen,,,, à présent réveillez-vous!

  11. Posté par Hervé le

    Ils veulent compliquer un cas pourtant très simple. Les parents doivent aller en prison pour la mort du fœtus et de mise en danger de deux autres enfants, ils ont entrepris un voyage dangereux bafouant le plus élémentaire bon sens et conditions pour conduire à terme la grossesse. Toutes les associations de défense de l’enfant devraient être là pour exiger le retrait de la garde des autres enfants. Avec des parents aussi irresponsables, on est en droit de craindre pour la vie des autres enfants.
    C’est pas si compliqué, c’est pourtant ce qui se passerait si c’était… des blancs.

  12. Posté par Citoyen outré le

    On ne travaille pas, mais on baise, mettant un enfant de plus à la charge de la collectivité italienne. On ose se plaindre des conditions en Italie, alors qu’en Syrie on ne vit plus, on ne fait aucun effort pour travailler. Voici le portrait édifiant d’un musulman ordinaire. Le renvoi définitif, c’est pour quand ?

  13. Posté par sophie le

    Si il était considéré comme un vrai réfugié qu’est ce qui l’empêchait de prendre l’avion avec sa famille pour venir en Europe ??? ça me fait bien rire tous ces gens qui choisissent des moyens juste horrible pour arriver en Europe car comme cela ils ne sont pas renvoyés et de plus choisissent le pays le plus généreux pour entretenir leurs multiples gamins alors que nous, pauvres autochtones, tirons la langue pour joindre le deux bouts en entretenant notre un à deux enfants, que nos vieux n’ont plus un sous pour subsister… Ils viennent, ils entretiennent de leur propre finance toute leurs enfants sinon ils repartent. On ne veut pas les stigmatiser alors qu’ils bénéficient du même traitement que les peuples autochtones!! tu fais de gamins… tu les assumes!!

  14. Posté par Fanfouet le

    Ce cas est exemplaire de la motivation qui guide toutes ces affaires dans lesquelles des musulmans sont impliqués: comme le « méchant », l' »oppresseur », le « salaud » est blanc et surtout un fonctionnaire (ici encore mieux, un fonctionnaire fédéral), il y a forcément du fric à se faire, et si possible un paquet ! Donc les avocaillons se précipitent pour soutenir la pauvre victime, prévoient toute la chaine des recours possibles (Tribunal Fédéral, Cour Européenne des Droits de l’Homme) car en fin de course, ce seront eux les bénéficiaires de tout le battage fait et aussi d’une partie du fric qu’ils auront (peut-être) pu extorquer.
    Mentalité exécrable de la part d’un type insensible, capable d’emmener sa femme enceinte dans un périple hasardeux dans le seul but que son futur moutard naisse en France où existe le droit de sol, ce qui en aurait fait un petit Français. Et grâce au regroupement familial toute la tribu aurait pu s’installer en France, ce qui semble à ses yeux bien plus intéressant que l’Italie où pourtant ils avaient été admis…

  15. Posté par Maurice le

    Merci « aldo » pour votre très-bon commentaire réaliste !

  16. Posté par Melany le

    Bon, ben maintenant qu’ils ont toute l’assistance nécessaire, (juridique, médicale, etc.) comment se fait-il que cette femme ait encore accouché d’un autre gosse ? Ici la contraception est à la disposition de toutes les femmes… Elle devrait être obligatoire à certains migrants comme cette famille ! Déjà 2 gosses à prendre en charge et ils nous en balancent un 3ème à entretenir… Y vont en faire combien ? Tant que Monsieur et Madame n’ont pas de travail, ne peuvent pas assumer leur subsistance, ils ne devraient pas avoir le droit de continuer à procréer ou ils retournent chez eux !

  17. Posté par Gérald le

    Bravo @aldo j’espère que votre com. sera lu par les idiots qui nous gouvernent

  18. Posté par aldo le

    Comme cet olibrius a été reçu par l’Italie et du coup il n’ose pas déclarer que ce sont les Italiens qui auraient dû s’occuper de son cas. Mais c’est pourtant bien le cas, puisque le temps de passage entre l’Italie, la Suisse et la France ou l’Allemagne était trop court pour que l’état de santé de sa femme ne se soit pas déclaré auparavant. Ce voyage était déjà un ineptie en Italie, démontrant à lui seul qu’il a accepté de supporter la charge du risque. Mais comme ces profiteurs ont dans la tête que c’est le droit du sol qui s’applique partout, ils renâclaient à rester en Italie, pas assez bien pour leurs ambitions de subventionnés à vie. Vous pensez bien que ce n’est pas pour bosser qu’allah leur a promis le paradis. Nous comme esclaves, cela lui convient fort bien, c’est dans ses gênes et sa culture ancestrales: pillage et mise en esclavage, la seule activité autorisée pour ces tyrans abreuvés de haines issues du coran.

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