Le Conseil Central Islamique Suisse (CCIS) avait annoncé haut et fort sa volonté de déplacer sa conférence «Longing for peace» (Aspiration à la paix) à Istanbul. Une décision qui devait mettre en relief «l'islamophobie» de la Suisse après que le Canton de Zurich et sa caisse de pension lui eurent refusé leurs locaux au World Trade Center d'Oerlikon.
Istanbul revêtait également une forte signification symbolique, car la ville a été la capitale du califat durant des siècles. Mais la conférence au Wyndham Grand Hotel ne s'est pas passée comme prévu. (...)
«Des organisateurs m'ont dit qu'il y avait des problèmes avec le son. J'ai appris par la suite que les forces de l'ordre essayaient de mettre un terme à l'événement en ordonnant à la direction de l'hôtel de couper l'électricité dans la salle où devait avoir lieu la conférence.»
On ne sait pas encore si le CCIS, si prompt à accuser la Suisse d'islamophobie, fera de même avec la Turquie. La porte-parole Janina Rashidi n'a pas voulu répondre à cette question.
Même la Turquie s’est rendue compte qu’elle avait affaire à des branquignoles !!!
Ce con de rouquin prosélyte s’est pris un retour de boomerang en pleine tronche, nul doute qu’il trouvera du monde pour l’inviter à dîner.
Ah ! Les geôles turques sont naturellement beaucoup plus dissuasives que les juges suisses. Il ne fait pas bon commenter une décision du califat. Voici la démonstration du pourquoi, s’il fallait encore le prouver, toute cette racaille islamiste ne va pas s’installer dans un de ces merveilleux pays musulmans.
Oui, contre ces tarés, on ne peut qu’être islamophobe. Ils sont prompts à accuser la Suisse, mais ont la trouille du sultan turc, qui pourrait bien en emprisonner quelques-uns, ce qui me ravirait.