L’annonce fracassante de Marion Maréchal Le Pen – Journal du mercredi 10 mai 2017

post_thumb_default

 

Marion Maréchal Le Pen quitte la politique. A quelques semaines des élections législatives, le député de Vaucluse a expliqué en exclusivité sur TV Libertés son choix de ne pas briguer un second mandat et de stopper ses activités au Front National.

Quelques jours après le verdict du second tour, le départ de Marion Maréchal Le Pen de la politique secoue une seconde fois le Front National. ( Alors que le député de Vaucluse incarnait une sensibilité conservatrice dans le parti, son retrait aura sans doute des conséquences. Un nouvel élément à prendre en compte dans la refondation du mouvement que la présidente, Marine Le Pen, a appelé de ses voeux dès dimanche soir.

1) Immigration / Porte de la Chapelle : le grand déplacement

2) Économie / La privatisation du littoral en marche

3) Société / Trafic de drogue : une économie du crime

4) International / Trump limoge le patron du FBI

5) L’actualité en bref

 

Et du côté des socialistes, l’ambiance n’est pas au beau fixe. Manuel Valls paie l’addition de ses trahisons. Esseulé entre le PS moribond et le mouvement d’Emmanuel Macron, l’ancien maire d’Evry pleure pour une investiture… Une humiliation.

Manuel Valls n’a plus la cote. Ses anciens camarades n’en veulent plus et lui font savoir… Après avoir déclaré que le Parti Socialiste était mort, ça ronfle dans les couloirs de Solférino. Du côté de la République En Marche, le parti de Macron pour les législatives… on n’est pas plus ouverts. Mardi, l’ancien premier ministre déclarait qu’il était candidat dans la circonscription d’Evry, dans l’Essonne, pour le parti du nouveau président…

L’information quant à cette investiture suggérée a été nuancée au plus vite…

Pour Jean-Paul Delevoye, le président de la commission d’investitures, l’ex-premier flic de France n’a pas envoyé de dossier pour demander une investiture. Une manière peu élégante de le renvoyer au statut de simple petit député en mal de mandat. Par ailleurs, alors que les conditions sont sans appel et que les candidats doivent apparaître avec l’étiquette ‘la république en marche”, Manuel Valls comptait jouer sur tous les tableaux en conservant en prime une étiquette PS… Un cas de figure pas possible non plus pour Jean-Christophe Cambadélis qui estime qu’il faudra choisir. Entre temps… En marche a réfléchi. Delevoye a fait savoir que Manuel Valls ne remplissait pas les critères… ajoutant qu’un candidat avait déjà été prévu pour cette circonscription…

En réalité… plusieurs problèmes sont posés par la figure de Manuel Valls. D’abord, il est l’incarnation du quinquennat Hollande qu’il a presque totalement accompagné… Accepter sa présence dans les équipes de la République en Marche accréditerait à nouveau les accusations de continuité entre François Hollande et Emmanuel Macron… Manuel Valls est en plus passé pour un traître chez beaucoup de socialistes. En effet, après avoir signé la charte de la Belle Alliance Populaire, il n’a pas tenu sa parole et n’a pas soutenu Benoît Hamon… préférant confier qu’il voterait pour l’ancien ministre de l’économie… avec déjà une idée derrière la tête. Par ailleurs, les responsables du mouvement en Marche craignent que Valls fomentent un putsch en interne à peine élu à l’Assemblée pour créer un groupe indépendant de la majorité présidentielle… Bref, la confiance règne.

Pour couronner le tout, Benoît Hamon… candidat malheureux d’un PS assassiné a fait savoir qu’il créerait son courant transpartisan après les législatives… Une nouvelle manière d’achever le Parti Socialiste… après sa candidature kamikaze à la présidentielle… En tout cas, au vu des relations entre Valls et Hamon, tout porte à croire que ce n’est pas dans ce futur mouvement que pourra se recycler l’ancien maire d’Evry… Les investitures de la république en marche seront connues jeudi à 12h, en attendant… Manuel Valls n’a plus qu’à croiser les doigts… et courber l’échine.

De son côté, Jean-Luc Mélenchon transforme son succès à la présidentielle. Le candidat de la France Insoumise tentera sa chance aux législatives… Il pourrait bien se lancer à Marseille, ville qui l’avait placé en tête au premier tour.

“Je suis partout chez moi”, voilà comment Jean-Luc Mélenchon justifie son parachutage probable à Marseille pour les législatives. Dès le soir du deuxième tour, le leader de la France Insoumise avait confié vouloir repartir au combat pour briguer un mandat à l’assemblée.

Pour lui, la priorité est donc simple, faire barrage à Emmanuel Macron. Si Mélenchon s’était refusé à donner une consigne de vote au second tour de la présidentielle, c’est bien qu’il ne voulait pas disperser les voix et les garder captives pour les législatives… Alors que la cité phocéenne l’avait placé en tête au premier tour avec 24,82 %, et des quartiers frôlant les 40 %, Mélenchon a visiblement trouvé son terrain de jeu pour s’assurer une place au Palais Bourbon… Jeudi, une petite visite de courtoisie permettra de prendre la température…

Dans un contexte où le Parti Socialiste est en pleine explosion, l’insoumis peut reprendre toute l’opposition d’extrême-gauche… Une sensibilité qui pourrait d’ailleurs être développée avec la branche plus radicale du PS… En effet, la ligne incarnée par Benoît Hamon lors de la course à l’Elysée était compatible en tout point avec celle de l’Avenir en Commun de Mélenchon… Si les querelles d’égo n’ont pas permis de rassemblement pour la présidentielle… L’insoumis a cette fois confié que si Benoît Hamon tournait le dos aux socialistes, il serait le bienvenu à ses côtés… Une déclaration qui fait écho à la volonté d’Hamon de créer son propre mouvement transpartisan… Pour autant, ce rassemblement ne devrait voir le jour qu’au lendemain des législatives. Un accord avant semble donc peu probable en l’état. Jean-Luc Mélenchon, en entrant au Palais Bourbon, s’installerait enfin dans la vie politique française de façon institutionnelle… Ce mandat le forcera toutefois à en abandonner un autre. Celui du Parlement Européen… coupant court à son prétendu combat contre Bruxelles.

 

 

1) Immigration / Porte de la Chapelle : le grand déplacement

Enième évacuation d’un camp de clandestins ! Mardi, plus d’un millier de migrants a quitté les camps sauvages installés porte de la Chapelle dans le Nord de Paris. Mais contrairement à ce que voudraient nous faire croire les medias “évacuation” ne veut pas dire “expulsion” ! Les clandestins seront en effet relogés dans des centres d’accueil et d’orientation au frais de la princesse… enfin… du contribuable. Thibault Bastide

C’est une histoire qui se répète sans fin. Pour la énième fois, un camp sauvage de clandestins a été évacué, mardi, porte de la Chapelle à Paris. Environ 1 600 migrants, pour la plupart afghans, soudanais et érythréens, ont reçu la visite – devenue habituelle – des fonctionnaires de police et des agents de la ville de Paris.

Alors que les clandestins s’entassaient pour franchir les portes du centre d’accueil situé à proximité, les pouvoirs publics leurs facilitent la tâche. En effet, ils ont tous été pris en charge et orientés vers des structures d’hébergement.

C’est le deuxième camp sauvage démantelé porte de la Chapelle en l’espace de deux mois !

Le 9 mars dernier, pas moins de 200 clandestins avaient déjà été évacués.

Il s’agit de la plus grosse opération de ce type organisée depuis l’évacuation, le 4 novembre dernier, du gigantesque bidonville de la place Stalingrad, dans le XIXème arrondissement de Paris. Pourtant,  la situation migratoire ne semble pas inquiéter le ministre du logement, Emmanuelle Cosse, présente sur les lieux au moment de l’opération. L’ancienne militante d’extrême gauche tire même un bilan plutôt positif de sa gestion de la crise…

Reloger des clandestins avec l’argent du contribuable… Ca fonctionne plutôt… Et pour cause ! De nouvelles communes vont être mises à contribution pour accueillir des clandestins notamment dans les Hauts-de-Seine, à Issy-les-Moulineaux, Malakoff et Châtenay-Malabry… Ces nouveaux centres d’accueil, à défaut de contenir l’arrivée de populations extérieures et de permettre des retours aux pays d’origine, devraient plutôt engendrer un appel d’air !

Les nouvelles agglomérations concernées par ces arrivées vont devoir faire face à un défi sécuritaire grave. Les populations migrantes étant essentiellement composées de jeunes hommes seuls, les rixes interethniques et les dangers pour les populations autochtones sont elles bien réels… Et n’en déplaise à une certaine presse… les riverains Porte de la Chapelle sont soulagés de ce départ… soulagés mais déjà inquiets de la reformation d’un nouveau camp…

A la faveur de l’arrivée des beaux jours, les passeurs devraient également intensifier leur activité en Méditerranée et favoriser l’arrivée toujours plus massive de clandestins en Europe et donc… en France !

 

2) Économie / La privatisation du littoral en marche

La privatisation du domaine public est en marche. L’Etat vient de confier à Veolia la gestion de la plage de La Baule. Non seulement l’Etat se désengage de ses missions mais en plus, il va recevoir de l’argent du concessionnaire. Natasha Koenigsberg.

Tout sera rasé : ceux qui connaissent la plage de La Baule auront encore cet été pour faire des photos souvenir de ce qui est encore aujourd’hui le domaine public. A la saison prochaine, 5,4 kilomètres de plage, soit la moitié du front de mer, seront gérés par une entreprise privée, Véolia. C’est bien sûr un hasard total si Véolia est aussi le concessionnaire de l’assainissement et de la collecte des eaux usées et de pluie sur la commune, et d’une quinzaine de collectivités voisines réunies dans une communauté d’agglomérations, depuis 2016.

Véolia assurera le nettoyage de la plage, en lieu et place de la ville et de l’Etat et refera des toilettes publiques. L’histoire ne dit pas si elles deviendront payantes, pratique en maillot de bain ! Mais Veolia va surtout détruire, puis reconstruire sur un modèle identique, toutes les baraques et guinguettes qui se trouvent aujourd’hui installées sur la plage.

Les actuels concessionnaires du domaine public deviendront alors sous-concessionnaires de Véolia. Ils ne verseront plus à l’Etat une dîme prélevée sur leur chiffre d’affaires, et calculée en fonction de celui-ci, mais à priori un loyer fixe, établi par Veolia. Et c’est là que le bas blesse : si en première année, Veolia se contentera entre guillemets de 450 000 euros, dans 4 ans, le loyer réclamé aux sous-concessionnaires de la plage devrait quasi doubler, pour atteindre plus de 800 000 euros. Sur cette somme, Véolia reversera 150 000 euros à l’Etat.

Les concessionnaires futurs sous-concessionnaires de la plage de la Baule font grise mine : ils emploient 500 personnes en saison haute, 50 CDI à l’année. Ce changement des règles du jeu menace, disent-ils, leurs modèles économiques. Au final, qui payera : le vacancier bien sûr, qui risque de voir le hot-dog frites coca augmenter pour devenir aussi cher que sur les plages méditerranéennes, si ce n’est plus.

 

3) Société / Trafic de drogue : une économie du crime

Envisager les cartels de drogue comme des entreprises ! Une idée qui peut paraître saugrenue mais qui s’avère efficace pour lutter contre ces organisations mafieuses…

Le business du trafic de drogue est il un marché comme les autres ? C’est en tout cas un angle d’analyse envisagé par Tom Wainwright, journaliste à l’hebdomadaire britannique The Economist. Spécialisé dans le domaine de la drogue, il a suivi de très près les affaires de trafics en envisageant ce domaine comme n’importe quel commerce… Sa conclusion : les lois de l’économie et celles du narcotrafic sont très proches : une offre et une demande, des prises de risques commerciaux, des cours évolutifs, un marketing spécifique….

La cocaïne par exemple, connaît une offre restreinte alors que la demande est constante : et pourtant le prix ne monte pas… Explication ? C’est la situation monopolistique d’une organisation mafieuse qui définit le cours. A la manière d’un distributeur, acheteur unique d’une marque ou d’un type de produit, les narco-trafiquants sont en mesure de déterminer les prix de ce qu’ils achètent. En Colombie par exemple, un seul groupe de trafiquant est acheteur de la feuille de coca ! En cas de baisse de la production pour des raisons météorologiques ou de maladies sur la plante, le cartel n’aura aucune obligation d’acheter la feuille plus cher… et seul le producteur devra supporter les pertes… On retrouve le même type de mécanismes avec les grandes surfaces et l’achat du lait en France : des distributeurs uniques, seuls maîtres des prix du marché…

La gestion des cours est donc semblable à celle d’une situation monopolistique mais la comparaison avec un marché économique ne s’arrête pas là !
En terme de ressources humaines, l’emploi est susceptible de connaître des règles analogues à celles en cours dans de nombreux espaces économiques : au Salvador par exemple l’appartenance à un groupe de narco-trafiquant ne dépend pas de l’offre de rémunération la plus élevée mais du lieu de naissance du travailleur. L’emploi est donc dicté par une appartenance territoriale et le changement d’organisation est impossible. Un phénomène que l’on retrouve dans l’économie de marché, avec des clauses contractuelles, et plus largement dans des économies dirigées… Ce phénomène permet  à la direction des organisation mafieuses de maintenir les bas salaires faute de concurrence…

Les trafiquants ont, comme les entreprises capitalistes, investi le domaine des nouvelles technologies de la communication pour s’ouvrir à toujours plus de marchés…
Ainsi, il existe désormais un véritable e-commerce de la coke ! Moins traditionnel que le deal de rue, ce débouché interactif a permis d’affiner l’offre : texte explicatif du produit, prix fixés au poids de manière précise, remboursement ou compensation en cas de blocage de la marchandise… Certains dealers en ligne en viennent même a proposé de la drogue dite “issue du commerce équitable” ou provenant de zone en paix…

Lutter contre le trafic de drogue implique donc aujourd’hui d’appréhender le phénomène sous un angle économique et plus seulement à travers une vision de lutte contre le crime. Mais comme toujours dans la sphère pénale et criminelle le bandit a un coup d’avance sur le policier…

 

4) International / Trump limoge le patron du FBI

Renvoi “avec effet immédiat” ! Mardi soir, Donald Trump a informé le directeur du FBI James Comey qu’il mettait fin à ses fonctions. Selon le ministère de la justice, le responsable du renseignement intérieur a manqué à son devoir et n’est pas en mesure d’assurer sa mission.

Non cela n’est pas une blague. Lorsqu’il a appris son limogeage, le patron du FBI, James Comey, aurait cru qu’il s’agissait d’une plaisanterie. Mais il n’en est rien. Donald Trump a bien pris la décision de se séparer de son directeur du renseignement intérieur sur recommandation du ministre de la justice. Pour le criminologue Xavier Raufer, l’affaire relève simplement d’un acte d’autorité :

La nouvelle a évidemment provoqué l’effroi. Le député démocrate du Michigan, John Conyers, parle de crise constitutionnelle quand d’autres comparent l’affaire à celle du Watergate sous Nixon. James Comey était toutefois très critiqué dans la classe politique. Pour le journaliste et chroniqueur pour Atlantico, Gérald Olivier, le clan d’Hillary Clinton lui reproche d’avoir favorisé l’élection de Donald Trump :

Même le camp républicain est sceptique. Richard Burr, président de la commission du renseignement du Sénat, se dit troublé par le “timing” et le raisonnement concernant ce limogeage. Selon Gérald Olivier, James Comey était également très critiqué chez les Républicains :

Pour sa part, l’ancien candidat à la Maison Blanche, John McCain, a réitéré son appel à la création d’une commission d’enquête parlementaire spéciale pour faire la lumière sur les accusations de collusion avec la Russie.

Nommé par Barack Obama, James Comey était censé diriger le FBI jusqu’en 2023 mais la loi autorise le président à limoger le directeur de la police fédérale. La recherche de son successeur a déjà commencé.

 

5) L’actualité en bref

Passation de pouvoir en Corée du Sud ! Le progressiste Moon Jae-in est entré en fonction ce mercredi après sa large victoire à l’élection présidentielle. Arrivé en tête plus de 41 % des voix devant le conservateur Hong Jun-pyo et ses 24 % de suffrages, il est le premier président progressiste depuis une décennie. Moon Jae-in souhaite relancer le dialogue avec le voisin nord-coréen et se dit prêt à faire un voyage diplomatique à Pyongyang. Il est également favorable à la réouverture d’une coopération économique avec le Nord en réactivant la zone industrielle de Kaesong où des entreprises sud-coréennes emploient des travailleurs de Corée du Nord. Il entend aussi resserrer les liens avec la Chine et le Japon sans pour autant se départir de sa proximité avec Washington. Cette élection est un fait politique fort après les déclarations guerrières de Donald Trump.

***

Le RSA pour les clandestins ! Un décret publié, dimanche, au Journal officiel vient chambouler l’accès aux allocations pour les étrangers. L’allocation temporaire d’attente est ainsi supprimée au profit d’un accès plus large, en termes de durée et de montant, avec le RSA, le Revenu de Solidarité Active. Sensible au cumul des rémunérations, le décret prévoit la possibilité de bénéficier du RSA, de la Garantie Jeune ou encore du parcours d’accompagnement contractualisé vers l’emploi et vers l’autonomie.

***

L’art contemporain à nouveau démasqué ! Deux étudiants écossais ont joué un bien vilain tour aux responsables d’une exposition intitulée “look again” soit “Regarde encore”. Ces deux jeunes trublions ont tout simplement placé un ananas sur une banale caisse vide de l’exposition. L’assistante culturelle de cet événement artistique a expliqué avoir fait placer le fruit sous verre croyant qu’il s’agissait d’une œuvre parmi les autres. Une fois la supercherie révélée par les étudiants blagueurs, l’organisation a finalement choisi de conserver la “désormais” œuvre d’art qui je cite “rentre dans l’esprit joueur de cette exposition”.

***

Et une courte page archéologie à présent ! Le chantier d’un magasin Lidl dans le Pas-de-Calais a permis la découverte d’une nécropole datant du 1er siècle de notre ère. Six sépultures ont été mises au jour dans la petite ville de Marquise : trois tombes de crémations en pleine terre et trois autres, plus rares, maçonnées en pierre. Des vestiges qui témoignent de la présence probable de personnages importants. Malheureusement, les tombes ont été pillées par le passé. Les archéologues disposent d’encore cinq jours pour leurs recherches car après ce délai, les travaux recommenceront et feront de ce temple des âmes défuntes un temple de la consommation à bas coût !

Cet article L’annonce fracassante de Marion Maréchal Le Pen – Journal du mercredi 10 mai 2017 est apparu en premier sur TVLibertés - 1er media de Réinformation de France.

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

2 commentaires

  1. Posté par Sancenay le

    la propaganda staffel a déjà tellement peur que Marion revienne, qu’une journalope s’est ingénié à tenter de l’enterrer vivante en déclarant sur une onde:  » elle a fait un calcul démoniaque ( sic !) pour revenir en 2022 « .L’ineffable adjoint à la sécurité à Nice, Estrosisi n’ a pas manqué également de se « motoriser » à faire preuve à cet égard de son abyssale goujaterie.

  2. Posté par Sancenay le

    Dans le même cadre que le cadenassage de la vie politique française par le NOM au moyen de la récente « élection présidentielle », il est manifeste qu’une reprise en main du néo-FN , qui se dessine sous nos yeux a été pensée de longue date.
    En témoignerait, si besoin était la précipitation avec laquelle le député Collard -seulement apparenté FN et très politiquement correct parricide- s’est rué sur les écrans de télévision pour exiger publiquement que, suite à son « échec » – pourtant objectivement très relatif – Madame Le Pen ne soit pas candidate aux législatives ( où elle a pourtant de grandes chances, cette fois-ci d’être élue) . Ce qui signifie en clair : après la fumeuse dédiabolisation, passons à la délepénisation définitive, afin de rester entre « nous ».( espèce de flibustiers politique la plus répandue)
    J’imagine sans grand risque de me tromper que Marion Maréchal Le Pen, bien trop isolée au néo-fn, après une intense épuration interne organisée par Monsieur Philippot,, a parfaitement compris qu’elle n’aurait pas les moyens de s’opposer à ce putsch visant à établir la mise aux normes systémiques du mouvement fondé par son grand-père et qui , assurément, ne peut que nuire à l’avenir de tous les enfants de France, dont sa petite fille évoquée, dans « l’explication » de sa décision.
    Je ne doute pas que Marion saura, avant qu’il ne soit trop tard, reprendre hardiment le soin de défendre l’avenir de celle-ci et de tous ses contemporains, par les tous les moyens requis.
    En attendant en verra défiler des « rénovateurs » de tous poils -c’est très à la mode dans tous les partis du système- bons à rien , mais prêts à tout.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.