Zurich. Un nouveau cas "Carlos". 85 000 francs par mois pour le traitement d'un enfant de 12 ans.
Tout le monde se rappelle encore de «Carlos», un jeune délinquant violent aux problèmes psychiatriques traité à grands frais par le canton de Zurich pour un coût de 29'000 francs par mois. Mais ce n'est rien à côté d'un nouveau cas, dans le même canton. En effet, un jeune Biélorusse de 12 ans nécessite un encadrement allant jusqu'à 85'000 francs par mois. Il a été placé dans la clinique pédiatrique universitaire de Zurich après avoir été "agressé" par le partenaire de sa mère et se montre à tel point incontrôlable qu'il doit être surveillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Deux conseillers nationaux suisses-allemands ont déjà réagi. Alors que Sebastian Frehner de l'UDC estime qu'il est intolérable que la communauté prenne en charge des coûts aussi élevés, la socialiste Bea Heim trouve qu'on doit penser surtout à l'enfant et à sa mère.
https://www.aargauerzeitung.ch/schweiz/eine-mutter-klagt-die-kesb-an-mein-sohn-ist-teurer-als-carlos-131254521
Traduction (Claude Haenggli) : L'autorité de protection de l'enfant et de l'adulte (APEA) explique que l'enfant s'est enfui chaque jour de son école. Il fait preuve vis-à-vis des autres enfants et des adultes "de mouvements incontrôlés, impulsifs et menaçants". Sa mère n'est pas de cet avis. Elle raconte que lors de sa dernière visite en pédiatrie, il lui a demandé. "Maman, m'emmènes-tu à la maison ?". Mais ce n'est pas elle qui peut en décider, mais l'APEA. C'est elle aussi qui décide avec quels médicaments l'enfant est traité pour le calmer. En guise de protestation, la mère a maintenant décidé de rendre public les frais occasionnés par le traitement de son fils.
Claude Haenggli, 25.4.2017
Au goulag!
ca coute chère l’immigration … quelle chance1
Le scandale continu. 120.000.000 frs pour les migrants mineurs, 40.000.000 frs pour le Yemen, 1000.000 frs/an pour un gamin de 12 ans. Des milliards pour l’aide au développement. Des milliards de frs pour l’accueil des réfugiés et migrants. Et pendant ce temps on fait des économies sur le dos de l’école.