Il avait déjà affirmé avoir reçu des SMS de pression de soutiens de François Fillon et menacé de les dévoiler. Nicolas Dupont-Aignan est passé à l’acte. Ce jeudi 20 avril, sur le plateau de l'émission "15 minutes pour convaincre" sur France 2, le candidat de Debout la France a dévoilé le contenu de ses échange par textos avec « un grand patron de presse français, industriel, au service d’un candidat », selon ses dires à l’antenne. Interrogé par Marianneaprès son passage sur France 2, Nicolas Dupont-Aignan confirme qu’il s’agit de Serge Dassault, propriétaire du Figaro.
« Je veux lire pour que les Français sachent ce qu'il y a derrière les coulisses et pourquoi notre démocratie ne fonctionne plus », a lancé le député de l’Essonne sur France 2. Il a ensuite lu cet échange sur son téléphone portable :
« - Le boycott de mon journal n'est que la conséquence de ton attitude contre Fillon et ce n'est pas restant dans ton coin que tu y arriveras mais en étant dans une équipe gouvernementale. Il vaut mieux manger une soupe que du pain rassis.
- Je suis scandalisé que tu assumes ce boycott.
- Cela n'arrivera plus quand tu cesseras de combattre Fillon.
- C'est de la censure.
- Si tu changes d'avis, il n'y aura plus de censure, je te le promets. »
Léa salamé : » quel intérêt de nous lire cela ce soir ? », lol, c’est sûr que c’est assez dérangeant pour une nantie et pro-système que cela se dévoile, quelle crédibilité après peuvent avoir ces gens là ?
@Quel intérêt de nous lire ça ce soir!?
Quel intérêt, d’avoir une télévision et deux brèles à UNE vision, comme ces deux là sur le plateau !?
Bravo à Mr Dupont-Aignan, il en faudrait plus comme ce Monsieur, ou… un seul, au bon endroit!
Enfin un politicien qui ose dire la vérité sur la mafia qui sévit en France.
ACTE VRAIMENT COURAGEUX qui a un peu dérangé les deux journalistes, mais qu’il fallait oser. BRAVO Mr Dupont-Aignan!.
Nous sommes ravis que les Français apprennent quelle presse les informent aujourd’hui.
Suite à mon commentaire sur ce sujet dans l’autre article, je rajouterai que la réaction arrogante de Léa Salamé (« quel intérêt de nous lire ça ce soir ? ») est révélateur de l’état des médias et du peu de confiance que nous pouvons leur accorder.
Le sommum est quand même la question de la journaliste !
Merci aux observateurs.
A mort la gueuse !