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Cette vidéo est extrêmement intéressante, et éducative sans tomber dans le didactisme pesant. Michel Drac parle de son vécu personnel et en tire des leçons très utiles. Il dénonce la paresse et la mauvaise foi de toutes ces personnes dont le discours ne repose au mieux que sur du prêt-à-penser, au pire sur des préjugés mille fois réchauffés. Dans tous les cas, ces constructions idéologiques -car c’est bien ce qu’elles sont- n’éclairent en quoi que ce soit la réalité historique.
Il est à mon avis erroné, donc inopérant, de considérer la réaction « raciste » comme universellement stupide, alors que cette réaction n’est bien souvent que primitive (on pourrait dire aussi primaire ou même primale) donc certes loin des hautes sphères de la conscience, mais néanmoins pourvue d’une cohérence interne dans son déclenchement, d’une nécessité quasi mécanique: quand un corps collectif est attaqué, il se défend. On ne dit pas d’un réflexe qu’il est stupide, même s’il ne relève pas de l’intelligence. Or, l’intelligence en la matière consiste non pas à stigmatiser de façon erronée une réaction, mais au contraire de la prévenir, en toute conscience, en empêchant que ne se constituent les conditions qui amènent immanquablement à son déclenchement. Pascal avait raison quand il disait: « qui veut faire l’ange fait la bête ». Savoir que la bête existe et la tenir à distance, c’est là la véritable intelligence et, par ailleurs, le véritable humanisme.
Les gens intelligents qui méprisent les « racistes », parce que ceux-ci seraient moins pourvus en termes de capacités de raisonnement, ne succombent-ils pas eux-aussi à une forme de racisme biologique envers des gens considérés comme inférieurs par nature ? On commence à réfléchir de cette façon et on finit par « déporter les cons en Pologne » !
Il ne faut pas oublier non plus que le « racisme » est un terme qui n’a certes pas été inventé mais popularisé par Léon Trotsky, premier chef de l’Armée rouge (quelques millions de morts « au compteur ») pour ostraciser, avant que d’éliminer physiquement, les petits propriétaires paysans russes qui n’entendaient pas se faire « avaler » tout cru par la Révolution.
Ainsi, si au lieu d’utiliser ce terme bien trop piégé de « racisme », on parlait simplement d’ethnocentrisme, il faudrait constater que tous les grands hommes européens, scientifiques, artistes, politiques, philosophes etc…donc des hommes manifestement intelligents, le furent, ethnocentrés, du moins jusqu’au-milieu du vingtième siècle…
Sur l’argumentation qui consiste à inciter la « réaction » à mesurer ses propos par crainte d’un possible « nettoyage ethnique » que pourraient mener les Européens envers les colons allogènes, elle me paraît étrange à double titre. Tout d’abord, parce que cela amène à neutraliser toute volonté de défense identitaire au sein de peuples déjà bien affaiblis ; le premier droit à titre personnel et collectif, cela devrait être le droit de continuer, le droit de rester soi. Enfin, quand on passe en moins de quinze ans de la vie au sein d’un groupe ethnique cohérent à être bien souvent « le seul Blanc du bus », si nettoyage ethnique il y a, il se passe aujourd’hui et il est dirigé contre nous.
Plus généralement, je dirais qu’il y a une certaine incohérence à vouloir lutter contre le globalisme au niveau mondial, tout en ne voulant pas lutter contre les mécaniques globalisantes au sein même des nations. Dit plus clairement, à quoi bon une France souveraine si ce ne sont plus des Français de France qui y sont souverains ? Ce serait comme vouloir une forme sans matière, alors que, passé un certain seuil, la quantité devient une qualité.