Tentative d’attentat à Venise: Après la fermeture de leur mosquée, des musulmans menacent de ne plus travailler s’ils n’ont plus de lieu de prière.

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Dernier vendredi de prière dans la mosquée sise rue Fogazaro, à Mestre (près de Venise).

C’est la même mosquée qui était également fréquentée par certains Kosovars, présumés jihadistes, qui ont été arrêtés il y a quelques jours à Venise et déjà expulsés. La réunion avec les représentants de la communauté islamique s’est conclue sur l’idée de trouver un autre emplacement. Mais il reste peu de temps et la fête du Ramadan est proche.

 

 

 

« Nous ne savons pas où aller » se lamentent les musulmans et certains pensent transformer l’un des nombreux endroits abandonnés dans la zone industrielle et menacent de faire grève.

La communauté bangladaise en particulier, celle qui est à la tête de la mosquée, est prête à stopper le travail. « Trois mille d’entre nous travaillent pour Finacnatieri, mille cinq cents dans les pizzerias vénitiennes » déclare le porte-parole Kamrul. « Si personne ne va travailler, nous verrons ce qui va se passer. ». Et on réfléchit à organiser une grande manifestation.

En somme, sans accord, une confrontation se dessine. Une chose est certaine, le centre culturel transformé en salle de prière, ouverte du matin au soir, au rez-de-chaussée d'un petit magasin, devra être fermée.

Défauts de construction, bruits continus, cohues dangereuses dans un quartier non loin du centre de Mestre, dont les Italiens, se sont désormais éloignés en raison des conflits quotidiens avec les migrants, est devenu difficile de vivre. .

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

9 commentaires

  1. Posté par Feijo le

    Le grand remplacement est en route …les pizzerias ne fonctionneront plus , seront rachetées a vil prix par des muzz souvent aidés par des  » pays freres  » puis la pizzeria sera transformée en Kebab et le tour est joué …allez voir place Pigalle , balladez vous entre la place Blanche et Clichy et vous verrez …si vous n’y etes pas allés depuis dix ans , vous ne reconnaitrez plus l’endroit …

  2. Posté par Julie Rochat le

    Nous ne savons pas où aller, pleurent-ils. Et bien c’est simple, rentrez chez vous !!

  3. Posté par blum le

    Il y a un vrai problème: ces Bangladais qui font du chantage à la grève, si l’on ferme leur mosquée, repaire de djihadistes, il faut bien qu’ils aient des employeurs!
    En France, en Europe de l’ouest, plus généralement, l’on ne peut nier qu’une main d’oeuvre à bas coût (pakistanaise ou autre) est PREFEREE PAR DES PATRONS.
    C’est une réalité, vérifiable au quotidien.
    Tout montre que cette solution choisie par de nombreux entrepreneurs, et acceptée, tacitement, par ceux qui croient échapper au terrorisme « aveugle », n’est qu’une vision de
    court terme privilégiant des bénéfices immédiats substantiels à la sécurité de tous et à la préservation de notre civilisation — dont des pans entiers disparaissent, sournoisement, mais sûrement.

  4. Posté par jean pierre Garnier le

    Une soudaine envie de retourner à Venise !!

  5. Posté par top gun le

    Remigration sans discutions et vite avant que…

  6. Posté par Marcassin le

    « Nous ne savons pas où aller » qu’ils disent. Mais il y a 57 pays où aller. Pourquoi n’y vont-il pas ?

  7. Posté par Tommy le

    Ah ? Parce qu’ils travaillent ?

  8. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Ca correspond bien à la mentalité de ces migrants qui croient tout mériter, et qui considèrent qu’ils font une immense faveur à leur pays d’accueil s’ils travaillent un peu…
    Et si on commençait par la fin et qu’on arrêtait de les employer, puis retour au bled? Ca devrait être plutôt ca l’ordre des choses, non?

  9. Posté par Francoise le

    Chic, ça fera du travail pour les italiens qui en cherchent.

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