L’impossible dialogue avec l’islam

Michel Garroté
Politologue, blogueur
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Michel Garroté  --  "Préfacé par le Père Boulad, le livre "Quel dialogue possible avec l'islam du Coran ? Point de vue d'un catholique" (livre de Pascal Raines), est un outil indispensable pour toute personne qui souhaite établir un dialogue authentique et en vérité avec des musulmans car il va au fond des choses, en toute honnêteté et sans parti pris", peut-on lire sur le site Internet catholique français Le Salon Beige [pour ce qui me concerne, le dialogue avec l'islam me semble impossible, puisqu'il a échoué au cours des 40 dernières années...].
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Son auteur, Pascal Raines, a accepté de présenter son ouvrage [aux lecteurs du Salon Beige ; ci-après, extraits de la présentation de l'ouvrage ; voir liens vers sources en bas de page] : L’islam nous est présenté comme une religion d’amour, de tolérance et de paix par d’éminents responsables musulmans. Pourquoi donc les proclamations belliqueuses, les menaces et les attentats perpétrés au nom d’Allah ?
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Comment comprendre des comportements, des discours et des actes aussi opposés de la part des musulmans ? Le monde islamique est complexe. Pour autant, le Coran est et restera la source première et ultime de toute pensée musulmane. Le Coran, c’est la parole même d’Allah ; elle n’est pas sujette à interprétation ou modification. Tout découle du Coran. Le connaître, c’est connaître l’islam dans ses fondements. Et seulement sur cette connaissance préalable, un possible dialogue dans la vérité pourrait alors être envisagé et s’engager.
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Connaître le Coran dans ses principes :
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Le Coran n’est pas si compliqué à comprendre à condition de connaître les clefs de compréhensions que la plupart des Occidentaux ignorent malheureusement. Il y a deux périodes fondamentales dans le Coran et elles coïncident avec l’histoire de Mahomet et de la révélation. Il y a l’époque où Mahomet se trouve à la Mecque (610-622), c’est la première période ; il prêche alors un islam relativement modéré et tolérant. La deuxième est celle où Mahomet est à Médine (622-632) ; il est alors en position de force et l’islam annoncé est conquérant, violent, voire haineux contre tout non-musulman. Inévitablement, les versets des deux périodes se contredisent.
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Le conflit est résolu par la règle fondamentale de l’abrogeant-abrogé avalisée par al-Azhar. Elle repose sur deux versets essentiels (sourate 2, verset 106 et S. 16, v. 101) dans lesquels Allah annule l’autorité des versets de la première période de la Mecque au profit de ceux de la deuxième de Médine. En d’autres termes, seules les sourates violentes et belliqueuses de Médine sont à appliquer véritablement. Parmi ces versets belliqueux, on peut citer tout particulièrement le 9:5 « le verset de l’épée » et le 9:29 « le verset du combat » qui abrogent à eux seuls plus d’une centaine de versets plus ou moins conciliants.
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La dissimulation recommandée par Allah :
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La taqiya (la dissimulation) est un autre aspect capital du Coran que les Occidentaux méconnaissent. Elle régit les relations que les musulmans doivent avoir avec les non-musulmans. Le principe de la taqiya se retrouve en particulier dans le verset 3:28 : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion de Dieu, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. » Le musulman pour protéger sa foi ou induire en erreur l’infidèle peut et doit mentir, dissimuler ses intentions s’il n’est pas en position de force : c’est une injonction d’Allah et du Prophète. Un exemple précis est cette phrase qui revient fréquemment dans la bouche des dignitaires religieux musulmans : « Tuer un homme revient à tuer l’humanité ». Il est sans doute important de s’y arrêter. Cette phrase a notamment été prononcée lors de la rencontre de centaines de responsables musulmans réunis à Paris à l’appel du CRCM (Conseil Régional du Culte Musulman) Rhône-Alpes le 29 nov. 2015 suite aux attentats du 13 nov. 2015 à Paris.
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« Tuer un homme revient à tuer l’humanité » se fonde sur le verset 5:32 : « Nous avons prescrit pour les Enfants d’Israël [aux Juifs] que quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes ». On constate que les propagandistes ont omis « pour les Enfants d’Israël » qui restreint la portée humaniste et pacifique voulue. Mais cette omission est capitale et se précise avec le verset suivant (5:33) : « La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. » En d’autres termes, ceux qui touchent aux valeurs essentielles de l’islam doivent s’attendre au pire. Il est donc clair que le Coran ne dit nullement que « tuer un homme revient à tuer l’humanité » puisqu’on peut l’exécuter pour défendre la suprématie de l’islam. Ces dignitaires religieux musulmans – qui connaissent le Coran – détournent sciemment le sens véritable d’un verset pour induire en erreur et tromper ; ils usent indéniablement de la taqiya, de la dissimulation et de la diversion. C’est ce que Allah leur demande.
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Les appels à la violence dans le Coran sont réels et abusivement minimisés :
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Face aux appels à la violence, à l’épuration religieuse exigée par Allah dans le Coran, il est courant d’entendre dire qu’un problème de traduction serait incriminé, qu’il faudrait considérer le contexte et que la Bible elle-même n’est pas exempte de violence. La langue originelle du Coran est l’arabe littéraire. Les traductions présentent souvent de minimes différences entre elles, mais pas au point de faire des contresens. En d’autres termes, le consensus des multiples traductions ne peut trahir le sens véritable du Coran. Dans Quel dialogue possible avec l’islam du Coran ?, l’auteur utilise simultanément pas moins de cinq traductions et notamment celle d’Hamidullah qui fait autorité. Le lecteur de la Bible sait très bien qu’il ne faut jamais interpréter un verset seul, mais le comprendre dans le contexte, notamment historique du passage, du livre lui-même. Avec ses soixante-treize livres de styles très différents et un temps de rédaction de presque quinze siècles, la Bible nécessite de bien connaître le contexte pour l’appréhender correctement. Ce principe d’interprétation est tout aussi valable pour le Coran.
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Il est toutefois beaucoup plus facile à mettre en application, car le Coran – selon la tradition islamique – n’a que Mahomet pour auteur qui n’a écrit que sur une vingtaine d’années (« a été sous la dictée » disent les musulmans). Dès lors, étudier le contexte d’un verset coranique se résume finalement à examiner les versets voisins pour avoir la signification de ce que dit réellement le Coran. Les hadiths (les paroles et les actes de Mahomet et ses compagnons transmis par la tradition musulmane) viennent appuyer le Coran, mais ne peuvent jamais le contredire. Le Coran s’achève avec les sourates médinoises par de multiples appels à la violence et au meurtre qui n’ont pas de limites dans le temps et l’espace et dont la valeur reste pleinement actuelle. L’exemple du verset « Ô Prophète, incite les croyants au combat », (8:65) est significatif à cet égard. Il a été donné à un moment précis, celui de la bataille d’Ohod. Mais ce moment donné n’est pas précisé dans le Coran afin de souligner que c’est un ordre hors du temps venant d’Allah, toujours valable et pas seulement lié à un événement particulier, d’autant plus que le Coran est considéré par les musulmans comme incréé, éternel, préexistant. Le Coran est clair ; Mahomet a été dicté par Allah (97:1) à travers l’ange Jibrīl (Gabriel), par des révélations (42:51), à la différence des prophètes inspirés de la Bible. Le Coran n’est donc sujet à aucune erreur et ne peut être contesté. Du coup, la tutelle d’Allah est immédiate sur le texte coranique et lui donne une force (supposée) divine qui cautionne la violence et empêche toute réforme. Les réformateurs de l’islam n’ont jamais pu influer sur la tradition musulmane. Ils rassurent en vain sur une hypothétique et chimérique modernisation du Coran et la réforme de l’islam.
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Les musulmans et le Coran :
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« Le combat vous a été prescrit alors qu’il vous est désagréable », (2:216). Allah dédouane même les jihadistes de leurs méfaits : « Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués. » (8:17). Et même si comparativement, il y a peu de gens prêts à suivre Allah dans ses injonctions guerrières, ces personnes sont perçues par les pieux musulmans eux-mêmes comme des héros et des martyrs puisque Allah en personne les bénit : « Dieu a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense ; des grades de supériorité de Sa part ainsi qu’un pardon et une miséricorde. Dieu est 'pardonneur' et miséricordieux » (4:95-96). Vous l’avez compris : il y aura toujours des « extrémistes » et des « fondamentalistes » musulmans dès lors que le Coran existe.
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La oumma (la communauté des musulmans) peut tenter de pondérer et de raisonner les croyants en son sein, mais ne peut freiner le zèle obscurantiste des individus les plus conservateurs et réactionnaires seuls face au Coran. La dangerosité du Coran est un fait largement occulté dans les médias (tabou pour tout dire). Nous n’avons donc malheureusement pas fini avec la violence et les attentats en lien direct avec le Coran qui pousse à de tels actes. Aimer les musulmans en tant que frères en humanité, mais dénoncer le Coran qui la déchire par ses versets violents et dont le sens et la valeur demeurent d’actualité. Il n’y a pas, semble-t-il, d’autre solution au redoutable problème des « extrémistes » islamiques pour le chrétien que je suis. À l’image du Christ qui a aimé tout être humain pour ce qu’il est, tout en dénonçant parfois ses actes ou ses comportements [fin des extraits adaptés de la présentation de l'ouvrage ; voir liens vers sources en bas de page].
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Adaptation et mise en page de Michel Garroté pour Les Observateurs
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"Quel dialogue possible avec l’islam du Coran ? Point de vue d’un catholique" :
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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http://www.lulu.com/shop/pascal-raines/quel-dialogue-possible-avec-lislam-du-coran-point-de-vue-dun-catholique/paperback/product-23057606.html
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https://www.amazon.fr/s/ref=nb_sb_noss?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&url=search-alias%3Daps&field-keywords=Quel+dialogue+possible+avec+l%E2%80%99islam+du+Coran+%3F+Point+de+vue+d%E2%80%99un+catholique
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17 commentaires

  1. Posté par Malin le

    C’est un chrétien qui a fait le topic.
    On sait que ce ne sera pas objectif.

  2. Posté par Yolande C.H. le

    L’ article le plus éclairant que j’ai lu sur la charia:
    http://www.fondation-res-publica.org/La-Charia-en-dix-points-et-quelques-raccourcis_a724.html

    Extraits
    « ..Le terme dans ses jeux de langage peut parfois prendre un sens juridique – comme quand il est question de « droit musulman » –, parfois un sens politique – comme quand on revendique dans une campagne électorale « l’application de la charia » sans jamais dire ce qu’il y a lieu de comprendre derrière cette formule. »
    « La mise en perspective des jeux de langage permet aussi de voir à quel point le terme peut servir de point de ralliement identitaire, positivement ou négativement ».

    Ce n’est pas tant les prescriptions et interdits mais bien la nature protéiforme de la Loi islamique, dont les codes sont mouvants et ne peuvent être fixés que dans des doctrines officielles d’état qui s’avère le plus préoccupant pour la pérennité de nos états.

    Ce flou sur lequel surfe ces mouvances leur permet de se développer avec l’option, grâce à une majorité, d’asseoir sur le territoire à l’avenir, une doctrine officielle d’état : l’islam de France, par exemple.

  3. Posté par Anne Lauwaert le

    il faut surtout diffuser cette étude de J.J.Walter
    https://ripostelaique.com/lautopsie-du-coran-par-jean-jacques-walter.html
    qui déconstruit tout l’édufice car il prouve que le coran a été écrit par entre 50 et 100 auteurs différents sur une période de 200 ans – les versets Mecque ou Medine n’ont aucune importance et le texte est aussi chaotique à cause du nombre nombre d’auteurs différents – c’est aux musulmans qu’il faut faire connaitre toutes ces études .

  4. Posté par Claire le

    Pour avoir lu le coran, je sais qu’on y trouve tout et son contraire. C’est déroutant pour un occidental cartésien, mais cela s’explique, ainsi que l’article le souligne, par les deux périodes: La Mecque, discours relativement modéré et Médine, appel au combat contre les Juifs, les chrétiens, les polythéistes, les incroyants. Comme la partie la plus violente est la dernière, elle est abrogeante. Cela explique pourquoi les fondamentalistes s’y réfèrent exclusivement.
    Peut-on discuter avec des gens qui croient en un livre, en tant que parole de Dieu, qui appelle à votre propre destruction?
    Aurait-il été censé de dialoguer avec Hitler, surtout après avoir lu Mein Kampf?

  5. Posté par JSG le

    Ce livre et la doctrine sont faits pour maintenir les « croyants » dans un carcan qui leur interdit tout regard critique. La plupart ignore la présence de ces sourates et haddiths mortifères, qui s’y dissimulent. J’en ai déjà diffusé ici les plus parlantes, alors que parmi nos chers dirigeants, journalistes, associations de lutte contre…-ce qui les arrange- ;jamais la moindre allusion à ce qui devrait être la principale préoccupation du tribunal international de la Haye, au lieu de traiter des sujets secondaires au regard du Coran de ce qui est le ferment du terrorisme musulman.
    Celui-ci étant fait pour ensuite marchander le grand remplacement et rien d’autre !

  6. Posté par Dominique Schwander le

    Il n’y a pas que le coran à expurger, il y a les hadiths ou dires de Mahomet, ses anciennes biographies, les 10 volumes de commentaires du Coran, etc.
    Tant que les musulmans pratiquants considèrent Mahomet comme leur beau modèle, le loué, etc, et pas comme un individu collectionnant les affections psychiatriques, les vices et les troubles mentaux dont le complexe du messie ou de dieu, ( à tel point qu’on se pose la question est-t-il un seul individu ou plusieurs?), on ne peut accepter l’islam-idéologie dans nos démocraties et rêver de la réformer.

  7. Posté par Sentinelle le

    Et je continue de citer encore une vérité dérangeante : Puisque le Coran est la parole d’Allah, le musulman croyant devrait lire…la Bible ! Chacun peut vérifier soi-même : Il s’agit de 4 versets reçus à Médine – donc : non abrogés ! (suivant l’édition, la numérotation des versets peut varier un peu). Les voici :

    3,87 … Dis-leur : Apportez le Pentateuque (la Torah), et lisez si vous êtes sincères !
    3,181 … (les apôtres envoyés avant lui… bien qu’ils eussent) … apporté le livre des Psaumes et l’Evangile (le livre qui éclaire).
    5,50 … Nous lui (Jésus) avons donné l’Evangile qui contient la lumière et la direction, et qui confirme le Pentateuque…
    17,57 … Et nous avons donné les Psaumes à David.

    Alors : « Lisez si vous êtes sincères ! »

  8. Posté par Sentinelle le

    Sur ce site, on est plusieurs à avoir lu le Coran. Le vrai dialogue avec les musulmans, c’est d’aborder les textes : il est urgent que les musulmans eux-mêmes soient confrontés à la vérité (souvent désagréable) de leur livre saint : Dans le Coran, il y a de nombreux appels au meurtre des infidèles ou idolâtres ! On ne va pas les citer tous, mais juste indiquer le genre de phrase qu’on y trouve tout le temps : « Tuez-les partout où vous les trouverez ! ». Et ce n’est certainement pas mal traduit pour souligner l’accueil fraternel de l’autre… D’ailleurs, ceux qui massacrent au nom d’Allah ne font qu’appliquer à la lettre ces instructions-là…

    Quelques références quand même : Sourates 2,187 / 4,91 / 4,93 / 5,37 / 9,5 / 9,112 … et ainsi de suite. Bonne lecture !

  9. Posté par Nicolas le

    « Allah annule l’autorité des versets de la première période de la Mecque au profit de ceux de la deuxième de Médine »
    Donc, voilà un mec sensé être éternel et omniscient qui se contredit à dix ans d’intervalle ?!?

  10. Posté par UnOurs le

    A terme, le seul « dialogue » possible avec l’islam, c’est l’échange de tirs.

  11. Posté par blum le

    Monsieur, j’ai entendu parler du Père Boulad, il y a près de cinq ans, je crois, alors que, sur internet, il lançait un appel pour aider les Coptes, massacrés en Egypte, par les musulmans.
    Vous dites avoir tâté du dialogue inter-religieux avec l’islam.
    Moi aussi, loyalement. Cela se déroulait dans une synagogue: un rabbin, un prêtre catholique et un imam étaient là pour débattre, avec l’entourage des invités.
    Eh bien, je puis vous dire que, très vite, après les paroles convenues de tolérance et d’aménité, sont arrivées, de la part de l’imam, des paroles acrimonieuses, surtout tournées contre la France.
    J’ai vu mon hôte si abasourdi, qu’il n’a su répliquer…
    La seule répartie convenable à l’islam( cinq ans ont passé, et avec quel lot de meurtres de masse sur la planète, au nom d’Allah!) est celle quei figure sur votre illustration, Monsieur.
    Félicitations à votre caricaturiste!

  12. Posté par UnOurs le

    En Europe dite « de l’est », le communisme a agi comme un lourd couvercle, certes désagréable, mais qui a paradoxalement préservé les structures identitaires organiques. Alors qu’en « Occident », l’idéologie libérale (de droite comme de gauche) a sapé les fondations civilisationnelles jusque au plus profond.

  13. Posté par miranda le

    Ce qui est profondément triste, c’est que des peuples d’Afrique du Nord et d’autres pays possédaient des cultures avant l’arrivée de l’Islam.
    Mais l’implantation et la soumission à l’Islam date de si longtemps, que ces peuples « violemment déculturés » qui ignorent avoir eu des richesses culturelles dans leur passé, N’ONT PLUS COMME REPERE QUE L’ISLAM. L’islam est devenu une culture.

    Ainsi, nous savons qu’une culture peut être anéantie selon le temps d’occupation d’un système religieux puissant et violent ou autre système d’oppression.

    Il est curieux de voir que des systèmes totalitaristes comme fut le « maoïsme » et le « communisme de l’ex URSS n’ont pas réussi à tuer les cultures existantes avant eux. Les chinois retrouvent leurs guides philosophiques anciens et autres pratiques coutumières et religieuses. Les pays de l’Est retrouvent les différentes pratiques chrétiennes, boudhistes etc.. de jadis et autres coutumes et folklores..

    Pour ce qui est de l’Islam, sa durée depuis 1400 ans et plus a dû pouvoir s’imposer déjà, sans doute parce que plus menaçant que les autres si on ne lui cède pas, mais aussi parce que toute résistance pouvait être très vite tuée « dans l’oeuf », tant l’islam pratiquait la terreur.

    Aujourd’hui, il semble s’affaisser lentement (voir sur you tube « l »islam une religion mourante »). Car ses adeptes qui sont de plus en plus instruits deviennent de plus en plus conscients et éprouvent une certaine désaffection pour la violence qu’il exprime et se réfugient en majorité dans le christianisme.
    Ce n’est que dans les nations européennes qu’il semble retrouver de la vigueur en manipulant et jouant sur les malaise s(identitaires et sociaux) que peuvent éprouver les immigrés d’hier et d’aujourd’hui.
    Malaises qui ne sont pas si différents de ceux éprouvés par les classes populaires « oubliées » par la France. et qui participe aussi d’une exclusion sociale,
    mais dont les immigrés rendent « la discrimination » responsable estimant qu’elle engendre un « apatheid socio-racial. TOUT CELA RENFORCE L’ISLAM.

  14. Posté par Patrick Lévy le

    Taqiyah=Allah poubelle.

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