Suisse: Une professeur de l’Unige accuse la Suisse de traite coloniale et de racisme au Festival du film de Genève (Vidéo)

Christian Hofer: Cela s'est déroulé à la 15ème édition du FIFDH, c'est-à-dire devant ces Blancs qu'elle déteste tant.

On rappelle que Genève compterait 61% d'étrangers. Le taux réel doit être supérieur aujourd'hui puisque Genève, par l'entremise de Pierre Maudet, a naturalisé en masse.

Bien évidemment, puisqu'il existe encore quelques Suisses dans notre pays, il convient de les culpabiliser par la fameuse colonisation. la mise en esclavage (alors que les Africains pratiquaient déjà entre eux l'esclavagisme).

Cela ne gêne évidemment pas cette "professeur" de recevoir de l'argent de la Suisse qu'elle méprise au plus haut point puisque notre Confédération a eu la grande intelligence de lui confier un mandat pour "la lutte contre le racisme" depuis février 2016 alors que sa seule priorité est de critiquer notre pays.

Cela démontre encore une fois que "l'antiracisme" n'est autre qu'une idéologie qui cherche à justifier sa haine de l'homme blanc tout en prétendant représenter le "bien".

Évidemment, cette femme se garde bien de vivre avec ce qu'ont inventé les Africains. Il convient de profiter au maximum de la technologie et du confort des Blancs qui lui ont ouvert les portes.

Enfin, son pedigree ne fait aucun doute quant à son orientation de gauche:

Ses enseignements et ses recherches portent sur les politiques de l’égalité et des différences – notamment sur le racisme et l’antiracisme – et privilégient  les approches critiques de la « race » et de la postcolonialité ainsi que les théories féministes.

Intérêts

Théories postcoloniale et critique de la "race"; Théories poststructuralistes, féministes et queer; politiques de l'égalité et de la différence;  (anti)racisme; discours racialisés; mémoire coloniale

D'autres Africains ont un regard bien plus lucide...

Via Fdesouche.com

27 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Beaucoup d’imposteurs à la recherche de profits immédiats pensent qu’un livre crachant sur la Suisse est une garantie de succès en librairie. Le concept marketing bien rôdé est soutenu par un tamtam permanent dans tous les médias étrangers, évidemment noyauté par une majorité de crypto-communistes, à l’image de ce qui se passe aussi en nos murs. La dictature bolchévique s’est insinuée dans le traitement de l’information par les bons soins de nos euro-béats et de leurs complices de l’U€RSS. On l’a vu avec l’énorme liste des associations les plus diverses, comme celles proposant du yoga, qui touchaient des dizaines de milliers de francs pour soutenir l’Erasmus,dont le but réel était de tripatouiller l’ADN des nationaux pour fabriquer une super « élite » d’abrutis multinationaux prêt à copuler pour la circonstance.

    Mais ces « cons » de Suisses avaient remarqué qu’ils payaient beaucoup plus que les autres pays de l’Europe pour le même service tout en ne faisant pas partie de l’Europe. Ce fut là un pur exercice de corruption et d’intoxication politique. Mais dans cette guerre organisée par Bruxelles, les carottes ne suffisent plus, il y a aussi les coups de bâtons avec des soutiens à des ouvrages douteux tout aussi bidouillés. La preuve, ici : http://www.antipodes.ch/a-paraitre/des-suisses-au-coeur-de-la-traite-et-de-la-colonisation-detail Publicité toute gratuite. Mais remettons les pendules à l’heure. Ce titre est évidemment mensonger, et la preuve dégouline au verso de la couverture, l’éditeur n’ayant cautionné le titre que pour mieux vendre l’ouvrage, quitte à se blanchir avec cette vérité: « Avec les Larguier des Bancels d’abord, on suit une famille franco-suisse  » (à vérifier en profondeur…) Et c’est justement la preuve que les parlementaires se devaient de mettre définitivement hors jeu les carrières des intriguants qui servent plusieurs maîtres pour pouvoir tirer profits des leurs intrigues et de leur trahison.

    On le voit ces pays européens parmi les pires colonialistes durant des siècles, qui ont trempé dans la traite négrière, passent maintenant leur temps à vouloir se blanchir et nous faire porter le chapeau de leurs indignités, juste pour pouvoir nous imposer par une sournoise propagande fascisante des quotas d’envahisseurs migrants et faux-réfugiés qu’ils ont eux-mêmes sollicité dans l’irresponsabilité la plus totale. Et les Suisses qui ont combattu dans les siècles passés ces puissants états composant actuellement l’Europe, devraient encore baisser leur froc, rendre leurs armes et continuer d’accepter ces impostures ? C’est le moment qu’ils se réveillent et mettent d’urgence ces comploteur traîtres et baillis à la porte, quitte à les réexpédier dans leurs pays d’origine, même en pièces détachées et boucler les consulats et les ambassades qui coordonnent ces basses œuvres !

  2. Posté par Pascal Nzogu le

    Mesdames, Messieurs,

    Bonjour!
    Sans ne partager les fondements, je comprends l’indignation de certaines et certains, face à une présentation critique de certains aspects du passé de la Suisse.
    Cependant, je ne puis comprendre le fait que, suite à une pensée et une expression critiques, une personne métisse, née dans ce pays, puisse être invitée à rentrer dans une Afrique qui n’est pas son continent d’affiliation. Cela me rappelle les invitations qui étaient faites, du temps de ma jeunesse et de mes études à l’université, au très Suisse (Bernois d’origine, Genevois d’adoption) Jean Ziegler, d’aller à Moscou (capitale de la Russie, qui n’est pas son pays) parce qu’il critiquait certains aspects de la politique, surtout économique, de la Suisse. Aspects qui se sont d’ailleurs avérés, avec les divers « papers », totalement fondés! Et là, je ne vais pas remonter jusqu’à l’exil de Jean-Jacques Rousseau, aujourd’hui récupéré par la France qui a mis ses restes au Panthéon, et dont la patrie, Genève, ingrate de son vivant, lui est devenue si reconnaissante, suite à l’influence majeure que ses écrits ont dans le monde – écrits nourris par le meilleur de son héritage genevois!
    La Suisse ne serait-elle plus, à lire l’opinion qui semble majoritaire sur votre site, une démocratie pluraliste? Le fait de ne pas partager l’opinion de certaines personnes doit-il aboutir à une sorte de retrait de nationalité, y compris pour des personnes qui sont suisses de naissance (ne fut-ce que par un des deux parents)? N’est-il pas plus sage, et plus conforme à l’esprit suisse, d’accepter les opinions contraires, et de plutôt les réfuter de manière froide, argument contre argument, fait contre fait, sans ces invectives frisant l’insulte et ces polémiques outrancières que l’on dit souvent, ici, caractéristiques d’un de nos grands voisins?
    Le hasard nous fait toutes et tous vivre, et assez bien vivre, dans ce beau petit pays. C’est une démocratie solide, souvent citée en exemple. Aussi, je ne peux que conclure par un appel à cette vertu bien suisse, fondement de la paix qui y règne, et peut-être aussi de sa prospérité : la tolérance au pluralisme!
    Merci d’avance pour l’éventuelle hospitalité que vous offrirez à mes propos sur votre site!
    Pascal Nzogu

  3. Posté par Bussy le

    @ Mélennec
    Très intéressant et rafraîchissant !
    On leur a enseigné, dans leur pays, que nous sommes racistes, colonialistes, esclavagistes : mais alors la question est : pourquoi viennent-ils chez nous ? C’est donc qu’une question d’allocations ?
    Des politiques, incapables d’analyser ces phénomènes, et surtout couards, peureux, lâches, veules, arrivistes et carriéristes, prisonniers du discours convenu et convenable :
    Pour enclencher un début de réaction salutaire, ne devrait-on pas capturer plusieurs spécimens de cette espèce politicienne, ainsi que quelques « élites », et leur faire lire, plusieurs fois et à voix haute, votre texte ?

  4. Posté par Mélennec le

    L’HORRIBLE ET STUPIDE MANIPULATION : L’ACCUSATION DE RACISME CONTRE L’OCCIDENT, qui a aboli l’esclavage, et prône des valeurs de tolérance, de respect des autres, et se laisse traîner dans la boue par des débiles mentaux, sans se défendre.

    DOCTEUR MELENNEC. PARIS, le 22 juin 2017.

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
    Trente ans au moins qu’on vous a mis au courant de ce qui allait se passer.
    1 – Il n’y a pas, ni en France ni en Bretagne, de racisme, SAUF A LA MARGE, comme dans tous les pays du monde. Ce phénomène est lié à l’espèce humaine. Il porte un nom : le rejet de l’autre. Nous avons la chance, nous, dans notre civilisation, de prôner le respect de l’autre (« aimez vous les uns les autres »), là ou d’autres civilisations ordonnent la mort (« tuez les tous »), y compris pour cause de non partage des mêmes convictions religieuses; ce qui est pour nous le comble de la barbarie, et de la sottise..
    2 – L’accusation de racisme – comme de colonialisme, d’esclavagisme, d’anti-sémitisme – est une monstrueuse manipulation, mise au point par les partis de gauche, pour PARALYSER les défenses naturelles de nos populations, qui sont toutes favorables à une immigration modérée, pensée et maîtrisée, mais qui savent aussi qu’un multiculturalisme effréné est la source de problèmes énormes (délinquance, chômage, affrontements entre les communautés ..), et de menaces graves de destruction de leur identité. NOUS SOMMES MANIPULES, et cette manipulation, hélas, produit des effets extrêmement délétères.
    3 – Cette inquiétude, devenue une grande angoisse de nos populations, N’EST EN AUCUN CAS UN PHENOMENE DE RACISME, mais une claire conscience de ce qui se passe dans nos pays, et de ce qui va se passer. Notre destruction est très avancée.
    4 – Nous sommes, indiscutablement, parmi les populations les plus généreuses du globe, par le nombre d’immigrés que nous accueillons, par les incroyables avantages dont ils bénéficient (logement gratuit, allocations de toutes natures, scolarisation gratuite, soins médicaux, formation professionnelle … la liste est illimitée), par les discours généreux que nous tenons, d’ailleurs irréalistes et marqués au sceau de l’inconscience et de l’ignorance de l’histoire du monde. Le salaire que nous récoltons, par la faute des politiques, incapables d’analyser ces phénomènes, et surtout couards, peureux, lâches, veules, arrivistes et carriéristes, prisonniers du discours convenu et convenable : la haine d’un grand nombre de ceux que nous accueillons. Réaction assez normale, en tout cas explicable : on leur a enseigné, dans leur pays, que nous sommes racistes, colonialistes, esclavagistes. Ils le croient. Il est tellement facile d’accuser les autres de ses propres insuffisances. Pour ne citer que l’Algérie – dont nous ne contestons pas le désir de s’épanouir dans sa propre identité -, qu’ont fait les corrompus auxquels ce pays magnifique et riche a très malheureusement été livré pieds et poings liés, par la France, en 1962 ? Pourquoi les Algériens sont-il incapables de reconnaître leurs grave responsabilité dans ce qui leur arrive ? Nous le savons : nous portons une large part de responsabilité, pour n’avoir pas su, à défaut de leurs politiques pourris, leur enseigner la réalité.

    4 – Au plan du droit – ma réputation de juriste, je crois, est strictement sans tâche – VOICI LE PLUS GRAVE DANS CES PHENOMENES MANIPULES DE MIGRATIONS, organisés par les pouvoirs politiques pourris, SANS L’ACCORD DES POPULATIONS CONCERNEES .. …. (à suivre).

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    LOUIS MELENNEC, historien diplômé par la Sorbonne, docteur en droit, diplômé d’études supérieures de droit public, de droit privé, de sciences criminelles.
    Ce texte sera publié dans plusieurs médias sur la toile.

  5. Posté par Hexgradior le

    @Shema
    Je vais me couvrir la tète de cendre jusqu’à mes derniers jours. Vous êtes vraiment trop fort….

  6. Posté par Shema le

    N’en déplaise à apparemment la majorité des individus ici, il y a des réalités historiques qui existent. Les faits existent en dehors de notre volonté de nous y défaire. Noemi Michel affirme que « la suisse a été impliquée, des acteurs suisses individuels et collectifs ont été impliqué dans des entreprises liées à la traite négrière, à l’esclavage et au colonialisme ». Il ne s’agit pas d’accusations ou de blâmes mais de faits.

    Le 3 mars 2003 Pia Hollenstein dépose au Conseil National une interpellation au Conseil Fédéral sur « la participation de la Suisse à l’esclavage et au commerce transatlantique des esclaves ». S’appuyant sur certains ouvrages de référence (Lüthy 1959, Peyer 1968, Meyer 1969), elle parvient à des conclusions diverses, notamment un financement important de maisons de négoce, d’entreprises, d’établissements bancaires, de familles suisses, un soutien militaire du bataillon de la troisième demi-brigade helvétique, qui tous ont directement participé à la traite négrière ou à l’esclavage. Réaffirmant le propos d’Hollenstein, Lang Josph dépose au Conseil National le 21.03.2016 une interpellation au Conseil Fédéral sur « la Suisse et l’esclavage » où il ajoute notamment l’implication d’organismes étatiques ou semi-étatiques. A cette interpellation le Conseil Fédéral répond : « Le Conseil fédéral regrette profondément la participation de citoyens, d’entreprises et d’organisations suisses à la traite des esclaves ». Le fait historique est là sous nos yeux, il ne s’agit maintenant pas d’avoir une approche accusatrice mais de 1) reconnaître un fait qui s’est effectivement passé, 2) en tirer les conséquences qui influencent encore aujourd’hui la Suisse, et tout particulièrement la perspective raciale, 3) pouvoir établir un débat libre sur les possibilités d’amélioration du pays qui nous tient tous à coeur.

    Le racisme existe bel et bien en Suisse et son support, la race, est la conséquence de l’implication des pays européens (la Suisse y compris) dans les pratiques esclavagistes et coloniales.

    La race n’existe pas mesdames et messieurs, ni biologiquement, ni psychologiquement, ni dans des pratiques sociales ou culturelles. Mais les pratiques racistes et racialisantes existent et ce quotidiennement ; quelques commentaires en sont un parfait exemple.

    Pour ceux que ça dérange au plus haut point de voir des étrangers ou des noirs en Suisse, et je terminerai par ceci : sachez que le ratio migratoire suisse (c’est-à-dire le taux d’émigration sur le taux d’immigration) est positif. Cela signifie qu’il y a plus de Suisses qui partent s’installer à l’étranger que d’étranger qui viennent en Suisse. Pourquoi donc un Suisse aurait-il le droit d’aller s’installer ailleurs avec la conviction (que je partage) qu’il est normal qu’il puisse y aller, alors qu’en Suisse on se plaint de l’immigration ?

  7. Posté par TulliaCiceronis le

    @Yolande C.H. – Vous avez tout à fait raison et votre remarque était nécessaire. J’avais moi-même prévu de préciser mon propos. En effet, la Suisse reste – et restera, je l’espère, longtemps encore -, la « Confédération helvétique » !

  8. Posté par Yolande C.H. le

    On parle quand même de la Confederatio Helvetica (CH). Merci quand même de votre précision.
    Si ma phrase suggérait que la Suisse est une nation, c’est par rapport à l’acquisition de la nationalité suisse. Pour moi, il est en effet impératif que la citoyenneté soit octroyée par la commune, avalisée en suite par le canton et …l’état fédéral. Il est malheureux que cette procédure soit de plus en plus amputée du fait de la problématique migratoire.

  9. Posté par TulliaCiceronis le

    « Au XVIII ème siècle, il n’y avait pas de nation suisse ». Et il n’y en a toujours pas ! Combien de fois faudra-t-il le répéter : la Suisse n’est pas une nation mais un Peuple, et il y a des raisons historiques à cela ! Appliqué à la Suisse, le terme de nation n’a aucun sens. J’appartiens au peuple suisse et non à la nation suisse. Et pour qui l’ignorerait encore, la Suisse n’est plus une « confédération » mais un Etat fédéral.

  10. Posté par Yolande C.H. le

    Le décor est planté : trois personnes qui se plaignent du racisme, du colonialisme et de l’esclavage subi par la communauté noire qu’ils représentent. A noter qu’il n’y a aucun modérateur. En face, des auditeurs, dont ceux qui n’appartiennent pas à cette communauté sont mis sur le banc des accusés.

    Cette professeure, quand elle évoque la déconvenue d’une personne, sans aucun étayage du contexte, cette Pauline Buisson et son garçon auxquels a été refusée la nationalité, pense-t-elle que la Suisse du XVIII et XIX ème siècle ressemblait à celle d’aujourd’hui ?

    Au XVIII ème siècle, il n’y avait pas de nation suisse, et le canton de Vaud était sous la domination bernoise. Ce n’est qu’en 1848 que les frontières des états de la Confédération ont été stabilisées, après intervention des révolutionnaires, de Napoléon puis moult luttes entre aristocratie et population rurale.

    Sait-elle que la naturalisation était une affaire communale et que le citoyen, dans la Constitution vaudoise, avait l’obligation expresse de subvenir à ses besoins, avec comme seule possibilité, le recours d’une petite aide à la commune d’origine?

    Sait-elle qu’en raison de la pauvreté qui sévissait dans le pays au XIX ème, des milliers de suisses étaient incités à quitter le pays pour se débrouiller à gagner leur vie ailleurs (avec l’idée qu’ils ne reviendraient jamais) ?

    Et puis, en quoi est-ce une infraction d’avoir un imaginaire sur un continent inconnu ? En quoi cela prétérite-t-il des pays lointains de se construire à leur façon et de corriger l’image s’il se trouve qu’elle est négative ?

    Madame se plaint de l’invisibilité des afro-descendants de Suisse ; la visibilité dans notre pays n’est pas individualisée, elle est liée à l’appartenance à une région (pays), à une culture, à une langue. On travaille pour ce développement-là et non, comme cette professeure le fait, à un réquisitoire qui n’a pour fonction que de lui donner, à elle, une visibilité, par sa dénonciation profondément ingrate.

    Qu’elle s’en prenne plutôt à ces rappeurs de sa communauté qui diffusent leurs clips agressifs (pour s’enrichir) et qui sont en train de modifier cette image du pays voisin et anéantir son impact civilisateur. D’autre part, un élève perturbant toute une classe devrait-t-il être exempt d’une exclusion ? L’excuse du racisme invoquée par les parents n’a pas de limite.

    La caricature, la moquerie faisait partie d’une tradition possible au sein d’une société qui pouvait l’admettre, car suffisamment solide. L’humour devient quasi impossible aujourd’hui.

    Enfin, la manipulation atteint son comble quand il est évoqué la défense du faible dans l’articulation de deux communautés. Sur cette planète : communauté suisse = 7 mio (puisqu’elle s’adresse spécifiquement à elle); communauté noire : plus d’un milliard ( puisqu’elle prend la défense de cette communauté dans son ensemble).

  11. Posté par conrad.hausmann le

    Le colonialisme est monstrueux et massif : Promenez-vous dans Genève et vous comprendrez qui colonise quoi…!

  12. Posté par TulliaCiceronis le

    « maître-assistante en théorie politique à l’Unige »… Devons-nous l’engagement de ce phare de l’humanité pensante à la discrimination positive ? Quoi qu’il en soit, il est certain que si cette grande-prêtresse du charabia avait eu pour mission d’enseigner la philosophie médiévale, elle n’aurait pas manqué de pontifier gravement à propos de la philosophie médiévale arabe, sans laquelle les philosophes occidentaux eussent fait carrière dans les limbes, comme chacun sait. Peut-être même aurait-elle poussé son zèle crasseusement idéologique au point de réussir à dégoter quelque philosophe maudit d’une Afrique noire (pardon !) colonisée par les Helvètes. Ce qui est certain aussi, c’est que le pire reste à venir dans les champs du « savoir » revu et corrigé par la fièvre du ressentiment.

  13. Posté par Ralebol le

    Très vite, j’ai arrêté de regarder mais j’imagine qu’il n’y a pas un mot de sa part sur: les centaine de millions de francs d’aides au développement qui sont versées à fond perdu depuis des décennies et pour quel résultat? Rien sur les potentats africains, corrompus et se foutant totalement de leur population. Rien sur le racisme entre africains qui ne peuvent pas se saquer et se différencient par la largeur de leurs nez ou par la couleur, hé oui, ou encore par ethnies différentes. Rien sur les dealers qui empoisonnent une partie de la population des pays d’accueil, etc…

  14. Posté par Hexgradior le

    L’UNIGE est à la 95ème place seulement dans le classement mondial des meilleures universités (QS World University Ranking).
    Avec une prof pareille, on comprend pourquoi…

  15. Posté par Carole le

    Bientôt ils vont accuser les blancs de les avoir utilisés comme esclave et de les avoir fait venir en Europe…merci Merkel et Sommaruga…

  16. Posté par Carole le

    Pas pu regarder jusqu’au bout non plus, mais qu’est-ce qu’elle fait en Suisse? Pourquoi ces gens ne retournent pas vivre chez eux puisqu’ils y sont mieux et bien compris. C’est devenu le Monde à l’envers. Ceux qui deviennent racistes, sont ceux qui ont souffert de violences et d’abus par des gens venus d’ailleurs. Point barre

  17. Posté par Bussy le

    Quand je vois les rues de Genève pendant les heures de travail, je pense qu’on a effectivement affaire à une colonisation et un retour de l’esclavagisme…. les blancs doivent travailler de plus en plus dur alors qu’il y a de plus en plus de noires avec poussettes et marmailles et mari qui se baladent tranquillement !

  18. Posté par Dominique Schwander le

    Encore une ignare métissée qui ne sait même pas qui a colonisé l’Afrique, qui se prend pour une artiste et qu’il ne fallait pas laisser entrer chez nous en Suisse, parce qu’elle encourage le racisme.

  19. Posté par Un citoyen le

    N’en déplaise à cette brave Africaine, un certain nombre de Genevois en ont marre de voir de plus en plus de Noirs squatter nos parcs ou traîner dans les rues, accompagnés trop souvent d’une ribambelle de gamins – les « Suisses » de demain.
    Relevons que Noémi Michel est maître-assistante en théorie politique à l’Université de Genève et que ses intérêts sont:
    – les théories postcoloniale et critique de la « race »;
    – les théories poststructuralistes, féministes et queer; politiques de l’égalité et de la différence; (anti)racisme; discours racialisés; mémoire coloniale.

  20. Posté par Gaston Siebesiech le

    Que penser?
    Rien
    Que dire?
    Rien
    Quel sentiment?
    Le dégoût

  21. Posté par TulliaCiceronis le

    Chapeau à ceux qui ont suivi cette vidéo ! Pour ma part, avertie par le titre que j’allais être confrontée à un degré de bêtise tel qu’il me donnerait un tournis sans recours, je me suis abstenue.

  22. Posté par Georges de La Fuly le

    Difficile à supporter.

    « Dans un monde renversé, le vrai est un moment du faux. » (Guy Debord)

  23. Posté par Beuret Eric le

    Pour moi, son départ dans sa colonie bannière est indiqué et qu’elle fasse un bon usage de ce bon fruit exotique.

  24. Posté par UnOurs le

    Le drame identitaire du métissage, je plains cette pauvre femme, obligée de haïr sa part blanche, parce que sa part noire n’est pas complète.

  25. Posté par Pascal Guex le

    Le colon accuse le colonisé d’être un colonisateur….le mensonge ne les étouffe pas.

  26. Posté par Aude le

    Qui a colonisé qui?
    À ce que je comprends..c’est la gaillarde qui nous colonise….et tous ses copains?
    Pas de contrition…pas de culpabilisation…ça ne marche plus…Qu’elle aille vendre sa marchandise ailleurs….pas intéressée par le produit nauséabond qu’elle veut nous vendre…

  27. Posté par Hexgradior le

    J’ai tenu très exactement 27 secondes à regarder la vidéo, après j’ai bâché…

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.