Immigration / La Dakar connection : le Paris-Dakar des clandestins – Journal du jeudi 30 mars 2017

post_thumb_default

 

Au sommaire de ce Journal télévisé du jeudi 30 mars 2017 : 1) Immigration / La Dakar connection : le Paris-Dakar des clandestins ; 2) Sécurité / Des prisons prêtes à craquer ! 3) Économie / La banque en pleine mutation ; 4) International / Les mutations du djihadisme africain ; 5) L’actualité en bref.

Hamon au fond du trou. Après l’annonce de Manuel Valls de voter pour Emmanuel Macron, l’avenir du PS est en suspens. Le candidat élu à la Belle Alliance Populaire creuse tombe de plus en plus bas dans les sondages et Jean-Luc Mélenchon, désormais loin devant lui, refuse désormais catégoriquement un quelconque rapprochement.

Seul contre tous, ou presque. Après sa victoire à la primaire de gauche, Benoît Hamon n’aura pas eu droit à la rampe de lancement. Faute d’état de grâce, il aura fallu se contenter du coup de grâce venu de Manuel Valls, l’ancien premier ministre, en avouant qu’il voterait pour Emmanuel Macron, contrairement à son engagement de la charte de la Belle Alliance Populaire. Le pavé dans la mare a plongé Hamon dans une situation désormais catastrophique. Atteindre les 10 % au premier tour de la présidentielle n’est même plus assuré pour le candidat étiqueté PS… mais délaissé par tous les cadres du parti. On peut dire que sa victoire relativement large à la primaire est bel et bien du domaine du passé. Une primaire à laquelle Emmanuel Macron, désormais soutenu par Manuel Valls, avait refusé de participer… à raison.

Dur en affaire le jeune loup de la finance. Malgré son allégeance, Manuel Valls n’est visiblement pas assuré d’avoir une place au soleil dans le mouvement en Marche. En effet, Macron persiste dans ses promesses de renouvellement de la classe politique et dans ce cadre, le rapprochement de Manuel Valls peut apparaître comme un véritable baiser de la mort… Pas étonnant que Valls soit allé jusqu’à tendre la main à Fillon… Quoi qu’il en soit, pour le banquier, il faut en effet à tout prix se distancer de cette image de plus en plus visible du successeur de François Hollande. D’ailleurs, le président, conscient de son impopularité contagieuse se garde bien de se prononcer en faveur d’un candidat… Benoît Hamon n’a – quant à lui – presque plus aucun soutien, mise à part Martine Aubry et Arnaud Montebourg. Après le pacte de non-agression conclu en février avec Jean-Luc Mélenchon, le breton s’est risqué à quelques petits pics, recevant en échange une mise en garde du bras droit du candidat de la France Insoumise, Alexis Corbière. Quoi qu’il en soit, pendant que Benoît Hamon dégringole, Mélenchon gravit les points dans les sondages jusqu’à dépasser les 15 %…

Si Jean-Christophe Cambadélis, conscient de la débandade future du candidat socialiste, estime qu’un résultat d’élection ne détermine pas l’avenir d’un parti… rien n’est moins sûr… Car cette fois, contrairement à la défaite de Jospin en 2002, il existe une alternative… la Macronmania.

Après le Medef, la FNSEA. Les candidats à la présidentielle étaient conviés au Congrès du premier syndicat d’agriculteurs pour exposer leur programme. Alors que le secteur connaît une crise sans précédent depuis plusieurs années, la FNSEA déplore que l’agriculture ne tienne pas une place plus importante dans la campagne.

Sortir l’agriculture de la crise, c’était le défi auquel les candidats à la présidentielle devaient répondre face au 71è congrès de la FNSEA, le syndicat majoritaire des agriculteurs. Benoît Hamon, dont le programme est très porté sur l’écologie a décliné l’invitation, prétextant une incompatibilité d’agenda. Jean-Luc Mélenchon a quant à lui proposé d’envoyer un de ses émissaires, ce qu’a refusé le syndicat. Philippe Poutou et Nathalie Arthaud n’ont pas non plus daigné se déplacer. Sept candidats se sont donc rendus au grand oral, à Brest. Chacun disposait de 15 minutes pour présenter son programme, puis d’autant pour répondre aux questions de la salle, questions filtrées au préalable. Pro-Bruxelles, Emmanuel Macron a brossé le syndicat dans le sens du poil en affirmant que les agriculteurs britanniques souffraient depuis le Brexit, ce qu’a rejeté en bloc la candidate du Front National. Les dirigeants de la FNSEA avaient d’ailleurs rappelé à plusieurs reprises toutes les plaies qui s’abattaient sur la France en cas de Frexit…  ce qui n’a pas facilité la prestation d’ouverture à François Asselineau.

La grande difficulté du rendez-vous consistait à ne pas déplaire aux exigences environnementales des électeurs, sans pour autant froisser les agriculteurs, dont les priorités sont ailleurs. Dans ce cadre, Macron a tempéré son désir d’interdire les oeufs de poules élevées en batterie en expliquant qu’il ne fallait pas y voir d’attaque envers la grande distribution. Il a également promis un plan Marshall de l’agriculture avec 5 milliards d’aides à l’investissement, notamment pour les installations. Parallèlement, le banquier a ajouté qu’il souhaitait mettre un terme à la transposition à outrance des normes européennes. Lorsque la salle a entendu les termes de “grenelle de l’alimentation”, des sifflets ont retenti en se remémorant le Grenelle de l’environnement, pour autant, le loup de la finance a précisé qu’il s’agissait d’une entente pour accompagner une transformation agricole. Il a rappelé que la directive des travailleurs détachées devait être respectées à la lettre pour ne pas favoriser le dumping social, un comble pour le candidat symbole de l’uberisation de la société, autrement dit de la dérégulation. Concernant la politique agricole commune, l’ancien ministre de l’économie a estimé qu’elle devait davantage aider les agriculteurs en temps de crise. De son côté, Marine Le Pen a défendu une politique agricole tricolore et les agriculteurs dans leur ensemble en fustigeant les règles caricaturales de l’Union Européenne. La présidente du Front National a également défendu ardemment un système de patriotisme alimentaire, estimant que les produits français s’exportaient mieux quand les Français eux-mêmes mangeaient des produits locaux. Dernier des 7 candidats à s’exprimer, François Fillon a quitté sa réserve pour lancer un “il faut arrêter d’emmerder les agriculteurs”, estimant que la France était ingrate avec son agriculture, bien qu’elle soit l’une des meilleures du monde. Le candidat a souhaité que les entreprises agricoles soient éligibles au crédit-impôt-recherche, le CICE. A l’inverse, le candidat de la droite ne s’est pas appesanti sur les questions environnementales, n’oubliant pas que les agriculteurs avaient fréquemment tendance à voter à droite… Il a même estimé que certains problèmes sanitaires étaient véhiculés par des JE CITE “marchands de peur”.

Le dernier débat sur France 2 en sursis. Après les refus de Jean-Luc Mélenchon puis d’Emmanuel Macron d’y participer en raison de sa date – le 20 mars, soit 24h avant la fin de la campagne officielle -, c’est au tour du Conseil supérieur de l’Audiovisuel d’émettre un avis négatif sur la question. Les Sages considèrent en effet qu’au vu des rebondissements permanents de cette campagne présidentielle, organiser le dernier débat alors que les concurrents ne pourront plus répondre à d’hypothétiques attaques, était trop risqué. Jean-Luc Mélenchon avait de son côté fait savoir qu’il ne croyait pas possible de participer à un débat après le 17 mars. Depuis, François Fillon et Marine Le Pen ont estimé que sans Mélenchon ou Macron, le débat avait moins d’intérêt, ajoutant qu’ils avaient d’autres choses à faire que courir les plateaux télés dans la dernière ligne droite de la campagne… Pour eux, l’émission avec les 11 candidats sur BFM et CNews le 4 avril suffirait amplement.

Et c’est sur cette information que Cap sur l’Elysée se termine. Je vous  donne rendez-vous demain pour un nouveau numéro, en attendant, retrouvez dès à présent Olivier Frèrejacques pour le reste de l’actualité. A demain, Bonsoir.

 

 

1) Immigration / La Dakar connection : le Paris-Dakar des clandestins

Les réseaux de faux papiers se multiplient ! Malgré le démantèlement de la “Dakar connection” : une importante filière de trafic de faux papiers, les autorités françaises restent sur le qui vive. L’explosion de ce commerce illégal coûte de plus en plus cher à la France.

Dakar Paris, le rallye migratoire ! Une importante filière d’immigration vient de prendre fin au terme d’une enquête qui a duré plus d’un an. Le manège, bien huilé, aurait ainsi permis à des centaines de Sénégalais d’obtenir  des faux papiers d’identité en France. Ce marché illégal en plein expansion est devenu la cible prioritaire de l’Office Central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers sans titre. En effet, plus de 8 000 individus auraient été démasqués l’année dernière en France alors qu’ils circulaient avec de fausses identités. Ces filières proviennent essentiellement d’Afrique subsaharienne.

Parmi les organisations : la Dakar connection ! Une filière dirigée par un escroc d’envergure internationale déjà connu des services de police. En tout, une quinzaine de faussaires, rabatteurs, animateurs et clients a été interpellée et placée en garde à vue.

Cependant, le trafic  a permis à de nombreux clandestins de se maintenir illégalement sur le territoire français et a brassé des centaines de milliers d’euros car chaque arnaque était facturée entre 10 et 12 000 euros. A ce tarif, les kits de faux papiers fournis paraissaient plus vrai que nature et trompaient la vigilance des autorités françaises.

Ce phénomène de faux papiers d’identité inquiète de plus en plus et la facture prend de l’ampleur. Sur les 35 000 documents analysés l’année dernière, 23 % étaient faux. Et ce chiffre prend toute son importance lorsqu’il est question des aides distribuées à ces clandestins.

Selon un rapport de la sénatrice centriste Nathalie Goulet, le montant des fraudes s’élève à 25 milliards d’euros pour les cotisations, à 2 milliards d’euros pour le chômage, à 14 milliards d’euros pour la prestation maladie et à 1,3 milliard d’euros pour la famille.

Si l’une des liaisons avec Dakar a été rompue, les filières se multiplient, en particulier en Afrique. En 2016, 81 filières africaines ont été découvertes soit près d’un quart des réseaux démantelés.

 

2) Sécurité / Des prisons prêtes à craquer !

Un nouveau record pour les prisons françaises ! Le mois de mars a vu le nombre détenus atteindre le niveau record de près de 70 000 prisonniers. Des chiffres en hausse constante notamment depuis l’augmentation du nombre d’attentats sur le sol français.

69 430 ! C’est le nombre de détenus dans les prisons françaises au mois de mars. En cause : l’augmentation d’arrestation dans le cadre de l’état d’urgence.

La prise en compte du risque d’attentat islamiste en France a en effet poussé les pouvoirs publics à se montrer plus enclin à enfermer des éléments susceptibles d’être dangereux.

La surpopulation carcérale atteint aujourd’hui des sommets : en Polynésie, la prison de Faa’a Nuutania connaît une densité de remplissage de 313 %, celle de Ducos en Martinique se situe à 226,5 % et celle de Nîmes à 205,7 %… En France l’ensemble des établissements pénitentiaires peuvent accueillir un peu moins de 59 000 détenus soit un manque de 10 000 places par rapport au nombre de prisonniers. Près de 2 000 détenus dormiraient sur des matelas installés à même le sol et 130 établissements pénitenciers ont une densité supérieure ou égale à 100 % !

Quant au profil des prisonniers il est vite identifiable : tout d’abord il s’agit très largement d’hommes puisque seulement 3,5 % des détenus sont des femmes. Ensuite, et même si des études chiffrées exactes sont rendues impossibles par l’interdiction des statistiques ethniques, les individus d’origine extra-européenne semblent surreprésentés en prison.

La question islamiste est aussi devenue centrale, en 2014 un rapport du Figaro estimait que la population musulmane représentait 60 % des détenus, un chiffre que confirmera l’ancien ministre de la culture Jack Lang qui parle même de 2/3 des musulmans.

Et sur cette question, même des élus socialistes ne se font pas d’illusion, c’est le cas du député Joaquim Pueyo, président du groupe d’études sur les prisons et les conditions carcérales qui s’exprimait sur la question lors d’un déplacement à la prison de Condé sur Sarthe.

Au-delà du profil des détenus, c’est bien le manque de moyens pour les surveillants qui pose problème. Aujourd’hui les détenus possèdent bien souvent des téléphones portables, ont accès à internet et diffusent impunément leur quotidien sur internet…

Les violences entre détenus mais aussi la suspicion de violences émanant des gardiens font du quotidien dans les prisons un véritable enfer. Les familles des détenus sont d’ailleurs parfois à l’affût pour tenter leur chance auprès des tribunaux…

33 nouveaux établissements pénitenciers avaient été promis par l’ancien premier ministre Manuel Valls, le ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas a pour sa part précisé le nom de 21 agglomérations qui accueilleraient ces prisons… Du côté des candidats à l’élection présidentielle, deux camps peuvent être établis : celui de Marine Le Pen et François Fillon qui veulent augmenter la capacité carcérale du pays et celui Benoît Hamon, inspiré de l’ancien Garde des Sceaux et opposé au “tout” répression. Emmanuel Macron se situe, sans surprise, un peu des deux côtés…

 

3) Économie / La banque en pleine mutation

L’ubérisation de l’économie s’attaque à de nouveaux secteurs ! Nouveau secteur d’activité : le secteur bancaire. Les banques en ligne attirent aujourd’hui de plus en plus de clients.

C’est plutôt une bonne nouvelle pour nos centres-ville : les banques commerciales annoncent à tour de rôle qu’elles vont fermer un certain nombre de leurs agences. Dernière en date BNP Paribas a annoncé que 10 % de ses agences disparaîtront d’ici 2020, soit une agence par semaine en moyenne… Un peu plus tôt, c’était la Société générale qui avait carrément annoncé la fermeture de 20 % de ses agences, toujours d’ici 2020. Le problème des banques est très basique : leurs frais de gestion sont de plus en plus élevés, les baux commerciaux, en centre ville, de plus en plus chers… et surtout, surtout, les clients boudent de plus en plus leur banque parce que le mythe du conseiller dédié à vécu… Quand, il y a dix ans, un conseiller pouvait avoir 800 clients à accompagner, aujourd’hui, il n’ait pas rare qu’il doive en gérer 2000 si ce n’est plus… à ce compte là, il est impossible d’avoir une relation privilégiée avec son banquier…

Si l’on ajoute  les horaires d’ouverture foncièrement inadaptés pour ceux qui travaillent, obligés de “passer à la banque” le samedi, en même temps que tout le monde, ou de demander à pouvoir s’absenter de leur poste pour pouvoir faire un rdv avec leur banquier, on comprend que la banque à l’ancienne soit en train de mourir à petit feu. Ajoutez à cela les contraintes en matière d’accès au public, obligeant les banques à prévoir désormais un accès handicapé, foncièrement incompatible avec les portes sécurisées ou les façades historiques dans laquelle nombre d’agences sont installées, et la boucle est bouclée : on ferme.

Grandes gagnantes de cette uberisation du métier de banquier : les banques en ligne, qui sont, bien souvent, des émanations ou des filiales des banques commerciales traditionnelles. on estime désormais qu’un français sur 10 est client d’une banque sur Internet. Avantage, elles sont d’abord moins chères, offrant la gratuité de la tenue de compte, et parfois, de la carte bancaire.. la disponibilité des conseillers, joignables par téléphone, est large, 6 ou 7 jours sur 7, souvent jusqu’à 22 heures. Inconvénient : ces banques sont sans état d’âme. elles choisissent leurs clients, ceux, aux meilleurs revenus, sans problèmes de fin de mois.

Mais tout cela n’est qu’une étape de la recomposition du paysage bancaire français.. Désormais, d’autres acteurs lorgnent sur votre argent : Carrefour vient de lancer un “pack bancaire”, qui s’achète en rayon comme un baril de lessive. C-Zam coûte seulement 5 euros, et pour ce prix là, vous bénéficiez d’une carte bancaire internationale, et le compte en banque associé s’ouvre en quelques minutes depuis votre smartphone… Mais le véritable choc pourrait survenir dans quelques semaines, quand Orange va lancer sa banque en ligne, baptisée tout simplement Orange Bank.. l’opérateur télécom compte démarcher tous ses clients… abonnés mobile ou Internet, en leur proposant des avantages préférentiels.. On tremble d’avance chez les banquiers traditionnels qui découvrent un peu tard qu’ils ne sont pas à l’abri, eux aussi de voir leur rente de situation s’effondrer sous leurs pieds.

 

4) International / Les mutations du djihadisme africain

Le djihadisme africain se réorganise ! Au Sahel, on peut constater un glissement des forces islamistes du Nord vers le Sud, au cœur du Mali et sur les pays frontaliers. Au Nigeria, Boko Haram a perdu du terrain mais reste menaçant. Pierre Bergerault

Depuis quelques mois, la stratégie djihadiste d’Al Qaïda au Sahel connaît des évolutions notables. L’historien spécialiste de l’Afrique, Bernard Lugan en explique les contours :

Au Nigeria, l’organisation terroriste Boko Haram se replie après à son échec à constituer un Califat indépendant.

Pour faire face aux attaques islamistes, la plupart des armées africaines souffre d’un manque de moyens et d’organisation. Bernard Lugan préconise des opérations interétatiques et revient sur l’importance de l’armée française à travers l’opération Barkhane.

Pour en finir avec le djihadisme, Bernard Lugan préconise de saturer toute la zone sahélienne.  Pour cela, l’historien imagine de reprendre la carte des implantations militaires françaises de 1960 et de recréer les compagnies nomades du temps des colonies. Réaliste, Bernard Lugan affirme toutefois qu’un tel dispositif serait impossible sans être taxé de néocolonialisme.

 

5) L’actualité en bref

Troisième soir de manifestation pour la communauté chinoise à Paris. Après le décès de l’un des leurs lors d’une intervention de police, environ 200 personnes se sont retrouvées devant l’Hôtel de ville de la capitale. Des heurts se sont à nouveau produits à l’issu du rassemblement.

***

Les Forces spéciales de l’armée française font leur marché ! En Gironde, dans le camp de Souge, avec le salon SOFINS des start-up, des PME mais aussi des grands groupes exposent leurs innovations dans le matériel antiterroriste et les nouvelles technologies.

***

Attaque à l’urine à Rennes ! Une réunion politique autour du programme de François Fillon a été perturbée par des militants d’extrême gauche. Ces individus, ont jeté de la soupe de poisson et de l’urine sur les participants aux cris de “facho”. Deux candidats Les Républicains aux élections législatives à Rennes ont décidé de porter plainte.

***

Et une courte page psychiatrie pour finir sur une note d’humour. Vous l’aurez compris le XXIème siècle n’est pas l’âge des artistes mais celui des performances. Un de ces “performeurs” français, qui répond au doux nom de “Abraham Poincheval” est un spécialiste dans ce “domaine”. Après avoir récemment passé une semaine enfermé dans un rocher, il s’est désormais mis en tête de couver une douzaine d’oeuf jusqu’à ce qu’ils éclosent.

Cet article Immigration / La Dakar connection : le Paris-Dakar des clandestins – Journal du jeudi 30 mars 2017 est apparu en premier sur TVLibertés - 1er media de Réinformation de France.

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.