Canton de Berne. Seuls 5% des "réfugiés reconnus" réussissent à quitter l'aide sociale.
Selon le chef du bureau d'intégration du canton de Berne, entre 20 et 30% des immigrants "légaux" travaillent, mais la plupart continuent à recevoir l'aide sociale. En effet, 95% des "réfugiés" et des "étrangers admis temporairement" continuent à recevoir des subsides financiers. Et ceux qui travaillent ne font que des travaux payés à l'heure ou n'occupent que des emplois temporaires. Pendant ce temps, les racailles de gauche ont rendu inutilisables les distributeurs automatiques des transports publics de la région de Berne, parce qu'ils reprochent à la société Bernmobil d'engager des immigrés pour nettoyer leurs véhicules, provoquant ainsi des dommages financiers énormes.
http://www.bernerzeitung.ch/region/kanton-bern/trotz-arbeit-in-der-sozialhilfe/story/21846063
http://www.bernerzeitung.ch/region/bern/aktivisten-verkleben-bernmobilautomaten/story/16775957
Traduction (Claude Haenggli) : Nous serions très certainement heureux de recevoir plus d'offres d'emploi. Mais il est compréhensible que l'économie n'a qu'un besoin limité de travailleurs de bas niveau de qualifications. Et c'est un fait qu'une grande partie des requérants d'asile, entre autres d'Erythrée ou de Somalie, n'ont suivi que l'école primaire dans leur pays. Ou même pas. Cela rend la situation difficile. Une idée du conseiller d'Etat UDC Pierre-Alain Schnegg est que les bénéficiaires de l'aide sociale soient contraints par des mesures de pression financières d'apprendre l'allemand ou le français et d'atteindre un certain niveau dans l'une de ces langues. Pour les extrémistes de gauche, le modèle économique du programme d'intégration de la ville est en revanche "exploiteur, brutal et raciste".
Claude Haenggli, 15.3.2017
C’est d’ailleurs la seule et unique raison de leur présence en Suisse.
Ils haïssent notre pays, mais adorent ses prestations sociales!
Tous les glandeurs des rues lausannoises vous le confirmeront.
Normal, ils viennent pour toucher du « social » donc en toute logique ils ne veulent pas en sortir.
Pourquoi travailler ? Si l’on n’est pas qualifié, le montant d’un bas salaire et les prestations de l’aide sociale sont équivalentes !
François Brélaz, Candidat Libéral.conservateur au Grand Conseil, Cheseaux.
Il serait intéressant de savoir ce que ces réfugiés reconnus en pensent de ce pourcentage extrêmement élevé d’oisiveté. Les médias s’informent-ils de ce problème ou préfèrent-ils commenter les manifestations réclamant encore plus de migrants ?
Les racailles de gauche, certainement bénéficiaires de l’aide social comme leurs petits protégés analphabètes, sont tellement idiots qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils scient la branche sur laquelle ils sont confortablement assis !
En effet plus il y aura de bénéficiaires de l’aide sociale, plus celle-ci finira un jour par devoir être réduite !