Le gouvernement suisse utilise nos impôts pour financer des organisations qui prônent la haine des Israéliens

Christian Hofer: Article qui met en relief toute la naïveté du Conseil fédéral et de notre administration pour qui le seul terme de "droits de l'homme" apposé en bannière valorisante, donne légitimité pour recevoir des millions de la part des contribuables suisses.

Visiblement, ces organismes palestiniens ont tout compris de la bien-pensance occidentale: l'apparence est un excellent moyen pour tromper les incompétents qui nous dirigent.

**********

La Suisse finance en Israël et dans les territoires palestiniens différentes organisations qui appellent à la destruction d'Israël et au massacre des Juifs de diverses manières. Dans le département des affaires étrangères, on fait comme si tout était en ordre. Les comptes rendus et les évaluations des organisations sont toutefois gardés secrets. Près de 60 millions de francs du gouvernement fédéral sont injectés vers le Moyen-Orient.

Le conseiller national UDC Christian Imark a critiqué les versements de l'année dernière. Dans une mention, il demande qu'à l'avenir l'argent des contribuables ne soit pas dépensé pour "le racisme, l'antisémitisme et la provocation". Le Conseil fédéral a rejeté la motion.

Le crédit de plusieurs millions pour le très contesté "Secrétariat des droits de l'homme" à Ramallah a été augmenté de près de 700'000 francs en décembre dernier. Jusqu'en 2010, la Suisse a également financé directement des organisations douteuses. Depuis 2013, ce bureau sert d'organisation de façade par le biais de laquelle les pays occidentaux versent de l'argent de manière incontrôlée à des organisations anti-israéliennes et antisémites

Le bureau est financé par la Suisse, le Danemark, les Pays-Bas et de la Suède. L'argent atterrit d'abord dans un bureau d'études à Stockholm, et de là dans le territoire palestinien. Par la suite, le Secrétariat des droits de l'homme distribue l'argent plus loin, en partie à des organisations qui appellent ouvertement à détruire Israël. Parmi elles, par exemple, Badil, une association qui, entre autres, organise chaque année un concours d'affiches que l'on gagne si l'on représente le droit de retour pour tous les Palestiniens en Israël. Ainsi, l'Etat d'Israël n'existe plus. L'organisation soutient également les appels au boycott contre Israël et des produits israéliens.

Ainsi, Badil s'engage dans quelque chose qui est tout à fait différent de la politique extérieure officielle de la Suisse, cette dernière favorisant une solution à deux Etats dans la région.

En 2010, on pouvait voir sur l'affiche la représentation antisémite d'un Juif alors que la Suisse soutenait officiellement l'organisation Badil. Depuis 2013, l'argent afflue à nouveau mais il est cependant camouflé derrière le "Secrétariat des droits de l'homme". Dans le même registre, le "centre palestinien pour les droits de l'homme" en bénéficie aussi, une organisation qui appelle régulièrement à l'arrestation des hommes politiques israéliens et qui compare Israël au régime d'Apartheid en Afrique du Sud. Al-Haq, un organisme qui tente, au moyen d'un flot de recours de bloquer la justice israélienne, profite aussi de notre argent.

(...)

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Monsieur Siegrist

8 commentaires

  1. Posté par Dominique Schwander le

    Que se soit de la corruption comme le pot de vin de 500.000 USD donnés à Hillary Clinton ou des ingérences dans des pays étranger, c’est honteux et intolérable.

  2. Posté par Vieuxpirate le

    Quand les Israeliens rendront les territoires occupes et arreteront de demolire les maisons palestinienes ont les aimera un peu plus.

  3. Posté par pierre frankenhauser le

    Nos élus sont toujours les prompts à se mettre à genoux devant les exigences d’un monde économique et financier suisse très performant. Or, ils semblent avoir oublié que sans le précieux apport des Juifs depuis plusieurs générations, notre économie et notre système financier seraient certainement pas aussi développés. Nos politiciens ont une mémoire bien sélective. Ils ne pourraient peut-être pas se gargariser à longueur d’année avec une Suisse championne du monde de la compétitivité et de l’innovation. Ils préfèrent soutenir des gens violents, stupides, fainéants, idéologues inféodés à dieu assassin et pédophile, qui refusent toute remise en question de leurs dogmes moyenâgeux et barbares.

  4. Posté par Margo le

    Honte à nos dirigeants asservis, acculés, apeurés par une Bruxelles discréditée, irresponsable, nocive et dangereuse pour ses administrés. Ses jours sont comptés… et peut-être que les nôtres aussi ? Qu’importe….. je préfère mourir debout que vendre mon âme au diable et vivre à genou devant ce poison qu’est cette « pseudo religion » et ses endoctrinés qu’on nous impose de force !!!!!

  5. Posté par TulliaCiceronis le

    Le (vaste) problème exposé ici mérite, en effet, toute l’attention des citoyens. Il semble que la gabegie, secondée par l’idéologie qu’on sait, préside à cet arrosage à grande, mais aussi à petite échelle, depuis une éternité. Il est grand temps de pénétrer les arcanes de toutes ces officines qui prétendent oeuvrer au « bien de l’humanité », ceci en notre nom, i.e. avec les deniers publics. Globalement, la question est : qui distribue quoi, à qui et à quelle fin ? S’agissant de la « Palestine », il serait intéressant de connaître le montant (sans doute effarant) tombé au cours des ans dans l’escarcelle de ses autorités (et de leurs clans) au motif de développement…

  6. Posté par Babaurum le

    Ah, si seulement la Suisse pratiquait la même politique qu’Israel, notamment : murs aux frontières, aucun « réfugié », emprisonnement puis renvoi des illégaux, armée puissante, souveraineté et indépendance.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.