Wiener Neustadt est la onzième plus grande ville en Autriche (…) 56,4 % des écoliers cette année sont d’origine «non-autrichienne.
(…) l’annonce a été faite par le maire Klaus Schneeberger qui pour la première fois dans l’histoire de la ville voit une classe d’âge préscolaire sans un seul élève germanophone.
Schneeberger (…) a dit que, en moyenne, la proportion d’enfants ayant une langue maternelle étrangère dans les quatre classes d’âge préscolaire est déjà à 80,33 %.
Wiener Neustadt a officiellement une «population migrante» d’environ 23 % (…)
Un rapport dans le journal « Kurier » dit que dans huit des 17 jardins d’enfants, et dans cinq des huit écoles nationales, la part des enfants « avec une langue maternelle étrangère a dépassé la barre des 50 %. » Dans les écoles, il est déjà 56,64 % ajoute le rapport.
Les enseignants de maternelle ont déjà fait état de la «connaissance catastrophique» de l’allemand parmi les élèves, et que «aucune des méthodes d’enseignement ordinaires n’est possible. »
Schneeberger a dit que l’école Otto Glöckel était un cas d’espèce. Dans certaines classes de cette école 93 % des enfants ne parlent pas l’allemand à la maison.
Au lieu d’appeler à l’arrêt du remplacement de son propre peuple, Schneeberger a demandé à son gouvernement une aide supplémentaire pour enseigner à ces enfants du Tiers-Monde l’allemand « afin de protéger leur avenir. »
« Si nous ne réagissons pas maintenant, alors nous aurons un problème. Les déficits linguistiques des enfants d’aujourd’hui sont le terreau fertile pour le chômage de demain » a-t-il dit.
Il a été rejoint dans cet appel par le président du conseil de la ville, le socialiste Heinrich Himmer, qui a demandé « plus de professeurs d’orientation et la promotion de la langue ».
Source : http://newobserveronline.com/austrian-city-56-nonwhite-school-population/
Via CivilWarInEurope
Si Norbert Hofer devient Président aux prochaines élections, les Autrichiens pourront modifier la date de leur Fête nationale. Mais six ans, c’est encore très long.
« Les déficits linguistiques des enfants d’aujourd’hui sont le terreau fertile pour le chômage de demain… »
Tiens, je croyais, selon la vulgate actuelle, que la « diversité » était par nature une chance.
Nous aurait-on menti ?
Bien fait , continuez à en faire venir et ne vous plaignez pas.
À Fribourg, le fils d’un ami est le seul Suisse. Et je vous assure qu’il doit faire profil bas.