Les Sud-Africains font la chasse aux immigrés !

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L’immigration n’est pas qu’un problème occidental. Et les opposants à l’immigration illégale ne sont pas uniquement des blancs d’Europe ou des Etats-Unis. Vendredi, à Pretoria, en Afrique du Sud, une marche anti-immigrés avait des allures autrement plus radicales que les manifestations « d’extrême droite » en Europe. Excédés par la présence d’immigrés illégaux, notamment des Nigérians, mais aussi des Soudanais, des Somaliens, etc, des Sud-Africains principalement issus des quartiers pauvres ont organisé une marche qui visait à chasser les immigrés de la capitale. 

Des groupes de Sud-Africains et des groupes d’immigrés se sont violemment affrontés, à coups de machettes, de bâtons et de pierres.

La police sud-africaine a utilisé des tirs de balles en caoutchouc, des gaz lacrymogènes et des canons à eau pour disperser les foules.

Beaucoup de Sud-Africains sans emploi accusent les immigrés de prendre leur emploi ou de vivre de trafics divers.

A début de la semaine, des foules de Sud-Africains en colère avaient déjà pillé des magasins appartenant à des Somaliens, des Pakistanais et d’autres migrants dans des townships autour de Pretoria et de certaines parties de Johannesburg.

« Ils [les étrangers] devraient savoir que ce sont des invités dans ma maison, je les traite avec respect, ils devraient me traiter avec respect », a déclaré un manifestant à la BBC.

Les immigrés nigérians présents en Afrique du Sud sont aussi accusés de trafic de drogue.

« Ces gens-là, ils vendent de la drogue : ils ont squattés tous ces bâtiments ! Quand je dénonce ça, on dit que je suis xénophobe ! J’en ai marre ! Nous nous plaignons auprès de la police mais elle ne fait rien… Que doit-on faire ? Nous ne sommes pas violents mais fait pas nous pousser…», lance un Sud-Africain exaspéré.

Des pétitions circulent également pour dénoncer les nuisances diverses causées par les immigrés dont le comportement est considéré comme de plus en plus arrogant.

Le ministre des Affaires intérieures a annoncé jeudi des plans pour inspecter les lieux de travail afin de voir si les entreprises emploient des étrangers sans papiers.

Le taux de chômage atteint plus de 26 % en Afrique du Sud alors que le pays compte entre 1,5 et 2 millions d’étrangers.

L’Afrique du Sud a connu son plus grave épisode de violence contre les étrangers en 2008, lorsque plus de 60 personnes sont mortes. Il y a deux ans, des troubles similaires dans les villes de Johannesburg et de Durban ont fait sept morts.

 

 

Extrait de: Source et auteur

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6 commentaires

  1. Posté par Azty le

    Mais ces noirs se rendent-ils compte qu’ils sont eux-même descendants d’immigrés bantous qui n’auraient jamais osé mettre un pied sur ce territoire lorsqu’il était occupé par les Zoulous?
    Il a fallu que les blancs les vainquent de haute lutte pour qu’ils osent pointer le bout du nez.
    Et ce sont ces Bantous qui composent l’écrasante majorité des noirs sud-africains, et dont la présence est postérieure à l’arrivée des blancs.

  2. Posté par Ralebol le

    Tiens, tiens, des nigérians qui trafiquent de la drogue et se montrent de plus en plus arrogants. Comment cela est il possible? Je croyais qu’ils sont de pauvres victimes et qu’ils fuient la guerre. De toute évidence, c’est toujours les mêmes qui profitent des très naïfs pays d’accueil pour commettre leurs méfaits.

  3. Posté par miranda le

    Une erreur dans mon précédent message à Anne Lauwaert

    que je rectifie par celle-ci : les parents ne devraient plus accepter (dans les livres scolaires) une histoire qui culpabilise les uns (le monde blanc) et victimise les autres (le monde immigré) ayant « subi colonisation et esclavagisme ».

  4. Posté par miranda le

    Réponse à Anne Lauwaert

    Tout à fait d’accord avec vous.
    Je rêve un jour de voir les parents organiser des manifestations dans toute l’Europe, pour se rebeller contre cette éternelle repentance enseignée dans les écoles qu’on veut faire subir à des générations d’enfants « blancs », qui n’ont rien a voir avec l’esclavage et les colonisations. Car ils n’étaient pas nés. Et la majorité n’a pas eu d’ancêtres colonisateurs.

    Ce qui fait qu’aujourd’hui on a crée une opposition entre ces jeunes « blancs repentants » et des enfants immigrés de la troisième génération que l’on enferme « dans ce rabachage colonial et esclavagiste » les engageant malgré eux dans la voie du ressentiment.

    OUI, les parents devraient se lever, s’opposer à ce que les livres d’histoires cessent de culpabiliser les uns et victimiser les autres.

    Et rétablir une vérité : l’être humain a toujours eu le goût cruel de la conquête partout, sur toute la surface de la terre. Le colonialisme et l’esclavage n’est pas l’apanage des blancs. Ils ont largement été inspirés par des peuples qui le pratiquaient avant eux, notamment les ARABES ET LES AFRICAINS..

    QUE NOS ENFANTS AIENT DE LA COMPASSION POUR LES PEUPLES AYANT SOUFFERT DES CONQUETES ET DE L’ESCLAVAGE, OUIIIIII!

    DE LA REPENTANCE, NOOOOOOOON!

    PARENTS, REVEILLEZ VOUS!

  5. Posté par Michel le

    C’est très gênant pour nos bien-pensants car, on ne peut pas leur coller l’étiquette de « racistes »! C’est quoi alors ? Des peuples qui se défendent d’ invasions mortifères peut-être ?
    Chez Nous, en Europe, sommes-nous » trop civilisés » ou « anesthésiés « , après quarante années sous perfusion du vaccin antiraciste par les collabos droit-de-l’hommiste, que nous ne réagissions pas comme eux ?

  6. Posté par Anne Lauwaert le

    C’est déjà arrivé dans le passé mais faut pas le dire car il n’y a que les blancs “xénophobes” comme l’esclavage ou la traite des nègres ne peuvent être faits que par des blancs, raison pour laquelle on ne parle jamais de Tippo Tipp et de l’esclavagisme arabo-musulman vers Zanzibar – à lire sur wikipedia

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