Il est souhaitable qu’une partie des multinationales installées à Genève quittent la Suisse: ça créera des logements disponibles pour les citoyens suisses! La Suisse romande est « envahie » par les citoyens genevois qui ne trouvent plus de quoi se loger à Genève!
Que ceux les emploient délocalisent tranquillement!
Cela fera moins de trafic matin et soir, et on pourra à nouveau contrôler sérieusement nos frontières pour refuser les envahisseurs mahométans, mélangés aux masses de frontaliers!
RIE3: le Non était bien envoyé!
HALTE A LA SURPOPULATION c’est le seul discours qui tient la route. Et après on nous impute la charge fiscale du CEVA qui ne servira que très partiellement les intérêts d’une minorité de profiteurs d’ici pratiquant cette traite professionnelle. En plus, on doit élargir nos routes parce que 320’000 frontaliers, c’est impossible à dispatcher depuis un train et avec les correspondances d’autres véhicules des services publics, sinon en perdant un minimum d’une heure supplémentaire. Tout au plus ils continueront de venir en voiture. Mais cette idiotie laisse planer le spectre de la corruption. Parking de dissuasion encore payés par nos soins et qui finissent comme aire de stationnement pour les Roms qui continuent à mendier outre frontière.
Les idiots sont ceux qui ont approuvé, à moins qu’ils touchent, ce qui paraît de plus en plus probable. Et ces diesels bourrés de souffre qui nous bousillent la santé, c’est aussi la preuve que nos élus doubles nationaux ont un double langage et qu’ils crèchent en France, roulent avec cette saloperie qui tue et dont on sait seulement maintenant que le moins de CO2 tant argumenté n’était clairement qu’un pur alibi par rapport à l’essence. S’il n’y avait pas cette pression sur les logements, organisée par le « milieu » politique de concert avec les voyous de l’immobilier, on en serait pas là !
Vous ne supprimerez jamais les mamelles de ce capitalisme sauvage qu’on nomme « developpement ».C’est-à-dire densification,surpopulation,bétonnage à outrance,développement hors controle des gares,des aéroports,surélévation d’immeubles,bruits et pollution, bouchons dans les transports…un cortège de dingueries qui profitent à 1 ou 2 % de la polpulation!
Il est sérieusement temps de boycotter certaines enseignes ou le taux de frontalier dépasse largement les 90% (Pour exemple le parking pour le personnel du centre commercial Balexert à Genève).
Le vote contre l’immigration de masse a été totalement trahi… Ceux-là même qui prétendaient que les chiffres régressaient se cachent aujourd’hui.
Et personne pour protéger le peuple, la démocratie, la souveraineté…
« Le nombre des frontaliers est passé de 251’700 en 2011 à 318’500 en 2016, ce qui correspond une hausse de 26,6%. »
Bonne question Le Taz.
La 2ème question doit être combien de personnes cherchent du travail en Suisse ?
Parce qu’entre chômeurs, ceux qui ont fini leur droit au chômage, ceux aux sociale et ceux qui ne sont inscrits nulle part, cela fait un sacré paquet.
On apprend de plus qu’il y aurait entre 70’000 et 300’000 illégaux ou sans papier, on croit rêver d’un tel laxisme des autorités. En vingt ans tout est devenu pourri dans ce pays. Ça fait vraiment ch…..
Deux questions à nos autorités :
1. Combien de frontaliers suisses travaillent-ils en France, en Allemagne, en Autriche et en
Italie ?
2. Combien avons-nous de chômeurs ?
Il est souhaitable qu’une partie des multinationales installées à Genève quittent la Suisse: ça créera des logements disponibles pour les citoyens suisses! La Suisse romande est « envahie » par les citoyens genevois qui ne trouvent plus de quoi se loger à Genève!
Que ceux les emploient délocalisent tranquillement!
Cela fera moins de trafic matin et soir, et on pourra à nouveau contrôler sérieusement nos frontières pour refuser les envahisseurs mahométans, mélangés aux masses de frontaliers!
RIE3: le Non était bien envoyé!
HALTE A LA SURPOPULATION c’est le seul discours qui tient la route. Et après on nous impute la charge fiscale du CEVA qui ne servira que très partiellement les intérêts d’une minorité de profiteurs d’ici pratiquant cette traite professionnelle. En plus, on doit élargir nos routes parce que 320’000 frontaliers, c’est impossible à dispatcher depuis un train et avec les correspondances d’autres véhicules des services publics, sinon en perdant un minimum d’une heure supplémentaire. Tout au plus ils continueront de venir en voiture. Mais cette idiotie laisse planer le spectre de la corruption. Parking de dissuasion encore payés par nos soins et qui finissent comme aire de stationnement pour les Roms qui continuent à mendier outre frontière.
Les idiots sont ceux qui ont approuvé, à moins qu’ils touchent, ce qui paraît de plus en plus probable. Et ces diesels bourrés de souffre qui nous bousillent la santé, c’est aussi la preuve que nos élus doubles nationaux ont un double langage et qu’ils crèchent en France, roulent avec cette saloperie qui tue et dont on sait seulement maintenant que le moins de CO2 tant argumenté n’était clairement qu’un pur alibi par rapport à l’essence. S’il n’y avait pas cette pression sur les logements, organisée par le « milieu » politique de concert avec les voyous de l’immobilier, on en serait pas là !
Vous ne supprimerez jamais les mamelles de ce capitalisme sauvage qu’on nomme « developpement ».C’est-à-dire densification,surpopulation,bétonnage à outrance,développement hors controle des gares,des aéroports,surélévation d’immeubles,bruits et pollution, bouchons dans les transports…un cortège de dingueries qui profitent à 1 ou 2 % de la polpulation!
Il est sérieusement temps de boycotter certaines enseignes ou le taux de frontalier dépasse largement les 90% (Pour exemple le parking pour le personnel du centre commercial Balexert à Genève).
Le vote contre l’immigration de masse a été totalement trahi… Ceux-là même qui prétendaient que les chiffres régressaient se cachent aujourd’hui.
Et personne pour protéger le peuple, la démocratie, la souveraineté…
« Le nombre des frontaliers est passé de 251’700 en 2011 à 318’500 en 2016, ce qui correspond une hausse de 26,6%. »
Bonne question Le Taz.
La 2ème question doit être combien de personnes cherchent du travail en Suisse ?
Parce qu’entre chômeurs, ceux qui ont fini leur droit au chômage, ceux aux sociale et ceux qui ne sont inscrits nulle part, cela fait un sacré paquet.
On apprend de plus qu’il y aurait entre 70’000 et 300’000 illégaux ou sans papier, on croit rêver d’un tel laxisme des autorités. En vingt ans tout est devenu pourri dans ce pays. Ça fait vraiment ch…..
Deux questions à nos autorités :
1. Combien de frontaliers suisses travaillent-ils en France, en Allemagne, en Autriche et en
Italie ?
2. Combien avons-nous de chômeurs ?