Islamophilie & islamophobie – Accueillir ou expulser les migrants musulmans ?

Michel Garroté
Politologue, blogueur
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Michel Garroté - Accueillir ou expulser les migrants musulmans ? Ni l'un, ni l'autre. Si l'on n'accueille pas (ou plus du tout ou un peu moins), il n'y a personne à expulser... Bien. Venons-en aux faits. En baisse dans les sondages de ces dernières semaines (ah les sondages...), le gouvernement d'Angela Merkel tente de rassurer l'opinion à l'approche des élections de l'automne prochain. Le directeur de la chancellerie allemande évoque la nécessité d'expulser en priorité « les délinquants » (cela dit, côté sonde-âges, les chrétiens démocrates CDU-CSU de la Chancelière Angela Merkel sont repassés en tête des intentions de vote devant les sociaux-démocrates allemands du SPD, selon un sondage INSA pour le quotidien Bild, paru le 20 février 2017).
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Afin de ne pas effrayer inutilement nos lectrices et nos lecteurs, j'aimerais mentionner, pour commencer, les trois parties de la (très) longue analyse publiée ci-dessous :
- Peter Altmaier, Directeur de la Chancellerie allemande évoque la nécessité d'expulser en priorité « les délinquants » ;
- l'islamophilie et de l'islamophobie vues par Guillaume Faye ;
- Franck Jullié et Eric Kayayan nous rapellent que la bible, dans la précision de son vocabulaire, distingue quatre mots pour décrire les étrangers.
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Maintenant revenons-en gouvernement d'Angela Merkel qui tente de rassurer l'opinion. Peter Altmaier, directeur de la chancellerie fédérale allemande et proche collaborateur d'Angela Merkel, a annoncé (ou prétendu...) que les 300'000 migrants dont la demande d'asile avait été refusée par les autorités allemandes en 2016 seraient, dit-il, « rapidement expulsés » (on attend pour voir...). « Sans cela, la crédibilité de notre Etat de droit est engagée », a expliqué Peter Altmaier, dans un entretien avec l'hebdomadaire Bild am Sonntag.
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Entretien de Peter Altmaier avec ROMAN EICHINGER, MIRIAM HOLLSTEIN et NIELS STAR­NICK ; extraits adaptés ; voir lien vers Bild am Sonntag en bas de page) : «Nous devons surtout expulser les délinquants et les individus qui représentent une menace pour notre sécurité dans les plus brefs délais», a-t-il ajouté, s'exprimant en sa qualité de coordinateur de la politique migratoire du gouvernement. «L'an passé, près de 80 000 migrants ont déjà été reconduits dans leurs pays», a-t-il tenu à souligner, affirmant par ailleurs que « ce nombre grimperait » en 2017.
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Alors que la défiance de l'opinion allemande à l'égard de la politique migratoire conduite par Angela Merkel s'accroît depuis plusieurs mois, l'attentat commis à Berlin en 2016 par un migrant tunisien qui devait être expulsé vers la Tunisie a mis en lumière les problèmes de coopération entre l'Allemagne et certains pays. Anis Amri avait en effet vu son expulsion retardée à cause d'une mauvaise coopération entre Tunis et Berlin.
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« Nous faisons des progrès », martèle pourtant Peter Altmaier, qui affirme que Berlin travaille notamment avec «l'Algérie, le Maroc et l'Afghanistan», afin d'accélérer les expulsions vers ces pays. Récemment, Angela Merkel avait annoncé vouloir accélérer les expulsions. L'ambition affichée par Peter Altmaier d'intensifier les reconduites à la frontière confirme donc le virage qu'adopte son parti, l'Union chrétienne-démocrate (CDU), à l'approche des élections fédérales de l'automne 2017 (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Pour la première fois depuis plusieurs années, un sondage donnait la chancelière allemande battue par son rival du Parti social-démocrate (SPD), Martin Schulz, ex-alcoolique, ce qui peut arriver à tout le monde (aujourd'hui "alcoolique abstinent", selon l'alcoologie pratiquée par les médecins), grande gueule et soupçonné de corruption ; corruption dont les médias ont à peine parlé. Pour revenir aux sonde-âges, dans un sondage tout récent, Mother Merkel l'emporte à nouveau sur Papa Schulz.
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Le problème de l'islamophilie et de l'islamophobie :
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A propos de l'islamophilie et de l'islamophobie, NOVOPRESS, avec Guillaume Faye, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’islamophobie, une variante du ”racisme” pour l’idéologie dominante soft-totalitaire, est aujourd’hui poursuivie ; comme l’anti–nazisme pendant l’Occupation ou l’anti-soviétisme dans l’ex–URSS. La même logique de soumission et de collaboration (dont la peur est le ressort) du dominé envers l’envahisseur est à l’oeuvre. L’islam est devenu intouchable, surtout pour les pouvoirs de gauche, même si ses racines sont liées à la dictature, à l’antisémitisme, à l’oppression des femmes, à l’obscurantisme ; sans oublier l’explosion de la délinquance, de la criminalité et du terrorisme, dont l’immense majorité des auteurs est d’origine musulmane. L’accusation d‘islamophobie vise à intimider et à soumettre. Au nom de la démocratie et de la liberté. Bonjour Orwell.
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Un désir masochiste d’être envahis et soumis :
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Plusieurs manifestations de musulmans, soutenus par des islamo–collaborateurs, répètent ce slogan (parfaitement totalitaire) inscrit sur des banderoles : « l’islamophobie n’est pas une opinion, c’est un délit ». Le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), officine militante d’islamisation de la France et de colonisation migratoire, poursuit en justice pour ”racisme” (!) l’historien George Bensoussan parce qu’il a déclaré que les Arabo–musulmans sont élevés dans l’antisémitisme (voir plus bas).
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Nous vivons ce paradoxe : l’islamophobie est condamnée alors que l’islam et les musulmans sont, partout dans le monde, les principaux acteurs de terreur, de meurtres, d’oppression et d’obscurantisme ! Et la christianophobie est parfaitement autorisée ! (L’islamophobie est même punie de mort par les musulmans eux–mêmes : voir le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo qui, pourtant, s’en prenait très rarement à l’islam mais répétitivement au christianisme)
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L’antisémitisme (ou judéophobie) n’est poursuivi que s’il provient (les cas sont rares) des milieux d ‘”extrême droite” et français de souche, mais pas des musulmans, qui bénéficient d’un privilège d’innocence. La judéophobie, comme le racisme anti–Blanc, d’origine arabe, musulmane, africaine sont très généralement ignorés et impunis par les autorités françaises objectivement collabos. Alors que, partout dans le monde, et jusqu’en France, les agressions, meurtres et persécutions contre les chrétiens sont commis au nom de l’islam. On marche sur la tête. Il s’agit de servitude volontaire. (1)
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Peu répandue, l’islamophobie mériterait-elle de l’être ?
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Pour Pascal Bruckner, auteur d’un récent essai, Un racisme imaginaire (Grasset), l’islamophobie est une invention, qui ne correspond pas à un sentiment répandu en Occident : cette fiction servirait à neutraliser les résistances à l’ ”islamisme” et à culpabiliser, comme ”racistes” (accusation magique et paralysante) les opposants au salafisme. C’est parfaitement exact. Mais cette position est ambigüe. Car Bruckner rejette par là même l’islamophobie comme immorale, et en élimine la possibilité. Il sous-entend que ” ce n’est pas bien” d’être islamophobe ; pourquoi l’islamophobie ne serait-elle pas légitime, alors que nous sommes objectivement agressés par l’islam chez nous, son invasion, ses exactions et ses crimes ?
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Bruckner cède à la première étape de la soumission à l’islam invasif. Les islamophobes sensés sont donc condamnés par cet intellectuel prétendu adversaire de l’ ”islamisme ”. Bruckner obéit à l’esprit munichois : surtout pas de conflit ! L’angélisme politique et l’optimisme des bons sentiment sont le psoriasis mental des intellectuels élégants, qui pensent que la cohabitation, le ”vivre ensemble” en langue de bois, sont possibles dans l’harmonie.
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L’oxymore de l’ ”islam modéré et tolérant” :
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La fable de l’ ”islam modéré” (pourquoi pas le ”nazisme centriste”, le ”stalinisme libéral”, le ”catholicisme athée”, etc. ?) est diffusée par l’idéologie officielle. Les premiers à s’élever contre cette idiotie sont d’ailleurs des écrivains et intellectuels arabes lucides, femmes et hommes, très minoritaires, mais courageux face aux menaces de leurs coreligionnaires obscurantistes et fanatisés, pour lesquels les ”apostats”, coupables de trahison, sont les pires ennemis.
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L’historien George Bensoussan (2) est poursuivi pour racisme par le CCIF – Collectif contre l’islamophobie en France, association militante objectivement alliée à l’islam radical, suivi des idiots utiles collabos habituels : la Licra, la Ligue des droits de l’homme, SOS Racisme et le Mrap (le marché de l’ ”antiracisme”). On l’attaque pour avoir déclaré que dans les familles musulmanes, l’antisémitisme était inculqué culturellement dès l’enfance, ce qui est une évidence sociologique.
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Ivan Rioufol (Le Figaro, 03/02/2017) note : "La trahison des mouvements antiracistes qui trouvent chez des magistrats l’appui pour poursuivre ceux qui dénoncent la nouvelle judéophobie, fait mesurer l’emprise de l’idéologie conquérante sur les esprits. Elle fait répéter que le musulman est le juif des années trente, en dépit des attentats au nom d’Allah. Une même inversion des réalités permet aux embrigadés de soutenir que l’antisionisme, qui dissimule souvent la haine du mécréant, est un antiracisme. » Il déplore la « désintégration de la nation, sous le poids du communautarisme surprotégé ». Ce qui signifie, en langage journalistique correct, que la nation est menacée par l’immigration en majorité musulmane. « La 'désislamisation' de la France reste un objectif atteignable à la condition que l’État cesse de reculer devant une contre-société agressive ». Certes. Mais cette nécessaire 'désislamisation' ne pourra en aucun cas être pacifique".
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La pathologie islamophile :
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L’idéologie dominante affirme que la France et l’Europe auraient une dette culturelle envers l’islam. La valorisation de l’islam – au prix d’énormes mensonges historiques– est proportionnelle aux dégâts qu’il cause en Europe, aux États–Unis et dans le monde et à son indigence intellectuelle et culturelle. Témoigne de cette pathologie mentale le livre collectif Histoire mondiale de la France, dirigé par Patrick Boucheron (Le Seuil). C’est un bréviaire de l’ethno – masochisme, de la repentance et de la haine de soi, qui raconte que la France et l’Europe auraient depuis le haut Moyen–Âge une part brillante de leur identité due à l’islam. Alors que ce dernier a toujours été l’adversaire le plus acharné et le plus destructeur.
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Dans la revue identitaire belge Renaissance européenne (N°110, premier trimestre 2017), on apprend que le bulletin de la paroisse universitaire de Louvain–la–Neuve se félicite que la communauté musulmane inaugure une nouvelle mosquée. Vive l’invasion ! Le bulletin catholique parle de « nos frères et sœurs musulmans » et appelle à s’ouvrir à « la face lumineuse de l’islam ». Les chrétiens d’Orient persécutés, spoliés, massacrés apprécieront ce masochisme pathologique, angélique et délirant des autorités catholiques européennes. Ces malheureux savent, pour l’avoir vécu et le vivre, que l’islam n’est pas lumineux mais obscur et sanguinaire. Il brûle les églises, égorge les prêtres, et produit fort peu d’œuvres culturelles. Détruire et non pas construire, c’est la logique intrinsèque de l’islam et de ses racines anthropologiques.
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Paradoxe - plus l’islam tue, plus on réprime l’islamophobie :
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Les médias, la classe politique, en Europe et en Amérique du Nord, sont très souvent, par bêtise, naïveté et culpabilisation, victimes de la propagande des idéologues islamiques. Même la hiérarchie catholique tombe dans le panneau. Voici les trois arguments mensongers intimidants : 1) critiquer l’islam et faire remarquer que tous les attentats terroristes ont été commis par des musulmans au nom de l’islam est une ”stigmatisation” des musulmans, donc relève du péché capital de racisme. 2) Il ne s’agit pas de terrorisme musulman mais de ”terrorisme” tout court, non imputable à l’islam. 3) L’islam est une religion de paix et d’amour et la critiquer est, là encore, du racisme.
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Ces sophismes favorisent discrètement la terreur islamique, ainsi que l’immigration invasive. L’antiracisme ? La principale source de racisme (anti–Blanc) et d’antisémitisme en France, parfaitement tolérée, provient des immigrés musulmans. Les idéologues musulmans ont pour stratégie (depuis le VIIIe siècle) de se présenter en victimes alors qu’ils sont des agresseurs. Les premiers persécutés dans le monde sont les chrétiens (par les musulmans) ; les seconds sont les musulmans (par leurs coreligionnaires). Dans les deux cas, l’islam est un facteur de mort, de guerre, de destruction.
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L’islamophobie est poursuivie à mesure que l’islam s’impose comme la principale source de terreur, de crimes, d’obscurantisme dans le monde. Paradoxe démentiel. L’islamophobie est même punie de la peine de mort, comme on l’a vu avec le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, après un meurtre semblable en Europe du Nord, voici quelques années ; actuellement, en Europe, nombre d’ ”islamophobes”, souvent journalistes, sont sous le coup d’une fatwa (appel au meurtre) et sous protection de la police. (3)
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L’"islamophobie" de Trump choque, malgré sa modération :
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La mesure minimaliste de Donald Trump, prise par décret fin janvier 2017, annulant (provisoirement et timidement) des visas de séjour aux Etats-Unis pour sept pays musulmans hébergeant des terroristes (bien en dessous de ses promesses d’interdire toute immigration musulmane, ce qui serait pourtant indispensable), a provoqué au Congrès et dans le monde, un vague de réprobation démesurée, auxquels se sont joints les 'immigrationnistes', la chancelière Merkel et son subordonné français Hollande.
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Le décret de Trump, qui a d’ailleurs été annulé par les juges, preuve de leur dictature contre le peuple, est assimilé à un crime islamophobe. Hollande a sermonné que « l’accueil des réfugiés est un fondement des démocraties », alors que c’est l’inverse, cet ”accueil” invasif imposé étant parfaitement antidémocratique puisque refusé massivement par les peuples européens autochtones et les Américains. Pour l’idéologie dominante devenue folle, bannir les immigrants musulmans est un péché – et la lutte antiterroriste ne saurait y servir de prétexte, même si 100% des terroristes sont musulmans.
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Les démocrates du Congrès ont accusé Donald Trump de discriminer les musulmans. Et le chef du groupe démocrate au Sénat, Charles Schumer, a déclaré que « les larmes coulaient sur les joues de la statue de la Liberté ». Elles ne coulent pas quand des migrants musulmans installés aux USA massacrent régulièrement des citoyens américains ? Décidément, il faudrait que la couronne posée sur la tête de la statue de la Liberté à l’entrée du port de New–York soit remplacée par un voile islamique, ce serait important pour ne pas offenser l’islam, non ?
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Le vice–premier ministre turc, Numan Kurtulmus, a intimé au président Trump, avec une sereine impudence, de revenir sur son décret, motivé selon lui par « l’islamophobie, les sentiments anti–immigration et la xénophobie croissante de l’Occident ». Les musulmans revendiquent donc le droit de nous envahir. Deux poids deux mesures : l’Europe, les États–Unis, le Canada sont sommés d’accueillir les ”migrants” de Syrie et d’ailleurs, mais les riches monarchies arabes absolutistes, pas plus que d’autres pays musulmans n’en accueillent un seul. Cherchez l’erreur.
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L’"islamophobie" assimilée aux persécutions anti-juives :
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Les idéologues musulmans et leurs collaborateurs de gauche comparent les persécutions anti-juives entre 1940 et 1945 et la prétendue ”islamophobie” qui règnerait en France et en Europe, notamment à la suite de l’interdiction (théorique, limitée, et peu suivie d’effets) des tenues vestimentaires imposées aux femmes, tchador intégral et "burkini". Cette comparaison est d’autant plus insultante pour les Juifs qu’ils sont la cible d’un antisémitisme musulman meurtrier depuis les crimes de Merah et de Coulibaly. Les abominables "identitaires" ou le FN, ni les très supposés dangereux et subversifs cathos intégristes ne sont impliqués dans cet antisémitisme meurtrier.
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Dans de récentes déclarations, Vincent Peillon, Jean–Christophe Cambadélis (le patron du PS, le plus bête de la bande), Jean–Luc Mélenchon, Edwy Plenel, Tarik Ramadan ont défendu l’idée, avec l’aide des médias américains démocrates, que les musulmans sont persécutés en France et victimes de ”racisme” comme les Juifs du temps de Vichy. Alors qu’ils sont privilégiés.
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Contrôler, arrêter ou condamner un voyou arabe ou africain qui vient de commettre un délit équivaudrait aux rafles anti-juives de la Seconde guerre mondiale. Qu’on puisse, en France, être poursuivi pour ”islamophobie”, mais non pas pour ”christianophobie”, est un signe suicidaire de démission et de soumission face à l’islam, ajoute Guillaume Faye, (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Pour ce qui me concerne, je rappelle que j'ai récemment abordé, sur LesObservateurs.ch, la question des migrants, vu sous l'angle biblique, dans "Laïcité et immigration contrôlée : deux inventions chrétiennes !" et dans "Migrants - Accorder la priorité aux chrétiens ?".
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De leur côté, Franck Jullié et Eric Kayayan nous rappellent que la bible, dans la précision de son vocabulaire, distingue quatre mots pour décrire les étrangers (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : le ger (גֵּר), le toshabh (תּוֹשָׁב), le nekhar (נֵכָר), le zar (זָר). Le ger est un habitant d’un pays qui n’est pas sa patrie. Abraham fut un ger au pays de Canaan (Gn 23.4), Moïse fut un ger au pays de Madian (Ex 2.22) et nomma son fils aîné Gershom car, dit-il, « je suis un immigré (ger) en terre étrangère (nekhar) ». Les Israélites furent des ger au pays d’Egypte (Gn 15.13). Sur le plan spirituel nekhar peut désigner les dieux étrangers, les faux dieux (Gn 35.2,4 ; Dt 31.16 ; Jos 24.20,23 ; Jg 10.16 ; 1 S 7.3 ; 2 Ch 14.2).
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Le mot zar désigne ce qui est étranger dans le contexte où il est cité. Il peut signifier un sang étranger à une famille – un non Aaronite (Nb 16.40), un non-Lévite (Nb 1.51), un membre extérieur à une famille définie (Dt 25.5) – un laïc en opposition à un sacrificateur et sa famille (Lv. 22.10-13), les enfants illégitimes (Os 5.7), la courtisane assimilée à une étrangère (Pr 2.16), ce qui est profane par opposition à ce qui est saint (Ex 30.9). Le statut de toshabh n’est pas très développé dans les Ecritures.
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Abraham se présente en Genèse 23.4 comme étranger (ger) et habitant (toshabh) parmi les fils de Heth : Je suis étranger (ger) et habitant (toshabh) parmi vous; donnez-moi la possession d’un sépulcre chez vous, pour enterrer mon mort et l’ôter de devant moi. Il est possible que son sens se rapproche de celui de ger avec l’idée d’un séjour passager et non définitif.
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Le toshabh ne peut pas manger la Pâque (Ex 12.45) ni les choses saintes (Lévitique 22.10). La loi du Jubilé ne lui profite pas (Lv 25.45). Mais il est au bénéfice de la justice et de la protection des villes refuges en cas d’homicide involontaire (Nb 35.15). Le théologien Eric Kayayan nous rappelle que « l’étude du contexte de l’emploi du mot ger dans le Testament doit nous éclairer sur sa reprise contemporaine fallacieuse pour un accueil 'indiscriminé'.
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En particulier le passage de Lévitique 19.33,34 se trouve cité à tout propos et surtout hors de propos dans certains cercles ecclésiastiques. Hors de propos et de contexte, dans la mesure où l’hospitalité et l’égalité de traitement avec l’étranger dans le Premier Testament sont intimement liées à son inclusion à divers degrés dans la communauté de l’Alliance, à sa participation aux rituels et fêtes religieuses, avec leurs interdits (Ex 12.19,48-49 ; Lv. 17.8,9 ; Nb 9.14, 15.15,26 etc.).
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En résumé, dans le Premier Testament l’immigrant est certes le bienvenu et ne saurait être opprimé (Ex. 23.9). S’il en exprime le désir (cela ne lui est pas imposé) il peut même participer à la Pâque du Seigneur dans les mêmes conditions que l’autochtone, mais en aucun cas il ne saurait devenir un vecteur d’idolâtrie, d’introduction d’une religion païenne qui contaminerait le peuple de l’Alliance.
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Dans Esdras 10 et Néhémie 13 une situation de 'paganisation' de la petite communauté de Juda a atteint de telles proportions que les chefs de la communauté doivent réagir très fortement. Il apparaît donc de ces données bibliques qu’un appel à quelques passages scripturaires plaqués artificiellement sur notre situation actuelle, occulte volontairement la dimension religieuse et cultuelle de l’assimilation de l’étranger dans le Premier Testament.
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A tout le moins ce décalque artificiel a pour but de remplacer la religion biblique et ses exigences éthiques et cultuelles (aussi bien pour l’autochtone que l’immigrant) par une religion humaniste sécularisée : dans la mesure où les lois de la République y font office de Loi suprême, les immigrants qui accepteraient de s’y soumettre peuvent (devraient) être mis sur le même pied que les immigrants dans le Premier Testament, ajoute Franck Jullié (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Notes de Guillaume Faye :
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(1) Le christianisme est, aujourd’hui, dans le monde, la religion et l’appartenance la plus persécutée et poursuivie. Hors Chine et Corée du Nord, l’islam en est la principale cause. Les atteintes contre les lieux de culte chrétiens en France entre 2008 et 2016, (églises, cimetières, etc.) ont augmenté de 245%. En 2016, pour la première fois dans l’histoire, un prêtre (le Père Hamel) a été égorgé par des musulmans pendant sa messe. Mais, bien sûr, le grand péril, c’est l’islamophobie, n’est-ce pas ?
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(2) Une France soumise, est le dernier essai de Georges Bensoussan, ( Albin Michel, 2017)
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(3) Les poursuites judiciaires contre l’hebdo de droite Valeurs actuelles (le seul en progression de ventes par rapport à ses concurrents, ce qui inquiète l’oligarchie) simplement pour avoir dénoncé une islamisation et une invasion migratoire, prouvent que les médias résistants sont assaillis par une justice politisée et partiale. État de droit ?
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Liens vers sources :
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http://www.bild.de/politik/inland/peter-altmaier/ueber-schulz-und-kanzlerdaemmerung1-50498688.bild.html
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https://francais.rt.com/international/34227-allemagne-veut-expulser-300-000-migrants-demande-asile-rejetee
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http://fr.novopress.info/203640/lislamophobie-nouveau-peche-capital-par-guillaume-faye/#more-203640
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https://www.ndf.fr/poing-de-vue/15-02-2017/le-statut-de-letranger-et-du-migrant-dans-lancien-testament/
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10 commentaires

  1. Posté par cd56 le

    ras le bol de toutes ces attaques contre notre démocratie !!!!
    Quel dirigeant aura les couilles de supprimer le droit du sol et la double ( ou + ) nationalité aux non européens ????

  2. Posté par Brechon le

    J’ose pas imaginer la vie dans nos sociétés d’ici 60 ans, la population occidentale actuelle se complait dans la jouissance consumériste immédiate et vit dans le déni du futur sociétal chaotique qui se profile. L idéologie islamique finira par dominer l’occident tout simplement grâce à sa démographie conditionnée dès la naissance…. mais aussi du fait de la naîveté, de la bêtise, du déni, et de la manipulation démagogue de toute une partie de nos propres citoyens qui n’ont aucune vision du monde à plus long terme que celle de leur propre vie…

  3. Posté par Helvète le

    Oui, il faut faire un grand effort pour que les migrants musulmans soient accueillis … Dans leur pays d’origine ! Charia, maltraitance des femmes, lapidation, régime sans porc, piscine interdite aux jeunes filles, tchador, niquab et burqa, pas plus que les mosquées n’ont leur place dans notre Société.

  4. Posté par Patrick Lévy le

    Expulser. Patrick Lévy.

  5. Posté par miranda le

    POURQUOI TOUS LES GOUVERNEMENTS EUROPEENS ENTRETIENNENT DES LIENS AUSSI FORTS AVEC L’ISLAM

    Le qatar et l’arabie Saoudite sont de très gros pourvoyeurs d’argent à tous les niveaux. Ils permettent à tous les candidats de financer leur campagne. Ils investissent dans toutes les économies d’Europe, et aussi DANS TOUS LES SYSTEMES FINANCIERS, donc BANCAIRES. Etes-vous maintenant étonnés par cette « soudaine Islamophilie » de l’Europe.
    ILS ONT TOUT POLLUE. Ca vous étonne maintenant que l’Europe ait tellement de mal à se débarrasser des « imams salafistes », du mouvement des Frères Musulmans et de tous ces mouvements religieux financés par ce serpent à deux têtes.
    N’attendez-pas que les états européens brisent leur « penchant islamophile ». Ne comptez que sur vous..

  6. Posté par Palador le

    Excellent article, tout est dit. Je crois qu’il est temps que tout ces indignés bien pensants avec toutes ces célébrités qui nous font des cacas nerveux à longueur de journée commencent à réaliser les vrai problèmes qui vont arriver, et surtout au moins pour les générations futures, qu’ils se regardent dans une glace.

  7. Posté par Nicolas le

    Si elle est pénalement répréhensible, l’islamophobie n’en demeure pas moins un indicateur de bonne santé mentale.

  8. Posté par Charles Martel le

    Ce texte montre combien l’islam est incompatible avec nos valeurs. Et souvenons-nous des mots du biologiste américain Raymond Hall; ce professeur de biologie à l’Université du Kansas est l’auteur d’un ouvrage sur la faune américaine, The Mammals of North America (Les mammifères d’Amérique du Nord). Il énonce la loi biologique selon laquelle «deux sous-espèces de la même espèce n’apparaissent pas dans la même zone géographique». Les races humaines sont des sous-espèces biologiques et le professeur Hall écrit expressément que cette loi s’applique à l’homme tout comme elle s’applique à d’autres mammifères : «S’imaginer qu’une sous-espèce de l’homme vive sur un pied d’égalité pour longtemps avec une autre sous-espèce n’est qu’un vœu pieux et ne conduit qu’à la catastrophe et à l’oubli de l’une ou de l’autre ».

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