Sécurité / Aulnay-sous-Bois : la tension monte – JT du mardi 07 février 2017

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Au sommaire de ce JT du mardi 08 février 2017 :

1) Sécurité / Aulnay-sous-Bois : la tension monte

2) Union Européenne / Maastricht : 25 ans d’échec de l’UE

3) Economie / 200 000 emplois créés en 2 ans ?

4) Média / Le succès des 8èmes Bobards d’Or

5) L’actualité en bref

 

Madame, Monsieur, bonsoir !

Tout de suite pour commencer, retrouvez Elise Blaise pour votre rendez-vous politique quotidien : Cap sur l’Elysée !

 

Madame, Monsieur Bonsoir, Bienvenue dans Cap sur l’Elysée,

François Fillon est-il sorti d’affaire ? Après la conférence de presse organisée lundi, le candidat des Républicains a affirmé vouloir clore le débat et relancer sa campagne présidentielle, loin des scandales…

Tourner la page pour aller de l’avant. Après sa mise au point devant les journalistes lundi, François Fillon espère se sortir des scandales dans lesquels il est empêtré depuis plusieurs semaines. Face aux diverses accusations dont il est l’objet, François FIllon a voulu jouer la carte de la transparence. Il est revenu sur le rôle crucial de son épouse.

 

Si François Fillon a rappelé que rien de ce qu’il a fait n’est illégal, il a toutefois présenté ses excuses aux Français, comprenant que ces pratiques n’étaient plus du goût des citoyens.


François Fillon voulait donc apparaître honnête face aux Français… Une attitude qui a visiblement rassuré son camp.

 

Dans la soirée, l’institut Harris Interactive a réalisé un sondage pour prendre la température des électeurs… et le moins que l’on puisse dire c’est que l’effort de persuasion de François Fillon n’a pas énormément porté ses fruits. En effet, 65 % des personnes interrogées n’ont pas été convaincues par les explications du candidat. Chez les sympathisants de droite, l’opération a mieux fonctionné puisqu’ils sont 58 % à avoir été conquis par ces précisions… Si le candidat a bien réaffirmé sa volonté d’aller jusqu’au bout de la présidentielle, 65 % des sondés préféreraient toujours que François Fillon soit remplacé par une autre candidature…

Des chiffres sans doute à relativiser, comme l’intégralité des récents sondages… François Fillon a d’ailleurs rappelé pendant sa conférence de presse l’imprécision de ces études qui parfois, agissent comme des manipulateurs…

Le candidat les Républicains a également profité de l’occasion pour diriger quelques salves contre les journalistes… La grande gagnante était la journaliste de Mediapart, à qui Fillon a rappelé le redressement fiscal de son média… ajoutant que lui, n’avait jamais escroqué le fisc. Le candidat a bien entendu insisté sur l’acharnement médiatique dont il était l’objet, rapprochement la caste des journalistes de celle du pouvoir, dont les coups à son encontre semblent provenir. Ainsi, en plus de sa volonté de transparence affichée, François Fillon n’a pas hésité à tailler un costume sur mesure à la presse… Il a clairement laissé entendre qu’une forme de lynchage avait été coordonnée contre lui. Une stratégie qui pourrait être payante si l’on se souvient de l’attitude des journalistes dans la campagne pour la présidentielle américaine… surtout lorsque l’on pense au résultat.

Et pendant que François Fillon se débat comme il peut contre la presse qui ne le rate pas, un autre candidat passe toujours entre les mailles du filet… Emmanuel Macron bénéficie depuis le début de la campagne d’un véritable état de grâce… mais le vent commence à tourner.

 

Macron va-t-il rester intouchable ? Alors que la presse semble tout passer au jeune loup de la finance, la bienveillance unanime des médias finit par se voir… On savait Emmanuel Macron proche de Patrick Drahi, le magnat des télécoms et des medias… mais la rumeur enfle au sujet d’une proximité entre Mathieu Gallet, PDG de Radio France et l’ancien ministre de l’Economie. Le banquier Rothschild a d’ailleurs tenté de faire taire la polémique avant qu’elle ne sorte dans la grande presse… le tout avec un trait d’humour… expliquant que si on l’apercevait en la compagnie de Mathieu Gallet, ce serait son hologramme… en référence au meeting technophile de jean Luc Mélenchon. Une défense étonnante qui laisse sous-entendre une éventuelle brouille entre les deux hommes.  

Il faut dire que la rumeur faisait référence à une relation privée entre les deux intéressés… reléguant le mariage d’Emmanuel Macron avec Brigitte Trogneux au rang d’union de façade…

Des rumeurs que le député Les Républicains Nicolas Dhuicq n’a pas vraiment démenti. En effet, l’élu a tout simplement confié qu’il estimait qu’Emmanuel Macron était soutenu par “ un très riche lobby gay”… Une révélation a rapproché d’un soutien bien connu de l’ancien ministre de l’économie, Pierre Bergé, l’ancien amant d’Yves Saint-Laurent. L’homme d’affaires n’a jamais caché son soutien pour les hommes de gauche… en 2012, il avait d’ailleurs fait montre de son adhésion au programme de François Hollande, c’est donc en toute logique qu’on l’imagine aujourd’hui derrière Emmanuel Macron. Notons également que depuis 2010, Pierre Bergé est à 80 % propriétaire du Monde… aux côtés de Niel et Pigasse… au cours d’une recapitalisation du groupe en 2010… époque où Macron oeuvrait justement pour le groupe tout en informant Alain Minc, le président du conseil de surveillance de la Société des Rédacteurs du Monde…
Au delà des liens avec toute l’élite médiatico-financière, Macron traîne aussi derrière lui quelques rumeurs financières, notamment celle selon laquelle des deniers publics de Bercy auraient été utilisés pour lancer le Mouvement en Marche. Emmanuel Macron aurait en effet utilisé 120 000 euros de frais de représentation quand il était à Bercy… soit 80 % de la totalité des frais de représentation du ministère… et ce, en seulement deux ans. Bien entendu, l’intéressé nie en bloc toute malversation financière, pour autant, même si on imagine bien que le jeune Macron a gardé de précieux contacts de ses activités de banquier chez Rothschild, on ignore d’où viennent les financements de son mouvement… mouvement qui réussit pourtant à louer de grandes salles dispendieuses…. pour réussir ses spectacles. D’ailleurs, Emmanuel Macron ne se refuse rien et … s’est offert les services d’un baryton d’opéra pour domestiquer ses vocalises et … éviter ça.

En plus de s’offrir une voix… le produit Macron s’offre également l’expertise d’une entreprise française, pour savoir quoi dire à ses supporters. En effet, l’entreprise Proxem, basé sur le principe d’automatisation du langage, parvient par une utilisation très complexe d’algorithmes à produire le discours idéal pour une population ciblée… En somme, dis moi à qui tu parles, je te dirai quoi dire…

Le jeune loup de la finance a décidément tout du produit bien présenté… Ses soutiens s’occupent de sa promotion, de son financement, de son emballage… mais aussi de ses éléments de langage… Macron, en fait d’une bulle, apparaît de plus en plus comme une marionnette pleine d’ambition mais vide de sens… un vide rempli par ceux qui le construisent dans l’ombre.

 

Et voilà, Cap sur l’Elysée c’est désormais terminé. Retrouvez dès à présent le reste de l’actualité avec Pierre Bergerault, quant à moi, je vous retrouve demain, Bonsoir.

 

Merci Elise ! Et maintenant, retour sur les titres de l’actualité !

 

1) Sécurité / Aulnay-sous-Bois : la tension monte

Nuit agitée à Aulnay-sous-Bois ! Quelques jours après l’interpellation de Théo, la cité des 3 000 s’embrase. Des affrontements ont éclaté dans la nuit de lundi à mardi entre les forces de l’ordre et des délinquants du quartier. Thibault Bastide

 

La tension augmente à Aulnay-Sous-Bois ! Alors qu’une marche était organisée lundi après-midi dans la cité des 3 000 en soutien à Théo, le jeune homme de 22 ans interpellé et violé la semaine dernière par des policiers,  des heurts ont éclaté dans la nuit de lundi à mardi dans le quartier de la Rose des Vents. Au lendemain de la mise en examen du policier soupçonné de viol et de 3 de ses collègues pour violences volontaires en réunion, la violence a gagné Aulnay-Sous-Bois. Des affrontements se sont produits entre les policiers et plusieurs jeunes souvent mineurs. Dès 22h, plusieurs poubelles et de nombreux véhicules ont été incendiés.  Mais les violences ne se sont pas arrêtées là…. Une enseigne de restauration rapide spécialisée dans le poulet recomposé, référence certaine aux policiers, a été caillassée et incendiée. Selon les témoignages de certains habitants du quartier, des boules de pétanque et des tirs de mortiers ont été lancés en direction des forces de l’ordre.

Des actes qui ont nécessité le déploiement rapide d’une centaine de policiers dans le quartier. Les affrontements se sont poursuivis une bonne partie de la nuit et un hélicoptère a même dû être envoyé sur place. Par ailleurs, un journaliste indépendant présent sur les lieux aurait été agressé par un groupe de 6 jeunes qui lui aurait volé sa caméra.

Suite à ces violences, une vingtaine d’individus a été interpellée. Des interpellations qui se multiplient puisque 5 délinquants avaient déjà été appréhendés dimanche soir après des tirs de mortiers adressés aux policiers.

Le calme est donc loin de régner sur la cité des 3 000 malgré l’appel lancé par la famille de Théo.  De son côté, la jeune victime, arrêté dans le cadre d’une opération de lutte contre le trafic de drogue, gravement blessé au niveau de la zone rectale est toujours hospitalisée.

En attendant un éventuel procès, les 4 policiers mis en cause ont été suspendus de leur fonction.

si les violences venaient à se prolonger une 5ème nuit de suite, un effet de “prolifération des violences” pourrait se produire comme lors des émeutes de 2005.

 

2) Union Européenne / Maastricht : 25 ans d’échec de l’UE

 

Le traité de Maastricht fête ses 25 ans ! En 1992, le texte voté par 12 pays créait l’Union Européenne et lançait les fondations de la monnaie unique. Aujourd’hui, l’UE compte 28 Etats membres et connaît un désamour croissant des citoyens communautaires. Olivier Frèrejacques

 

 

C’était il y a 25 ans, les 12 Etats membres signaient le traité sur l’Union Européenne dit « traité de Maastricht ». Un texte qui suscitait alors de nombreux débats dans la classe politique. Dans le camp du non au traité on retrouvait notamment Philippe Seguin, Philippe de Villiers, Jean-Pierre Chevènement et même un certain François Fillon alors que les troupes du oui, beaucoup plus nombreuses rassemblaient des éléments de droite comme Chirac et Balladur mais également des responsables de gauche parmi lesquels un certain Jean-Luc Mélenchon…

En France, le traité de Maastricht est signé après référendum, un référendum remporté par le oui avec 51 % des voix contre 49 pour le non, un résultat témoignant déjà d’une certaine défiance à l’égard de l’Europe bruxelloise…

Le texte s’articule autour des trois piliers de l’Union Européenne : le développement de structures supranationales, de la Politique Agricole Commune , du Marché Intérieur mais surtout de la création d’une monnaie unique. Second pilier : la politique étrangère de sécurité commune et enfin 3ème pilier la coopération policière et judiciaire en matière pénal. 25 ans après, force est de constater que Maastricht est un échec. Un échec prolongé par le traité de Lisbonne de 2007 ; traité que Nicolas Sarkozy imposera aux français qui avaient, dans un premier temps, refusé la constitution européenne de 2005. Le traité de 2007 modifiera les structures de Maastricht mais renforcera toujours un peu plus l’idée d’intégration des Etats et donc leur perte de souveraineté.

Aujourd’hui en lambeaux, l’Union Européenne connaît un vrai désamour des français puisque 54 % d’entre eux ont une opinion négative du système bruxellois. La sortie programmée de la Grande-Bretagne de l’UE marque aussi un tournant et la possibilité de quitter un système dirigé par un petit club d’élites nationales et perçu comme antidémocratique par les citoyens. Les récents épisodes migratoires, la faiblesse diplomatique de l’Union Européenne complètement impuissante face aux blocs russes et américains et la faillite de certains Etats membres comme la Grèce pourraient pousser les européens à se réinventer.

Pour l’historien Philippe Conrad, président de l’association pour l’Histoire, le projet européen a dévié de ses objectifs initiaux après avoir pourtant connu un certain succès.

Les 25 ans de Maastricht ne seront pas fêtés en grande pompe par Bruxelles qui préfère faire profil bas 8 mois après le vote du Brexit et dans un contexte de colère des peuples et de montée des populismes un peu partout sur le continent.

Signalons que La Société Pour l’Histoire, présidée par Philippe Conrad, organise un colloque sur le naufrage de l’Europe bruxelloise le lundi 13 février prochain, Salle de la Maison des mines dans le 5ème arrondissement de Paris.

 

3) Economie / 200 000 emplois créés en 2 ans ?

Comment créer des emplois en France ? Les professionnels des services aux particuliers pensent avoir trouvé la réponse : il suffit de changer le fonctionnement du crédit d’impôt jugé trop compliqué… Explications, Natasha Koenigsberg

 

Créer 200 000 emplois en deux ans, ou plutôt, entre 186 000 et 279 000 emplois.. c’est ce qu’une étude rendue publique lundi 6 février affirme… Commandée par la fédération du service aux particuliers, qui a intérêt à utiliser l’argument massue de la création d’emplois pour faire pression sur les hommes politiques, elle dépend d’une seule chose : un changement drastique de fonctionnement du crédit d’impôt, que les Français ne comprennent pas bien. Actuellement, si vous employez une femme de ménage, une garde d’enfants, une aide à domicile ou un jardinier, vous devez lui verser directement son salaire net… les charges, elles, sont prélevées directement sur votre compte en banque grâce aux systèmes déjà très simples pour les particuliers employeurs comme le CESU.

Mais ce que trop peu de Français comprennent et appréhendent, c’est qu’ils sont remboursés, un an plus tard, de la moitié des charges sociales et patronales… rendant  de facto l’emploi d’un salarié à domicile moins coûteux. Moins coûteux, mais pendant un an, il faut faire payer 100 % de ces charges, qui sont ensuite déduites de l’impôt sur le revenu l’année d’après, c’est le principe du crédit d’impôt. Quand ce crédit atteint plusieurs milliers d’euros, on comprend que cela puisse être un obstacle à l’embauche d’une aide à domicile : tout le monde ne peut pas faire l’avance de telles sommes à l’Etat.

La Fédération du service aux particuliers propose donc d’en finir avec ce système, et d’opter pour le crédit d’impôt immédiat. Concrètement, tous les mois, la moitié des charges sociales et patronales acquittées par le particulier employeur seraient reversées sur son compte en banque. Pourquoi ce jeu de passe passe, plutôt que de réduire directement les charges ? Tout simplement parce que l’Etat n’a plus d’argent. Ce n’est donc pas le Trésor Public qui reverserait ce crédit d’impôt mais… votre banque.. Elle vous ferait l’avance de ces sommes avec la garantie de l’Etat qui la remboursera l’année prochaine. Bien sur, les banques feront payer ce service, comme un crédit à la consommation classique, mais on peut espérer qu’avec les taux bas qui sont en vigueur en ce moment, cela ne coûtera que 1 ou 2 % d’intérêts.

Les services à la personne, gisement d’emplois mal exploités ? Une autre étude, réalisée cette fois par France Stratégie… le laboratoire d’idées de Matignon, affirme qu’il est possible de créer 1,2 million de postes dans ce secteur d’ici à 2022..  An entendre de tels chiffres, c’est à ce demander pourquoi le chômage continue, malgré tout à augmenter en France.

 

 

4) Média / Le succès des 8èmes Bobards d’Or

La réinfosphère à l’honneur ! Lundi soir à Paris au théâtre du gymnase, la fondation Polémia, présidée par Jean-Yves Le Gallou, l’animateur de notre émission “IMedia”, organisait la 8ème cérémonie des Bobards d’or. Plus de 600 personnes ont fait le déplacement pour dénoncer les mensonges des media classiques, grands défenseurs du politiquement correct.

 

 

L’actualité en bref

Nicolas Sarkozy de nouveau devant la justice ! Le juge Serge Tournaire a ordonné le renvoi en procès de l’ancien président de la République et de 13 autres protagonistes dans l’enquête sur ses dépenses de campagne lors de la présidentielle de 2012 et les fausses factures de la société Bygmalion. Le magistrat lui reproche d’avoir dépassé volontairement le plafond des dépenses électorales. Nicolas Sarkozy va faire appel de la décision. Après Jacques Chirac, c’est la 2ème fois qu’un ancien chef de l’Etat est renvoyé en procès sous la 5ème République.

Comme chaque année, le 6 février a été l’occasion de manifestations en hommage aux militants nationalistes morts le même jour en 1934. Il y a 83 ans, les ligues nationalistes et les anciens combattants manifestaient aux cris de “A bas les voleurs” en référence à une caste politique corrompu et en opposition au régime parlementaire. Plus de 30 manifestants trouveront la mort sous les coups de la police républicaine. Parmi les hommages, les militants d’Action Française de Marseille, fidèle à la tradition, ont profité de l’occasion pour dénoncer la classe politique en place.

Le plus ancien des vainqueurs du Tour de France est mort. Roger Walkowiak s’est éteint mardi près de Vichy à l’âge de 89 ans. L’Auvergnat avait remporté la grande boucle en 1956. Son nom avait donné naissance à l’expression “un tour à la Walko” qui signifiait un Tour animé, riche en attaques, sans vraiment de leader. Touché par une dysenterie lors du Tour du Maroc de 1954, il avait arrêté sa carrière en 1960. Il était ensuite devenu commerçant puis cultivateur avant de redevenir fraiseur, son premier métier.

C’est la fin de notre édition ! Dans un instant, retrouvez un nouvel épisode de La petite histoire. Christopher Lannes s’intéresse à l’armée romaine et particulièrement à la légion. Bref rappel historique, composition d’une légion, équipement d’un légionnaire, formation au combat… tout ce qu’il faut savoir sur le bras armé de Rome qui a fait la gloire de l’un des plus grands empires de l’histoire.

Ce soir, retrouvez “Passé-Présent”. Catherine Gourin et Philippe Conrad évoqueront les compagnies de Jéhu et la “guerre des courants” entre Thomas Edison et Nikola Tesla. Frédéric Le Moal reviendra ensuite sur le Vatican face aux 3 grands totalitarismes du XXème siècle.

Et tout de suite, une chronique de la France de Campagnol avec Christian Combaz. Quant à nous, on se retrouve demain. Merci de votre fidélité, bonsoir !

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