Christian Hofer: Lorsque des acteurs friqués font la morale aux peuples européens, cela donne ce genre de charabia indigeste, mélange d'amalgames, d'inculture et de mensonges.

Pire encore, ces nantis ne savent pas que parmi les migrants, nombre de terroristes se sont glissés. En outre d'autres proviennent de pays sans guerre et totalement indépendants: Pakistan, Algérie, Maroc... Cela démontre qu'ils ne connaissent strictement rien de la problématique mais que les médias ont réussi à formater ces bien-pensants avec une facilité déconcertante.

Bien entendu, tous les crimes anti-Européens, les fillettes violées, les hommes agressés n'existent tout simplement pas pour ce genre d'individus. Normal: les Européens n'ont aucune valeur.

Enfin, aucun de ces clowns n'évoquent la responsabilité d'Obama ou du socialiste Hollande. Ils prétendent dénoncer mais se gardent bien d'écorner les idoles des médias. La seule attaque concerne... Donald Trump. Président depuis moins d'un mois. C'est dire leur niveau de crédibilité.

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Des acteurs de Game of Thrones se sont rendus en Grèce dans un camp de réfugiés. Ils ont tenu à raconter ce qu'ils y ont vu.

«Ce ne sont que des gens, comme vous et moi». Maisie Williams, qui joue Arya Stark dans la série à succès Game of Thrones, s'est exprimée, dans une vidéo postée sur la page Facebook de AJ+, sur la situation des réfugiés, aux côtés de l'interprète de la reine Cersei, Lena Headey, et Liam Cunningham, qui joue le personnage de Davos.

Pour Maisie Williams, la crise des réfugiés est avant tout de la faute des pays occidentaux. «Ils ne veulent pas vivre dans un autre pays toute leur vie, ils veulent rentrer chez eux, mais ils ne peuvent pas, car nous avons détruit leurs maisons», explique-t-elle.

Liam Cunningham renchérit : «Ce n'est pas à cause d'un raz-de-marée, ce n'est pas cause d'un tremblement de terre ou de la famine, mais c'est à cause de gens, dans des bureaux des capitales à travers le monde, qui ont décidé de les traiter avec cruauté». L'acteur assure même qu'il aimerait attraper ces dirigeants «par la peau du cou et les emmener dans les camps, juste pour leur dire : 'Regardez, regardez ce que vous avez fait'».

Une «perte d'humanité»

Les acteurs ont tenu à rappeler que les réfugiés étaient des personnes comme tout le monde, et non pas des terroristes en devenir comme voudrait le faire croire le président Trump. Cunningham raconte son séjour dans les camps : «Il y a des gens dans ces camps qui sont oncologues, juges, des gens qui ont réussi avant qu'on leur prenne tout».

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Nos remerciements à Jeune Athéna