Ils enragent, dénoncent une « injustice » et crient au « scandale », mais leurs jérémiades n’y changeront rien. Donald Trump s’était engagé auprès de ses concitoyens à mettre fin à l’immigration-invasion en direction des Etats-Unis et, pour une fois, voilà enfin un Président qui tient ses promesses.
Protéger les Américains
A l’origine de cette affaire montée en épingle par la classe politico-médiatique mondiale, la signature vendredi par Trump d’un décret interdisant l’accès au territoire américain des ressortissants de sept pays à majorité musulmane (Irak, Iran, Yémen, Syrie, Libye, Somalie et Soudan), et cela même s’ils sont en possession d’un visa ou d’une Green Card. Une décision qui aurait déjà contraint plusieurs dizaines de ressortissants des pays concernés, en transit dans les aéroports européens, à revoir leur projet et, selon le porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer, aurait conduit dès samedi « 109 personnes » arrivées aux Etats-Unis à passer par des procédures de contrôle renforcées pour « s’assurer que les gens que nous laissons entrer dans notre pays viennent avec des intentions pacifiques ».
C’est que, outre-Atlantique, la nouvelle administration, contrairement à la précédente, a su tirer les leçons des attentats dont l’Amérique mais aussi l’Europe ont été victimes ces dernières années. Ainsi, expliquait très calmement et avec un bon sens évident Sean Spicer, même si « je sais que dans certains cas cela va causer des inconvénients, nous ne voulons pas laisser s’infiltrer quelqu’un qui cherche à nous nuire ».
« Ce que les élites européennes ne font pas »
Certes, le bon sens reste sans doute la chose la moins bien partagée du monde. Mais, surtout, ce type d’initiatives contrarie fortement les funestes projets des mondialistes de tous poils. Aussi, ne sommes-nous pas surpris de retrouver aujourd’hui parmi les brebis qui bêlent le plus fort, outre Trudeau et Hollande – qui est allé jusqu’à mettre en garde (très sérieusement) Trump contre le « repli sur soi » – la chancelière Merkel. Celle-là même qui, pour compenser le suicide démographique de l’Allemagne, remplir ses usines et, occasionnellement, violer ses femmes, a non seulement importé sur son sol des centaines de milliers de clandestins, mais en a en outre imposé des centaines de milliers d’autres à ses « partenaires » européens.
Notamment à la République tchèque, dont le président Milos Zeman, sauvant samedi l’honneur du vieux continent, a heureusement félicité ce président américain qui « protège son pays » et se soucie « de la sécurité de ses citoyens. Exactement ce que les élites européennes ne font pas » !
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