Le journaliste n'était pas habillé en rose.
Exemples de la production des Etudes de genre de l'UNIL, ci-dessous :
Les chercheurs de l'Université de Lausanne nous parlent de sexe(s)!
Une série de neuf vidéos produites par l'UNIL dans le cadre de l'exposition de "A à SEXE(S)", du 17 mai 2014 au 29 mars 2015
La théorie du genre à l’université, comme un peu comme si on y aménageait une faculté de Lyssenkisme, la fameuse et fumeuse biologie soviétique qui dominait sous le régime stalinien.
La théorie du genre à l’université, c’est comme si on y avait une faculté d’alchimie, d’astrologie, de numérologie, ou, mieux encore, une faculté de lyssenkisme, la fameuse et fumeuse biologie soviétique sous le régime stalinien.
Cette pénétration idéologique de nos institutions de hautes études devrait nous donner une idée du niveau de leur déliquescence, lui-même une expression de l’état de délabrement avancé de notre société. Comment les facultés des sciences, de mathématique et de logique, peuvent-elles tolérer de partager le même cadre institutionnel avec une démarche intellectuelle si frauduleuse? Accepteraient-elles en leur sein l’enseignement de la biologie de Lyssenko?
Je me demande quel est son salaire pour sortir des théories aussi vides de sens et des énormités pareilles.
C’est vrai qu’une jeune fille coquette qui porte une jupe ne peut découvrir que la moitié du monde, malgré de nombreux voyages à travers le monde et de bonnes compétences linguistiques, et qu’un petit garçon qui refuse de jouer à la poupée sera un méchant dictateur macho, viril et impitoyable (comme le vilain Donald).
Par ailleurs, pour cette fine connaisseuse du monde médiéval, les châteaux médiévaux ont très souvent un toit rose. Peut-être devrait-on repeindre les toits du château de Chillon en rose bonbon, histoire de faire plus crédible. Cela tombe bien, il est en rénovation jusqu’en 2024. Profitons-en!
J’ai toujours crû que les femmes et les hommes étaient complémentaires, et que nos différences nous permettaient également d’en rigoler, de s’envoyer des vannes sur nos caractéristiques, nos qualités, nos défauts, de chercher à se séduire mutuellement, etc. Nous aurait-on donc menti durant tous ces millénaires d’humanité ? Heureusement que la RTS et Mme Lepinard sont là pour nous remettre dans le droit chemin. Je cours de ce pas m’offrir une paire de haut-talons et un rouge à lèvres. Sur les chantiers, ça fera fureur chez mes collègues.
Madame n’aurait-elle pas un peu trop forcé sur… LePinard ?
L’unité de recherche dont elle est la directrice s’intéresse à savoir comment on fait des filles et des garçons. Moi, j’ai appris que c’était XX et XY qui déterminait le sexe.
Par ailleurs, c’est le rose qu’ont choisi les femmes pour leur Marche. Pour contester leur sexe?