La campagne lancée lundi contre la naturalisation facilitée des étrangers de 3e génération met en scène une femme en burqa. Les CFF ont reçu des dizaines de plaintes de la part de voyageurs outrés.
Extrait de: Source et auteur
La campagne lancée lundi contre la naturalisation facilitée des étrangers de 3e génération met en scène une femme en burqa. Les CFF ont reçu des dizaines de plaintes de la part de voyageurs outrés.
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Il y aura moins de pendulaires lorsqu’il y aura moins de migrants. Ce qui du même coup diminuera le besoin impératif invoqué à chaque vague migratoire artificielle organisée par les socialo-islamo-fascistes, de faciliter les naturalisations de ces surnuméraires inutiles sauf pour étoffer la criminalité, les charges du social et les hausses d’assurances et d’impôts. Et donc le nombre de pendulaires contraints à cause de l’immigration de masse de visionner ces affiches diminuera totalement et ils n’auront plus besoin de se plaindre puisqu’ils trouveront un logis proche de leur travail. Et même les naturalisations ne seront plus d’actualité. Et ces pauvres « journalistes » en panne d’inventivité et de manipulations devront se creuser la tronche pour trouver d’autres falsifications des réalités, qui ne doivent l’existence qu’à leur double casquettes de journalistes et d’agents d’influence du socialo-islamo-fascisme, mais vrais truands de la vérité, alors qu’ils ne représentent que moins de 25% du corps électoral, mais qui à longueur de journée déclarent comme une vérité: les Suisses sont, les Suisses font, les Suisses…les Suisses… les Suisses… jusqu’à la nausée. Une sorte de masturbation « intellectuelle » qui tourne en rond, au fin fond d’une salle de rédaction squattée par des gauchistes en petit comité de conspirateurs idéologiques.
Si l’affiche les dérange, qu’ils restent chez eux ou ne la regarde pas. On est encore chez nous que je sache.
C’est parce que les centaines de milliers de personnes qui applaudissent cette affiche sont silencieux. Le reste s’en fout totalement. Et concernant les étrangers qui se plaignent, nous sommes un pays libre: ils peuvent faire leurs valises et partir chez eux.