© Yuri Gripas Source: Reuters «Jamais à Washington n’a-t-on vu un parti au pouvoir si incapable d’accepter l’alternance, si vindicatif, si avide de trouver des boucs émissaires» – la journaliste Diana Johnstone* fait le point […]
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On est mort de rire. Y reste plus que quelques jours, alors là c’est là vrai, mais vrai fuite en avant. Comme certains quand ils s’aperçoivent que plus rien n’y changera, comme le titre le dit si bien “ La folie de fin de règne à Washington”, c’est la terre brulée, Ahahaha!!! On s’esclaffe, c’est du tonnerre, tout ça, je ne pensais le vivre une fois, et c’est encore ceux qui veulent nous faire la morale, Ahahaha!!! Quelle mentalité, pauvre gars. C’est le bashing constant et l’autre qui leur tweet du revers, Extraordinaire le Trump. Je pense qu’il y en a qui vont en prendre plein la gueule. Parce que là, il se fout royalement de leur gueule, Ahahaha!!!
Il y a quelques décennies pour la gauche, les usa. étaient responsable de tout ce qui n’allait pas dans le monde.Aujourd’hui pour les destructeurs des nations le coupable serait la Russie : Pitoyable certains politiciens veulent nous faire croire que la Russie serait capable de fausser les élections dans plus de 2o pays! C’est une monstreuse intox. un bouc-émissaire facile.
Que signifient ces fausses nouvelles dont le but apparent vise à salir systématiquement Donald Trump comme durant toute la campagne présidentielle ? A part lui tricoter une image insultante, il y a là derrière une volonté de salir l’adversaire pour minimiser la portée des ses futures révélations contre les fourbes du camp Clinton-Obama. Ils aboient avant d’être mordus, parce qu’ils sont absolument certains que leurs trahisons vont sortir au grand jour et qu’ils seront traduits en justice comme l’avais promis Donald Trump durant la campagne. Et toutes ces révélations pourraient être attribuées aux vilains Russes. Souvenons-nous que la Clinton n’a pas utilisé les boîtes e-mails sécurisées par les services secrets, pour la raison bien simple qu’elle trahissait l’Amérique au profit des islamistes. Or c’est justement pour cacher ses trahisons à la vue des services secrets qu’elle a utilisé des serveurs non sécurisés. Malheureusement, non sécurisé signifie que des hackers russes ou pas russes étaient à l’affut. Et là le camp Clinton brûle ses dernières cartouches aux allures de pétards mouillés. http://www.ulyces.co/simon-head/les-secrets-inavouables-du-systeme-clinton/