Jura: Les Kosovars avaient violé une adolescente de 17 ans. Ils n’ont aucun remords et c’est la Suisse qui paiera l’essentiel des frais.

Christian Hofer: Agression sexuelle qui démontre ce que nous avons désormais dans notre pays par la faute de la gauche: une culture machiste, inégalitaire et arriérée qui considère nos filles comme des dévergondées parce qu'elles acceptent simplement de discuter avec ces barbares. C'est cela le progressisme socialiste.

Les juges sont totalement ignares de la situation: nos élites prônent le multiculturalisme en ne sachant absolument rien des us et coutumes de ceux qui viennent ici: Une fille qui monte dans le véhicule d'un inconnu est estampillée comme étant une pute. Chez eux, une épouse doit restée vierge pour le mariage. Par extension, nos filles ne sont que des jouets sexuels entre leurs mains qu'ils pourront jeter comme bon leur semble! Et ces juges attendent des "regrets" de leur part... quelle naïveté! Bien évidemment, aucune expulsion n'a été exigée malgré les casiers judiciaires fournis et bien évidemment encore, leurs avocats et les frais sont à notre charge.

Nos filles se font violer et nous payons leurs avocats ainsi que leurs frais: tout va bien en Suisse!

Pendant ce temps, la gauche féministe n'y trouve rien à redire. Admettre cette réalité signifierait écorner la propagande des cultures "qui se valent" et reconnaître un grave problème avec certaines ethnies. C'est une preuve supplémentaire de la superficialité de la propagande, juste bonne à accuser les Suisses de "populisme".

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"Que peut-on attendre de gens qui se considèrent comme des chiens? Les chiens, chez nous, on les tient en laisse!"

Le Tribunal pénal jugeait trois ressortissants kosovars établis à Porrenttruy prévenus de contrainte sexuelle pour l'un, de la même prévention avec en plus un viol de leur victime pour les deux autres.

Le premier a écopé d'un an d'emprisonnement et les deux autres de trois ans de prison chacun. Sans sursis, bien sûr, le président Pascal Chappuis rappelant que les antécédents des prévenus sont très mauvais.

L'histoire du chien se rapporte aux déclarations d'un des prévenus qui se comparait à un chien, pris par le feu, par un instinct primaire et animal.

Un viol durant la nuit de Noël

Durant la nuit de Noël de 2013, les trois hommes avaient fraternisé avec deux jeunes filles qui faisaient des courses en ville.

Les trois hommes ont ensuite ramené chez elle l'une des deux filles, puis ont profité du retour pour s'attaquer à la seconde. Là, "les masques sont tombés" a témoigné la jeune femme hors de la présence de ses bourreaux. Ce procès s'est tenu à huis clos mercredi et jeudi à Porrentruy.

Durant ce trajet, le premier homme l'a forcée à une relation sexuelle orale, a tenté d'aller plus loin alors qu'elle résistait.

Par moments, la victime était tétanisée. Frustré dans son désir, l'homme a abandonné ses deux comparses à Porrentruy.

"Il est passé directement de la séduction à l'action, sans autre forme de procès", constate le président Chappuis. Il y a bien contrainte sexuelle.

Les deux autres prévenus vont alors prendre le relai, s'acharnant en duo su leur victime, ajoutant viol à la contrainte sexuelle.

La fille crie, se débat, hurle sa douleur. Cela se passe devant les cabanes du Banné à Porrentruy, vers minuit, à l'heure où l'Ajoie fête la naissance d'un divin enfant.

L'un des deux auteurs dira plus tard de son complice "qu'il se comportait comme une bête".

Pas de regrets et pas de mots pour décrire la violence infligée.

Comme souvent, il y a deux versions.

Celle de la victime est précise, constante, observe le tribunal.

L'homme prévenu de contrainte niera tout jusqu'au bout. Il avait déjà utilisé cette ligne de défense en janvier 2015 lors d'un procès pour brigandage où il avait écopé de 2 ans de prison.

Les deux autres prévenus, dont un des frères du premier, nieront tout. Puis ils admettront leurs actes sexuels, mais en précisant que la victime était consentante.

"Une fille facile", dira l'un des prévenus. Cette appréciation fait bondir le président Chappuis. Ils n'ont pas hésité à commettre ces actes à l'insu de leurs épouses ou compagnes, l'un d'eux étant marié depuis 15 jours.

Difficile d'admettre qu'ils veuillent juger des mœurs de leur victime.

Composé encore d'Emilienne Trouillat et de Michel Rion, le Tribunal pénal est convaincu de la culpabilité des trois hommes. Ceux-ci ont agi égoïstement, sans empathie, pour leur victime, qui n'a jamais consenti à ce qui s'est passé.

"Mais je crois que l'élément central est l'absence totale de regrets. Ils n'en ont jamais manifesté à l'égard de leur victime, ils n'ont jamais voulu entendre sa détresse. Face à cette violence, les mots viennent à manquer", continue Pascal Chappuis. La responsabilité des violeurs est particulièrement grave, puisqu'il y a contrainte sexuelle et viol et qu'ils ont agit ensemble.

Les deux frères, déjà condamnés à deux ans de prison chacun (dont un an de sursis pour l'un d'eux), ont déjà retrouvé la liberté.

Cette affaire de viol et de contrainte sexuelle s'étant produite avant leur procès pour brigandage, les peines infligées hier s'additionnent donc simplement. Le troisième homme avait déjà été condamné dans une affaire de stupéfiants. Le juge renonce à lui faire sauter le sursis, les deux délits étant très différents.

Et contrairement à sa décision de janvier 2015, le juge Chappuis n'a pas ordonné l'arrestation immédiate des prévenus, estimant notamment le risque de fuite peu élevé. Et il y aura sans doute recours.

Une jeune fille en partie détruite

Âgée de 17 ans au moment de son viol, la jeune fille a aujourd'hui de lourdes séquelles psychiques consécutives à cette affaire, est prise en charge par l'AI.

Le Tribunal pénal reconnaît l'existence de prétentions financières de sa part, mais préfère laisser aux juges civils le soin de les chiffrer. Les frais judiciaires dont devront s'acquitter les prévenus s'élèvent à 55'000 fr., que le tribunal a réparti en trois parts presque égales.

Leur victime recevra une indemnité de 14'000 fr. pour ses frais d'avocat. Il y a cependant une probabilité assez forte pour que l'essentiel soit assumé par l'État, par le biais de l'assistance judiciaire.

 

kosovar

 

Source: Le Quotidien Jurassien du vendredi 18.11.2016 page 7

Nos remerciements à 

Rappels:

Les Kosovars de Suisse remercient M. Calmy-Rey

Lorsque le PS suisse exigeait que la Suisse favorise l'arrivée des Kosovars

13 commentaires

  1. Posté par Michel le

    Moi j’ai 70 balets et j’ai 2 filles , si cela était arrivé à l’une d’entre elle je réglerais le problème moi- même. Je ne compterais surtout pas sur la Justice Suisse …..!!!!!

  2. Posté par Gaston Siebesiech le

    A. Vonlanthen, Marra elle s’en fout royalement. Son discour anti-suisse, cette manager de l’industrie du social, avec maison de vacance en Italie et bien sûr son passeport Italien démontre une arrogance sans borne. Comme Burger l’ex Unia de Zurich elle est comme un poison dans l’eau bénite. madame Calmy-Rey elle aussi nage dans ces même eaux, ses copains Soros et Clinton à qui on fait verser de l’argent Suisse pour soutenir on ne sait quoi montre avec quelle arrogance là aussi les socialistes se moquent du peuple Suisse.

  3. Posté par pierre frankenhauser le

    Ces trois … ont de la chance que notre pays n’euthanasie que les vrais « chiens ».

    Et dire que Donald Trump est dépeint par les médias comme l’ennemi de la gente féminine, un macho qu’on devrait quasiment castrer pour avoir lâché des blagues lourdingues certes pas très reluisantes sur les femmes, mais qui ne restent que des mots. C’est le monde à l’envers.

  4. Posté par Sergio le

    Où sont les diaconesses outragées prêtes à vous crever les yeux, dès qu’un homme blanc se permet une blague un peu osée ? Où sont toutes ces segunda, Cesla, Adda amatrices de burqa ayant des problèmes à régler avec les hommes ?
    Où sont tous les gauchistes partisans du vivre ensemble et de l’égalité des races et des cultures ? Et les médias, ceux qui sont du côté du bien, pourquoi ne rapportent-ils pas les faits ?
    La bassesse, et l’indignité de cette bien-pensance de salon qui prétend nous gouverner sont répugnantes, même le monde animal ne vous admettrait pas dans un groupe.

  5. Posté par Le Taz le

    Micheline Calmy-Rey, vous portez la responsabilité de la destruction de la vie de cette jeune femme. Que votre âme, pour peu que vous en ayez une, vous l’avez probablement vendue à Satan, brule en enfer pour l’éternité !

  6. Posté par Jean-Francois Morf le

    Pour les mahométans, les droits de l’homme sont définis dans la sharia, qui définit Mahomet comme l’homme parfait à copier. Donc elle a été violée en parfait accord avec les droits de l’homme, version mahométane. La sharia ordonne aux mahométans de tuer les chrétiens et de violer les chrétiennes, donc c’est leur droit! Il est urgent d’interdire nommément la sharia dans la constitution!

  7. Posté par Palador le

    Il faut leur donner des cours d’intégration. Leur dire qu’en Suisse les femmes sont libres, qu’elles ont obtenu l’égalité et qu’elles ont le droit de dire « non » 🙂 🙂 Blague à part, c’est le genre de discours qu’on entendait il y a encore 5 ans de nos politiques et parmi eux beaucoup de féministes ! On remarquera aussi le silence assourdissant de ces dernières à chaque affaire de ce genre. Alors quand il s’agit d’un de leur concitoyens qui fait une blague douteuse, un compliment trop appuyé ou un geste déplacé, c’est des huées et des cris pour qu’on le lynche en public !

  8. Posté par Curchod silvia le

    Même sans laisse mon chien ne se comporte pas ainsi!!!!

  9. Posté par sophie edouard le

    Attention… car de bafouer les victimes et leur droit nous amènera tôt ou tard a faire justice nous même,,,

  10. Posté par RealrecognizeReal le

    Incroyable! dans le quotidien jurassien ils précisent l’origine des délinquants. Ça nous change de la presse lémanique.

  11. Posté par Tommy le

    Et que l’on ne nous dise pas qu’il s’agit de Kosovars  » par hasard ».
    Ces peuplades attardées, totalement inéducables, s’en sortent face à la bienpensance grâce à l’infime minorité intégrée et favorite des médias.
    Que les juges suivent ENFIN le choix de la population d’expulser cette moisissure de notre démocratie.
    Le Kosovo n’est pas un pays en guerre, et à la limite, on s’en fout. Qu’ils assument leurs problèmes, dans la mesure où ils se torchent de nos us et coutumes.
    Que ses ressortissants ne viennent pas polluer notre pays.
    Quant à  » l’enrichissement multiculturel » prodigué par la présence de ces virus chez nous, personnellement, je m’en passe très bien. Ma culture me suffit.

  12. Posté par A. Vonlanthen le

    Elle dit quoi à cela Ada Mara ? Il faut leur donner la nationalité Suisse ?

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