Hongrie, Budapest – Des plaintes ont été déposées à l’encontre de Szófia Havas, cadre du parti Socialiste hongrois. Elle est suspectée d’avoir nié les crimes perpétrés sous le communisme.
Le Jobbik et l’association des Jeunes démocrates chrétiens ont déposé plainte auprès des autorités pour appuyer l’accusation. A l’occasion de 60e anniversaire de la Révolution de 1956, Mme Havas a déclaré à un média russe que cette révolution a été une « provocation » de la part des fidèles de Miklós Horthy, régent de Hongrie de 1920 à 1940, qui auraient fait « du porte a porte à la recherche de Juifs et de communistes ».
Le parti Socialiste a lancé une procédure disciplinaire contre Szófia Havas. Si les autorités la déclarent coupable elle risquerait jusqu’à 3 ans de prison.
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Ne cherchez pas trop loin. Tout est dans les noms. Havas du nom de l’agence de presse, parmi celles qui centralisent les nouvelles, les filtrent au profit de qui vous savez et les distribuent à la presse qui intoxique. Propriétaire Bolloré, le roi du Bollo, sous la gouvernance du socialiste Hollande qui déclare ne pas avoir de bol alors que c’est un vrai timbré. Si ce n’est qu’une coïncidence, elle porte tout de même à réfléchir. Or le bollo était le timbre postal, une machine à fric, et aussi un monopole familial, d’une famille allemande comme les « Tour et Taxis » « Thurn und Taxis » qui a aussi pris comme nom propre celui de ses profits. Avant leur exploitation monopolistique du timbre, ils n’existaient pas, après ils étaient devenu une famille princière. Visiblement l’histoire nous démontre que si certains timbrés se déclarent normaux et n’ont pas de bol pour être à 4 % d’opinions favorables, ils devraient démissionner sur le champ.