Si l'Union européenne reste sur une ligne dure et refuse d'accepter un accord commercial, Londres dispose d'une option «nucléaire» : diviser par deux l'impôt sur les sociétés. Ce afin d'inciter les entreprises et les banques à rester au Royaume-Uni.
«On dit que nous n'avons pas de cartes en main», a déclaré une source proche du gouvernement citée par le quotidien britannique The Times. Mais «nous avons de bonnes cartes à jouer s'ils [l'Union européenne] commencent à nous faire des difficultés. S'ils nous imposent des barrières tarifaires, nous pourrons toujours abaisser l'impôt sur les sociétés à 10 %»
Selon le quotidien, un plan «secret» de réduction drastique, de 20 % actuellement à 10 % serait à l'étude afin de contrer des négociations dures dans le cadre de la sortie du Royaume-Uni. Le but étant d'inciter les entreprises européennes qui ont choisi les îles britanniques pour optimiser leur fiscalité à rester.
Nos remerciements à Didier S.
Quelle chance pour les anglais d’avoir Theresa May comme premier ministre, courageuse femme qui s’oppose à l’arrogance de l’UE. Contrairement à notre dame pipi qui lèche les bottes du soulard Juncker.
ah bin ça change des négociations suisses…. bon vous me direz quelles négociations ???
Une preuve de plus que l’UE est plus devenue un obstacle à la liberté qu’autre chose.
Il faudrait proposer aux Suisses pro UE de rejoindre plutôt la couronne britannique ou mieux encore, de faire une alliance exclusivement économique avec les pays d’Europe du Nord qui ne sont pas dans l’UE.
Les Anglais ont la seule chose qui manque à nos « chers » conseillers fédéraux: des couilles!
Peut-être pourrait-on essayer d’en faire livrer quelques caisses à Berne?
On ne peut être certain que cela suffise, tant il est vrai que l’on risque des phénomènes de rejet: le courage politique est incompatible avec la socialie, sur des gens aussi plats et aussi lisses il n’y a rien où les accrocher! Et ça glisserait aussi vite que l’argent de l’aide sociale dans le poche d’un réfugié….
J’espere que cela donne des idees aux soit disant negociateurs suisses… bon, j’arrete de rever 🙁
Il faut dire que les Anglais ont beaucoup de chance: Mme Thérésa May ne s’appelle pas Simonetta Summaruga ,elle sait jouer ses atouts et c’est une vraie démocrate qui écoute le peuple et ne se laisse pas impressionner, elle, par l’arrogance de l’UE.
Contrairement à la Suisse , Londres ne se laisse pas manipuler par l’UE. Il est vrai que les anglais ne sont pas des lavettes eux.
Le Royaume-Uni peut aussi utiliser un autre atout, comme celui de devenir un paradis fiscal pour l’argent sale et caché en provenance du monde entier.