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« Les institutions communales sont à la liberté ce que les écoles primaires sont à la science; elles la mettent à la portée du peuple (..) ». En vertu de quoi, usant hypocritement de critères managériaux, les castes politiques essaient de les détruire. L’État (que l’on peut légitimement qualifier de « fasciste » au regard de la définition mussolinienne du terme) piétine allègrement les prérogatives des maires. On ne leur demande pas leur avis : si la commune a le malheur de disposer d’installations jugées adéquates par les bureaucrates, sans consultation préalable, le préfet, exécuteur des basses œuvres, impose un contingent d’envahisseurs. Voilà ce qui se passe lorsque, loin d’exercer son rôle régalien de sécurité intérieure, l’État devient un agent du remplacement ethnique. Il introduit de force des énergumènes potentiellement dangereux, des trublions (on sait ce qu’ils ont fait à Calais !), il sème donc l’insécurité dans les populations. Il est normal que les citoyens s’insurgent : non seulement on met la paix rurale en péril, mais encore les envahisseurs vivent aux dépens des contribuable. C’est ahurissant : le citoyen est sommé d’accepter le trublion et de payer pour être agressé ! Mais où est passée la démocratie, dans cette France des castes euro-atlantistes ? Et quand le peuple s’insurgera-t-il de manière déifnintive contre ces brutalités totalitaires ?