Immigration de masse: Pour Bruxelles, «la solution light va encore trop loin»!

La Suisse doit limiter l'immigration en exploitant mieux sa main d'oeuvre résidente. Au besoin, le Conseil fédéral pourra aussi prendre des mesures correctives enfreignant la libre circulation, mais seulement avec l'aval de Bruxelles. C'est la «solution light» qu'a approuvé le National lors de la dernière session d'automne pour appliquer l'initiative contre l'immigration de masse votée le 9 février 2014. Une solution qui vient d'être examinée à Bruxelles.

Verdict des juristes de l'UE: elle va trop loin, selon un rapport confidentiel qu'a pu lire la télévision alémanique SRF.

Le choix de la préférence nationale proposé par la Suisse contredit en divers points l'accord sur la libre circulation avec l'UE, est-il écrit dans ce document. Le texte mentionne encore une liste de points que font que la mise en oeuvre de l'initiative viole les accords existants.

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14 commentaires

  1. Posté par Paul le

    Tant vaut dénoncer ces accords pourris des bilatérales! De toute manière ils ont été conclus en situation de faiblesse et beaucoup trop de concessions ont été faites lorsque les politiciens suisses avaient encore l’illusion de pouvoir sauvegarder le secret bancaire: qu’ils aillent tous se faire voir, l’UE et les USA.

  2. Posté par observateur le

    Les technocrates de Bruxelles n’arriveront pas à faire plier l’Angleterre qui aura sa souveraineté pour contrôler, réguler et décider qui peut entrer chez eux. Cela est normal car c’est la volonté du peuple qui a bien réalisé le péril d’être submergé et disparaitre.
    L’immigration intra Européenne est une chose , mais l’extra Européenne ( africano-arabo-musulmane ), c’est une autre affaire dont les conséquences dévastatrices explosent dans tous les quartiers et villes des banlieues où c’est devenu ingérable, sans solution…que la guerre civile.
    L’Europe libérale, multiculturelle, mondialiste et immigrationniste que veulent Junker, Schultz, Merkel, Hollande etc…est un suicide pour les peuples Européens dont la Suisse qui n’est même pas membre de l’Europe et qui pourtant est menacée d’obéir contre la volonté populaire de ses citoyen qui ont voté contre l’immigration de masse.
    Si le conseil fédéral se soumet à ces technocrates de Bruxelles non élus, ce sera la fin de la Suisse .

  3. Posté par Christian le

    Autant dénoncer les bilatérales, et tant pis pour les conséquences économiques !

  4. Posté par Martin Leu le

    La prochaine étape, pour les vendus de Berne, sera probablement une génuflexion de plus de nos traîtres du Conseil fédéral.
    Il est hélas parfaitement clair que le vote du 9 février 2014 sera contourné par tous les moyens, tant il continuera d’y avoir des cris d’orfraie devant les menaces des barons de Bruxelles, adulés par tous ceux qui voudraient y obtenir une place quand ils seront éjectés, par les électeurs enfin éclairés, des corps auxquels ils appartiennent encore en Suisse.

  5. Posté par Loulou le

    C’est très bien.

  6. Posté par mac'oest le

    Bruxelles joue au poker, et elle a bien raison: l’ UE sait parfaitement que ceci n’est pas la volonté du peuple et voit venir nos traitres à elle avec plein de courbettes et le visage empourpré, la main tremblante. L’attitude des membres du CF en dit long sur leur volonté de faire appliquer et admettre ce nouvel article de la Constitution…. Imaginons un instant qu’il puisse leur pousser des c***lles ; ils appliquent la décision populaire à la lettre et présentent ceci à Bruxelles. Point. Et qui de sensé pense encore que l’UE va annuler les accords? Et quand bien même, notre pays peut s’ouvrir bien d’autres perspectives et négocier avec chacun des pays membres… Il n’en ont pas le droit, mais je ne vois pas la France dont la balance commerciale est largement bénéficiaire vis-à-vis de nous, se priver de cette manne.

  7. Posté par Jacques Beckie le

    La prochaine étape c’est d’appliquer le texte de l’initiative à la lettre car il n’y aura pas d’autres solutions et de laisser Bruxelles résilier les accords bilatéraux, ce qui n’arrivera pas car ils n’obtiendront pas l’unanimité des pays membres pour le faire.

  8. Posté par Hervé le

    Qu’ils ne s’inquiètent pas, les politicards suisses iront jusqu’où il faudra pour leur faire plaisir.

  9. Posté par Le Taz le

    Entièrement d’accord avec Sophie.

    Il y en a marre de la dictature de Bruxelles ! C’est fois-ci je le dis, envoyons-les faire foutre une bonne fois pour toute ! Dénonçons les bilatérales, fini la libre circulation, un moratoire sur l’asile et basta !

    Et si l’UE nous pénalise commercialement, à nos entreprises et à nos diplomates de se rapprocher de la Russie, des pays de l’est, de la Chine, de l’Inde et d’autres. Et si les organisations internationales veulent quitter notre territoire, qu’elles s’en aillent, bon vent ! Nous avons des moyens de pression, nous sommes encore le château d’eau de l’Europe et si Bruxelles nous crée des problèmes, leurs poids lourds qui détruisent nos routes, qui surchargent notre trafic et qui polluent notre pays passeront ailleurs !

    De toute manière cette UE est en perte de vitesse, les pays de Viesegrad ne vont probablement pas y rester longtemps, car ceux qui pensent que Bruxelles changera de politique se mettent le doigt dans l’œil jusqu’au bout du gros orteil…

    Mais tout ceci restera certainement un vœu pieu, ça n’est pas la bande de traitres qui arpente les couloirs de Berne qui vont faire quelque chose en ce sens, la plupart sont des mondialistes de la pire espèce !!! Nos élus ne respectent plus les décisions du peuple, changeons-les !!!

  10. Posté par FrançoisB le

    Mais merde à la fin ! Déjà que ces propositions édulcorées, ces mesurettes ridicules ne correspondent pas à ce que le peuple a voté et INSCRIT dans la Constitution, maintenant les « juristes » de l’UE viennent nous dire que cela va trop loin et que d’appliquer une préférence nationale contreviendrait aux accords Schengen-Dublin. C’est « la goutte d’eau qui met le feu aux poudres », d’où « la moutarde me sort de gonds » ! Envoyons vite balader ces accords qui sont à 100% nuisibles à la Suisse. Parce que, dans un sens des dizaines de milliers de ressortissants de l’UE accourent chaque année en Suisse pour s’y installer, mais en sens inverse: vous en connaissez beaucoup de Suisses qui vont bosser en France ou en Allemagne pour 1’200 € par mois ? Gardons une fois pour toute notre pays indépendant et souverain, nous sommes un peuple libre d’appliquer toutes les lois que nous voulons ! Point Barre !

  11. Posté par sophie edouard le

    Bien contente que l’UE n’accepte pas cette version, car elle ne correspond absolument pas à ce que le peuple a demandé. Que ces accords pourris soient une fois pour toute dénoncés, je préfère ne par être sous la dictature de Bruxelles, notre démocratie et notre liberté ne sont pas à vendre! et tout ça, toutes ces palabres de nos dirigeants avec Bruxelles depuis 2 ans pour venir nous dire que finalement Bruxelles n’accepte même pas que les autochtones du pays soient en priorité engagés et en plus avec leur veto !!!! Qu’ils aient au diable, ils sont déjà en enfer.. le diable ne sera pas difficile à trouver…..

  12. Posté par groudonvert le

    Et on fait quoi maintenant ? Si même ce truc va encore trop loin alors que cette loi est complètement vide, la prochaine étape c’est quoi ? Ne pas du tout appliquer l’initiative ?

Et vous, qu'en pensez vous ?

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