Le membre du conseil d'administration de l'Association islamique a fait de la propagande extrémiste et a connu un certain nombre de prédicateurs radicaux en provenance des Balkans.
Il y a sept ans, le Bosniaque S. C. habitant Bâle est apparu pour la première fois dans le radar des spécialistes de la surveillance anti-Jihad de la Confédération. Les surveillants d'Internet ont rapidement découvert que le trésorier de la Communauté islamique de Bosnie de Bâle se trouvait derrière des activités de propagande pour les islamistes radicaux.
En 2012, il abandonnait ses fonctions à l'association mais pas ses activités de propagande, du moins jusqu'en septembre 2014. Son domicile et son lieu de travail ont été perquisitionnés sur des soupçons de soutien à une organisation terroriste, infraction à la loi sur l'interdiction d'Al-Qaida et d'appel à la violence.
Peine avec sursis et amende
Le procureur fédéral a confirmé que l'affaire pénale est à présent en voie de conclusion. L'homme de 42 ans a largement avoué. Selon toute vraisemblance, il s'en tirera avec une ordonnance pénale.
Lors des interrogatoires, le père de famille a pris ses distances avec ses compagnons radicaux ainsi qu'avec la milice terroriste de l'Etat islamique.
SC a entretenu durant des années des relations dans les milieux radicaux de Bosnie. Sur son téléphone portable, on a retrouvé le numéro de son compatriote Nusret Imamovic. Imanović est sur la liste des Nations Unies des dirigeants d'Al-Qaïda en Syrie. SC a reconnu avoir rencontré Imamovic deux fois en Bosnie.
Le Bosniaque a connu un certain nombre d'autres imams des Balkans, qui sont considérés comme des prédicateurs radicaux. Comme ils se sont radicalisés, il veut prendre ses distances.
Toutefois, il y a deux ans, les enquêteurs ont saisi chez lui des CDs et DVDs, avec des appels provenant de tels imams appelant au combat, avec des symboles de l'Etat islamique et d'Al-Qaida.
Source Traduction approximative Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Rappels:
Les élèves qui ont refusé la poignée de main sont les fils de l'imam de Bâle
Pourquoi tant de réticences avant d’expulser ces individus nuisibles pour notre Pays? Est-ce une question de problème légal? Si oui il faut que le Parlement et le Gouvernement modifient ou adaptent ces lois! Dans l’immédiat qu’est-ce qui empêche l’Etat de faire recours au décret d’urgence? Bougez-vous…
Les radicaux ne prennent jamais les distances avec les leurs.
Pauvres suisses qui n’ont toujours pas compris la takiya…..C’est le retour immédiat au pays qu’il fallait exiger….rien de moins que cela…
Dans un futur proche, j’ai l’impression que certains juges devront rendre des comptes non pas à
Strasbourg mais au peuple Suisse…
Expulsez-moi cet acabit. Pourquoi perdre notre temps , avec des gens qui de toute façon veulent attenter à nos institutions du moins dans la parole en premier lieu. Loin dehors, il y a assez de gens à aider chez nous ?
L’Etat suisse doit se débarrasser de cette famille funeste: il est impératif de l’expulser du territoire! Les citoyens s’en fichent de savoir quelle loi va être utilisée, mais ils veulent un résultat concret!
Mais qui pourrait être réellement » surpris » ? C’est » normal « …
« Lors des interrogatoires, le père de famille a pris ses distances avec ses compagnons radicaux ainsi qu’avec la milice terroriste de l’Etat islamique. » Bien obligé,de faire profil bas lorsqu’on se fait prendre !
Le problème est que tant qu’ils n’ont assassiné personne, ils sont libres de continuer à travailler secrètement à leur guerre contre l’occident.
Alors : » Selon toute vraisemblance, il s’en tirera avec une ordonnance pénale. »
Et pan ! Citoyens, un de plus relaché dans la nature.