Dans une interview accordée à l’hebdomadaire Wirtschaftswoche, Angela Merkel informe qu’elle renonce à son célèbre "Wir schaffen das" (« Nous y arriverons »), formule qu’elle a employée à maintes reprises depuis le 31 août 2015, formule qui était devenue le symbole d’une politique d’ouverture à l’égard des réfugiés ouverture de plus en plus contestée ; formule qui, redisont encore, lui est aujourd’hui très vivement reprochée par la majorité du peuple allemand.
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Angela Merkel : "Parfois, je pense que cette phrase (« Nous y arriverons ») a été un peu exagérée, qu’on a mis trop de choses dedans, à tel point que je préfère ne plus guère la répéter. C’est devenu un simple slogan, presque une formule vide de sens", affirme désormais Angela Merkel. En clair, selon Angela Merkel elle-même, son propre slogan, "Nous y arriverons", n'est, finalement, plus qu'une formule vide de sens. Et Angela Merkel précise : "je préfère ne plus guère la répéter". Bien.
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Il faut dire qu'Angela Merkel n'a plus la cote auprès des électeurs. Ainsi, le parti chrétien-démocrate (CDU) d'Angela Merkel a enregistré le pire résultat de son histoire, avec 17% seulement des voix (en baisse de -5,7 points), lors des élections, dimanche 18 septembre 2016, au Parlement de Berlin. Jamais dans l’histoire de Berlin, celle de Berlin-Ouest après la Deuxième guerre mondiale, puis celle de la ville réunifiée après 1990, la CDU n’avait connu pareille débâcle.
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De son côté, le parti populaire et patriotique Alternative pour l'Allemagne (AfD), lui, entre en grandes pompes au Parlement berlinois, avec 14,2% des voix. Le résultat de ces élections va aussi permettre à l'AfD de siéger dans différents conseils d’arrondissement, notamment dans les trois quartiers berlinois de Lichtenberg, Marzahn-Hellersdorf et Treptow-Köpenick), et, enfin, le résultat de ces élections permettra aux élus AfD d’obtenir quelques postes de maires adjoints.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Et la fille de pasteur peut d’ores et déjà tendre la joue droite, le deuxième service est en préparation.
C’est trop tard pour l’Allemagne.
Les protégés d’Angela sont sur place, continuent d’affluer.
Ils ne travaillent pas, ne le feront jamais, et se reproduiront à l’envi. Plus d’enfants, c’est plus d’allocations.
De plus, tout en vivant aux crochets des contribuables allemands, ils ne se priveront pas d’imposer leurs revendications à ces derniers, dont la liste est trop longue à énumérer.
Après tout, Angela n’a pas de soucis à se faire. Elle démissionnera, touchera une retraite royale tout en vivant dans les quartiers monoethniques et sécurisés, tout en se revendiquant du » droit à l’erreur » .
La Mutti admet « un manque de préparation face à l’afflux des migrants ». Si on la suit, cette crise serait juste due à un problème logistique, à un manque de capacité d’accueil. En réalité, même si l’Allemagne avait eu un millions de lits prêts, il n’était pas question d’accueillir un seul de ces colonisateurs mahométans. Ce n’a rien à voir avec un quelconque souci « logistique ». Malgré cette gifle électorale, Merkel persiste dans son déni de réalité. Elle est indigne de sa fonction de chancelière.
http://www.rts.ch/info/monde/8027408-angela-merkel-admet-un-manque-de-preparation-face-a-l-afflux-de-migrants.html
Qu’elle revienne en arrière ou pas, le mal est fait, pour l’Allemagne et pour toute l’UE… cette femme devrait partir et ne plus jamais exercer de mandat politique. Gouverner c’est prévoir. Elle, elle a fait du sentiment et a voulu surtout protéger les grandes firmes allemandes au détriment de toute l’UE. Elle doit quitter la vie politique et se faire toute petite dans un coin paumé de la campagne.
Si elle avait un semblant de classe, elle démissionnerait immédiatement. Mais elle est de la même veine que François Hollande, peut importe le degré d’insatisfaction du peuple, ce qui compte c’est de remplir sa mission pour plaire à ses maîtres !
Sie schafft baffes !
Bon : le grand reflux ? Espérons-le pour le peuple Allemand et pour tous les peuples d’Europe.