Un guide intitulé « Comment faire face à l’islamophobie ? » sera distribué à la rentrée scolaire aux enseignants et autres éducateurs au Canada.
Cette véritable mine d’informations, à la fois instructives et pratiques, née de l’inquiétude quant à la montée du racisme anti-musulmans dans le temple du savoir, a été pensée, hiérarchisée, puis couchée sur le papier par le Conseil national des Canadiens musulmans, en étroite collaboration avec l’Association des services sociaux musulmans et la Commission canadienne des droits de la personne.
«Il y avait un réel besoin et nous l’avons comblé», a-t-elle indiqué devant la presse nationale, en précisant que la conception de cet ouvrage répond non seulement aux attentes des enfants de confession musulmane, mais aussi à une demande pressante émanant du corps enseignant. « Les enfants sont très ouverts et résilients, et ce sont les deux forces sur lesquelles nous voulions nous appuyer. Nous avons voulu donner aux professeurs un outil pour les aider à ouvrir le dialogue avec ces enfants, afin que ces derniers sentent qu’ils font partie intégrante de cette société», a expliqué Shahida Seddiqui.
Dévoilé jeudi en conférence de presse, ce guide inédit est censé donner des clés aux professeurs et pédagogues du Canada pour contourner le dangereux écueil de l’islamophobie et apaiser l’anxiété grandissante de leurs élèves musulmans, qui serait grandissante depuis les dernières attaques terroristes sanglantes perpétrées en Europe, selon le triste constat d’une experte en la matière, Shahida Seddiqui, présidente de l’Association des services sociaux musulmans. [...]
oumma via Fdesouche.com
Traiter les islamophobes de racistes est un contre-sens, l’Islam n’est pas une « race » mais une « doctrine », ce sont ces idéologies religieuses incompatibles avec les leurs que rejettent la majorité des occidentaux.
Et que dire de l’anxiété des chrétiens en pays musulmans ? Je connais bien le Canada, j’ai vécu à Montréal et dans la grande banlieue de Toronto (GTA) j’ai côtoyé grand nombre de musulmans, discuté avec eux, donné un coup de main pour peller la neige devant la maison, je n’ai vu aucun problème. Ou bien je suis myope ou on crée un problème, très mineur au demeurant. Avec de petits problèmes, toujours existants, on en fait un problème national, c’est d’ailleurs très souvent la tactique des organisations muslmannes dans nos pays.
Que devaient dire les enfants Italiens dans certains quartiers ? Il suffisait que je dise que j’ai du sang sicilien pour qu’on me parle de mafia et de couteau.
Je précise que je suis pasteur, j’aurais eu de quoi leur rentrer dans le cadre, ou invérsément. Et suis retourné dans le quartier où j’habitais et ai salué mes voisins de droite comme de gauche, tous musulmans.