L’Europe veut investir en Afrique pour freiner l’arrivée de migrants

L’Exécutif européen a présenté un plan pour que les candidats à l’émigration restent chez eux.

Financer le développement de l’Afrique pour limiter les départs vers l’Europe: voici la ligne directrice du nouveau plan présenté mardi à Strasbourg par la Commission européenne. Cette «nouvelle approche» pour freiner le flux migratoire fait ainsi miroiter des aides financières et des investissements dans des «pays clés» en Afrique et au Proche-Orient. Mais la Commission menace aussi, d’entrée de jeu, de retirer ces engagements «à défaut de résultats».

Suite (article du 8 juin 2016)

10 commentaires

  1. Posté par conrad.hausmann le

    Si j’ai bien compris on va payer ici….et là-bas en Afrique. Et il faut bien financer les limousines de tous les représentants diplomatiques et délégués auprès les Nations…Unies etc.

  2. Posté par C. Donal le

    Qu’on cesse de leur imposer nos « démocraties » et qu’ils règlent leur démographie suicidaire. La victimisation pratiquée par l’élite africaine et par l’émigration africaine en Europe et la culpabilisation pratiquée par nos gauchistes alimentent un gouffre sans fond. Pourtant les uns et les autres se fourvoient.
    A ce propos : Osons dire la vérité à l’Afrique, Bernard Lugan.

  3. Posté par JDV le

    Il y a quelques années de cela, la Croix Rouge Suisse avait loué une maison en face de chez moi et je voyais défiler une bonne variété de personnes. Un jour, parlant avec des occupants, je crois Somaliens (mais pas très sûr) eux me disaient que nous sommes tous riches en Suisse, je leur ai dit que si nos anciens avaient passé leur vie à faire des palabres sous les arbres, on aurait encore les loups et les ours devant nous tous les jours et pas d’industries.
    Je propose qu’on donne à des Européens (des vrais) un bout de terre en Afrique, pas très grand, disons de la superficie de la Suisse romande et que l’on repasse 20 ans plus tard. Ce bout de terre donnerait à manger à toute l’Afrique.

  4. Posté par mc le

    Quand on investit en Afrique on créé des vrais tyrants qui mettent les investisseurs dehors et s’empiffrent avec leur argent….Mobutu au Congo….

  5. Posté par mac'oest le

    Depuis que je suis gosse, on parle de ce pauvre continent qu’il faut aider…. plusieurs centaines de milliards plus tard, on continue alors que l’Afrique ne fait que s’appauvrir! Les pays riches du Golfe investissement en Occident, pas là-bas…. Ils savent très bien pourquoi!

  6. Posté par sophie edouard le

    Après 50 ans et des milliards envoyés en Afrique on voit le résultat !!! c’est un pari perdu d’avance, ces pays africains sont complètement corrompus, la mentalité de la population n’a pas évolué depuis 50 ans, on fait toujours 10 enfants, on attend que le riche blanc vienne secourir le pauvre noir. Ce continent est resté complètement sous-développé alors qu’il possède des richesses incroyables. Les seuls routes praticables qu’ils ont, l’électricité, l’eau courante etc… c’est les colons qui l’ont fait, quand on entend ce président africain qui vient nous dire en 2015 c’est honteux que la plupart des gens chez nous n’aient pas accès à l’électricité… et….. il attend quoi ? le blanc coupable doit aller le faire ? Depuis 50 ans d’indépendance il n’y a plus rien qui n’a été fait, c’est là le problème de ce peuple qui se positionne en victime à vie… La seule chose à faire est de leur montrer notre savoir faire pour évoluer, si ils ont envie d’évoluer ce qui n’est pas gagné. Mais ma conviction en l’état des choses et leur mentalité est que « Nicolas » a raison et c’est une protection totale de nos frontières qui empêchera ce milliard d’individus du continent africain d’envahir l’Europe.

  7. Posté par Vautrin le

    La bonne blague ! Depuis le trop célèbre « Soleil des Indépendances », des sommes fabuleuses ont été dépensées dans le tiers-monde africain et dans certains pays du Moyen-Orient, en pure perte. Il faut avoir vécu suffisamment d’années dans plusieurs de ces pays, avoir suivi de près les dépenses publiques dites « de coopération », avoir eu connaissance des budgets des organisations satellites de l’ONU, pour être certain que le torrent financier se perd systématiquement dans les sables de la concussion, du népotisme, de la prévarication. Des pays artificiellement délimités et à structure tribale ne sont évidemment pas en mesure d’employer la manne que leur donnent les contribuables des pays développés.
    On pourrait penser qu’un strict contrôle, une organisation dirigée de bout en bout par des fonctionnaires venus des pays donateurs aurait quelque chance de faire aboutir l’entreprise. C’est oublier que la mise en place d’une économie productive, même de niveau technique moyen, exige une main-d’œuvre instruite et qualifiée. Celle-ci n’existe pas, même si la propagande nous ordonne de voir des milliers ingénieurs et de médecins parmi les envahisseurs de l’Europe. Le rendement des systèmes scolaires et universitaires locaux est faible, si faible qu’il ne permettrait pas de fournir les ouvriers et cadres requis. N’oublions pas non plus l’indolence maintes fois soulignée des populations autochtones vis-à-vis du travail. Alors il faudrait une coopération totale de substitution, avec du personnel européen. Cela ne plairait sans doute pas aux autochtones, et, bien évidemment, n’aurait pratiquement aucun impact sur l’économie locale, hormis peut-être la fourniture limitée de subsistances et de loisirs. Ce n’est pas en développant le safari que l’on développe l’ensemble de l’économie d’un pays !
    Bref, on a peine à se représenter l’imbécillité des européâstres, incapables de faire le bilan de soixante-dix ans de prébendes versées à l’Afrique, et toujours rêvant de bulles de développement qui, comme celles de savons, finissent par éclater et disparaître.
    Il n’y a pas d’autre issue à l’invasion que la fermeture des frontières, avec une étanchéité garantie par les armes, et la suppression des « aides », prestations et autres prébendes servies aux envahisseurs dans nos pays. En supprimant la motivation, on réduit l’invasion.
    Tout le reste n’est que littérature.

  8. Posté par RealrecognizeReal le

    Et investir dans des frontières dignent de ce nom? Investir dans les familles et la jeunesse? afin que la relève au vieillissement de la population soit « made in europe ».
    Et surtout laisser ces faux-réfugiés se sortir les … afin qu’ils construisent leur pays/continent eux-mêmes. Comme nos ancêtres l’ont fait pour l’europe jadis.

  9. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    C’est ce qu’il fallait faire il y 30 ans, évidemment…

  10. Posté par Nicolas le

    En dehors d’un Junker, quel imbécile croit encore au développement possible après tant de milliards investis à perte durant des décennies. Le seul investissement raisonnable consiste en l’achat massif de fils de fer barbelés.

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