L’Islam psychiatrique, d’un amalgame à l’autre

Céline Amaudruz
Conseillère nationale UDC

 

Depuis trop longtemps déjà, les islamistes sèment la mort et la désolation un peu partout sur la planète avec une forte prédilection pour cette Europe chrétienne qu'ils exècrent malgré l'accueil bienveillant que les autorités leur réservent. Lors du premier attentat au son d'Allahu Akbar, les médias, les politiciens ont évoqué un acte isolé qui ne représentait en aucun cas l'Islam, religion de paix et d'amour. Il y eut un autre acte isolé. Hommes, femmes, enfants y laissèrent leur chair voire leur vie. Puis encore un autre, tout aussi isolé. Hélas pour les tenants de la ligne munichoise, les cas isolés devinrent si fréquents qu'il devint de moins en moins simple d'endormir le bon peuple en camouflant l'ennemi derrière de belles paroles.

Il fallut trouver autre chose pour exonérer l'Islam de toute responsabilité dans ces attentats à l'horreur en hausse constante. On inventa alors le déséquilibre mental. Non, le fait de répandre le malheur et le deuil au nom d'Allah ne relevait plus d'une conception djihadiste de l'Islam mais bien d'un cerveau embrumé, ce dont bien évidemment aucune idéologie ne saurait être tenue pour responsable. C'est ainsi qu'au fil des attentats, on apprit régulièrement que la police penchait pour l'acte d'un déséquilibré.

C'est devenu maintenant une habitude. Auparavant, les autorités judiciaires et politiques se consacraient avec un zèle rafraichissant à prouver que blessés et morts devaient leur funeste sort à tout sauf à l'Etat islamique. Aujourd'hui, c'est dans les antécédents psychiatriques que furètent les enquêteurs, chassant les plus infimes traces de la moindre pathologie éventuelle. La pirouette aurait pu marcher si, comme pour les actes isolés, la série n'avait fini par devenir un peu longue pour continuer à faire illusion. Nous sommes ainsi passés du lien entre islam et terrorisme à islam et maladie psychiatrique. Sans l'avoir voulu, les promoteurs du moyen-âge ont mis le doigt sur un élément qui commençait à apparaitre, à savoir le grand nombre de migrants nécessitant des soins spécialisés dans ce domaine. Le phénomène est tel qu'en Suisse, le nombre de psychiatres est très largement insuffisant pour gérer l'arrivée de ces dizaines de millier de jeunes gens qui ne sont donc plus djihadistes mais mal portants du cerveau, sans préjudice d'autres maladies que nous redécouvrons après les avoir éradiquées depuis bien longtemps pour certaines.

Désormais, le discours change une nouvelle fois. Il convient en effet toutes affaires cessantes de veiller à ce que ce nouvel amalgame ne fasse son chemin dans les esprits. Du coup, les migrants ayant choisi de semer la désolation chez nous sont simplement des êtres traumatisés par les horreurs de la guerre, la fuite et l'accueil à tout le moins hostile de leur pays d'accueil. Ce parcours standard fait de ces personnes des bombes en puissance que nous pourrions désamorcer en leur consacrant plus d'argent. Les faits sont hélas têtus, cette nouvelle explication ne tient pas mieux que les autres. En effet, nombre d'auteurs résidaient depuis fort longtemps voire étaient nés dans le pays où ils ont frappé. D'autres, trop nombreux, nous arrivent de pays qui ne sont pas en conflit, juste attirés par la richesse qui leur est généreusement distribuée.

Malgré les tentatives de plus en plus désespérées du politiquement correct pour masquer la réalité, celle-ci commence sérieusement à apparaître derrière le rideau de fumée. La constante de tous ces attentats, c'est que les auteurs étaient disciples d'Allah. Certes, comme on l'entend fréquemment, tous les musulmans ne sont pas terroristes mais tous les terroristes sont musulmans et s'en flattent.

Il faudra hélas encore bien des morts et blessés pour que le monde politique finisse par nommer le véritable ennemi et peut-être par le combattre. En attendant, les bonnes âmes continueront à travestir les faits, forts des mots de Mark Twain : "La vérité est la chose la plus précieuse que nous avons. Economisons-la".

Céline Amaudruz, 4 août 2016

13 commentaires

  1. Posté par Belome Luis le

    Je pense qu’il y a une partie de vrai ,pas mal de musulmans ont des problèmes psychologiques ,il suffit de s’intéresser à la consanguinité (mariage entre cousins) qui fait des ravages sur le génome humain depuis 1400 ans dans les pays arabes. Là il faudrait vraiment s’en inquiéter ,les musulmans eux-mêmes ne savent pas comment s’en sortir tradition -religion oblige à ne pas se mélanger aux autres.

  2. Posté par Nicolas le

    « C’est ainsi qu’au fil des attentats, on apprit régulièrement que la police penchait pour l’acte d’un déséquilibré. »
    Qu’à cela ne tienne, pour rééquilibrer un déséquilibré il faut le lester avec du plomb. Le plomb, symbole Pb, n° atomique 82, est un élément abondant partout autour du globe et donc peu onéreux. Le traitement est mal supporté par les organismes sains mais convient parfaitement aux malades. Peu d’effets indésirables mais beaucoup d’effet sur les indésirables. L’administration parentérale est recommandée. Malgré sa disponibilité et son faible coût, l’autorité de surveillance ne le réserve qu’aux cas d’une extrême gravité. Pour les cas moins sévères elle recommande divers placebos. Attitude irresponsable car il a été démontré que les cas bénins peuvent s’aggraver rapidement, et contaminer une sous-population de plus en plus nombreuse, dont le port du voile ou de la barbe ne prévient pas la contagion et semble même l’accélérer.
    Lors, puisqu’il n’est pas admis aux caisses publiques, il convient d’administrer le traitement sous le couvert d’une assurance privée. Le résultat est garanti infaillible, même pour un praticien peu expérimenté. A telle enseigne que dans certains pays, des études prospectives sont menées en vue de son application préventive dans le cadre du principe de précaution.

  3. Posté par Franz le

    Islam fondamentalement criminel, historiquement.

  4. Posté par observateur le

    Mon Témoignage après avoir passé une partie de ma vie dans des pays Arabo-musulmans, ce qui sous entend que je connais ces sociétés archaiques, retardées beaucoup mieux que nos politiques et la plupart des journalistes.
    L’islam est la religion malade pour ne pas avoir été réformée et se prétend non seulement spirituel mais aussi politique, juridique, civilisationnel et mode de vie. C’est la le problème… L’observation et l’expérience montrent clairement que là où l’islam arrive, il est fidèle à lui même…il enfante les mêmes symptômes et les mêmes maladies . C’est comme un « pack » : ghetto ethnique d’immigrants fuyants leurs pays Arabo-Africano-musulmans …et chose curieuse , ils reproduisent chez nous les maladies qu’ils ont pourtant fuit : mosquées, foulards, burqas, école coranique, ramadan, halal, mariages forcés, rejet de notre mode de vie, identité islamique , marginalisation etc…tout cela fait partie d’un même « pack » qui demande une incubation de 10 à 15 ans dans le pays d’accueil avant que quelques fous d’Allah fassent enfin parler d’eux dans la surprise générale .
    Nos fossoyeurs immigrationistes, mondialistes, multiculturalistes etc…ont tout essayé pour désinformer les peuples Européens …islam religion de paix et d’amour, ça n’a rien à avoir avec l’Islam, pas d’amalgame et la dernière trouvaille le psychopate, l’irresponsable…quand un individu prend la décision de tuer suivant le mode d’emploi de l’EI, achète un couteau, une hache ou un arme à feu, prépare son crime pour faire le maximum de dégats et passe à l’action en hurlant « Allah ou Akbar », on ne peut pas dire qu’il soit fou car un fou est désordonné, incapable de planifier, cacher , organiser etc…
    Nous avons perdu 30 ans et les musulmans aussi. Il est temps de regarder la réalité. Il est temps pour les musulmans de pratiquer leur religion en osant regarder et se déssolidariser des versets coraniques dans lesquels les fous d’Allah y trouvent la légitimité à leurs actes barbare .
    Il est temps aussi pour les musulmans de ne pas exposer et imposer leur religion dans tout l’espace public. L’humilité et la discrétion sont les mamelles de l’intelligence…nous n’avons ni à voir , ni à savoir qui est musulman dans la rue. Nous vivons ensemble et le meilleur chemin est d’être citoyen du pays où nous vivons et de grace, quand vous sortez , laisser chez vous foulards, djellaba, barbe , sérouel etc…c’est vraiment le seul moyen de respecter le vivre ensemble.

  5. Posté par Anti-destabilisation le

    Bâtir des murs en béton et des rideaux de fer aux frontières externes de l’UE. Ne plus secourir les bateaux en mer et refouler ceux qui arrivent! Voilà le prix à payer pour se débarrasser des nuisibles!

  6. Posté par It's only rock'n roll le

    Un des 5 piliers de l’islam, c’est l’aide au pauvres. Comme le croyant qui pleurait en donnant ses sacs de couchage aux démunis, avant bien sûr d’égorger un prêtre. Oui mais il était à moitié converti, me direz-vous, c’était pas un vrai, bref, il était radicalisé. Entre sunnites et chiites, y’a pas photo, et pourtant la plupart ne sont pas radicalisés. Va savoir comment ils s’organisent (pour les attentats).

  7. Posté par Christian Hofer le

    Notez un élément supplémentaire:

    L’un des arguments (immonde) de la gauche pour nous faire accepter ces immigrations était la… consanguinité européenne. Cela sous-entendait des maladies mentales graves chez les Européens, « se reproduisant entre eux ». Tout était inversé puisque l’on sait que c’est au Maghreb et dans certains pays africains/musulmans que la consanguinité est la plus forte.

    Or que voit-on aujourd’hui? Que ces gens qui étaient censés nous prémunir de telles maladies sont en vérité souvent cinglés (1 personne sur 3 en provenance du Moyen-Orient).

    Mais pire, la propagande multiculturelle arrive à se contredire elle-même puisque cette immigration causera de graves problèmes à l’Europe sur le plan psychiatrique au lieu de nous sauver d’une consanguinité imaginaire. Tout n’est donc que mensonges avec la gauche. Et j’espère que ces gens auront à répondre de leurs crimes un jour!

  8. Posté par Chalut Hélène le

    On connait depuis longtemps cet enfumage de la réalité comme quand on nous dit que l’islam est une religion démocratique… Pour les femmes? Sûrement pas.

  9. Posté par Aubry Liliane le

    Merci Madame. Rien à ajouter, rien à retrancher, bien dit.

  10. Posté par aline le

    Merci Mme Amaudruz, vous mettez les points sur les i. Les lecteurs de l’Observateur sont des privilégiés et j’espère que de plus en plus de personnes vont consulter ce site de ré-information.

  11. Posté par S. Dumont le

    Si les politiques refusent les amalgames tout en nous traitant de xénophobes, la population n’est pas dupe et a bien compris que ce terrorisme vient de l’islam. J’espère qu’un jour, la justice entrera en action face à des élus devenus des collabos!

  12. Posté par Alain le

    Merci Mme Amaudruz vous soulignez des questions importantes sur l’islam; le vrai coupable jamais nommé par nos élites politiques, les églises officielles, etc …. Cette religion continue à être considérée comme religion de paix, d’amour, de tolérance.

  13. Posté par Christian Guislain le

    C’est la dernière méthode : Ils sont tous des cas psychiatriques. … A tel point que Guimauve le Conquérant vient de déclarer : le problème est que nous manquons de psychiatres et pédo-psychiatres…! Je suis bien de son avis mais pour soigner nos dirigeants, ça c’est certain!

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