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Une autre femme musulmane , Zoubeïda Bittari, née à Alger en 1939, victime de la « tradition familiale-islamique » , mariée à 12 ans , a également porté témoignage des dures conditions de vie d’une femme. Son ouvrage « O mes soeurs musulmanes, pleurez » est parut en 1964. Elle y raconte sa vie d’esclave battue, claustrée, d’objet . Pour échapper à cette vie de souffrances, elle aussi a fui et s’est tournée vers la civilisation occidentale française.
Nos collabos de politiques nous livrent, depuis plus de 40 ans à leurs grands amis musulmans. Pour faciliter la phagocytose de l’occident par l’islam, ils ont détruit les racines de la Nation en réécrivant son histoire, en détruisant l’école pour mieux formater les nationaux à leur futur état d’esclave. Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas ce qu’est la secte islamique.
Quel courage, et quelle clairvoyance !
Sans l’ideologie communiste, pas de crime contre l’humanité, ( Staline, Mao, etc.)
Sans l’iodéologie Nazi, pas d’extermination de masse.
Sans l’idéologie islamique (pas islamiste), il n’y aurait pas de crimes et de massacres légitimés par les versets coranique.
Pourtant Abdelwahab Meddeb, un des plus grands connaisseurs de la religion et civilisation arabo-Musulmane, fils et petit fils d’imam Tunisien qui vient de nous quitter a écrit plusieurs ouvrages dont » la maladie de l’Islam » et » comment sortir de la malédiction « … sans aucune fatwa, ni protestation des musulmans car ils savent qu’il a raison.
Comme dit aussi Onfray et tant d’intellectuels musulmans au risque de leur vies : c’est l’islam qui est le problème. Les intellectuels arabo-musulmans disent que c’est un cancer pour tous les pays arabes.
La raison est simple : personne n’a le pouvoir et l’autorité pour supprimer tous les versets coranique contraire à la liberté de choix et de conscience, aux droits de l’homme, à la peine de mort par l’execution, l’égorgement, la lapidation, l’amputation, l’apostasie (tuer celui qui critique ou qui quitte la religion musulmans) etc. ?