Suisse: Paris refuse de livrer les informations sur les antécédents judiciaires des frontaliers

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Depuis peu, la France refuserait de livrer des informations sur les antécédents judiciaires de frontaliers appelés à travailler sur des sites sensibles, comme Cointrin.

Deux cents résidents Français ont été récemment embauchés pour travailler sur la plateforme de Genève Aéroport. Mais ils ne peuvent pas prendre leurs fonctions. Le problème: alors que leurs tâches imposent de pouvoir accéder à des zones sensibles de Cointrin et que les autorités du bout du lac veulent donc s’assurer de leur probité, Paris refuse de livrer les informations sur leurs antécédents judiciaires, annonce la «Tribune de Genève».

8 commentaires

  1. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Aujourd’hui en France, tout le monde il est gentil (surtout s’il est musulman), et surtout, tout le monde il est Français.
    Rien que le fait que cette question d’antécedents judiciaires se pose, peut déja nous apprendre beaucoup sur l’origine de ces « francais » qui sont choisis pour remplacer les suisses dans les postes sensibles à l’aéroport…
    On croit rêver!
    Et tout ca pour économiser quelques centaines de francs par mois?
    Déjà que dans la ville de Voltaire il n’y a que des boucheries hallal et des voilées partout, il faut maintenant encore les engager dans les postes sensibles chez nous? et quoi encore?

  2. Posté par sophie edouard le

    On pourrait croire que les dirigeants suisses, suite à ce refus divulgué à la population, allaient enfin s’acheter une paire de couilles et allaientt sévir et même profiter d’inverser le nombre de frontaliers travaillant à Genève 82’000 fin 2015 ! Mais oh stupeur, on se rend compte qu’on nous a divulgué cette information juste pour nous dire que si un attentat avait lieu finalement cela ne serait pas de la faute de nos dirigeants mais de la France… rien ne change, la manipulation continue effrontément et, le pire, c’est que ça marche encore et toujours…

  3. Posté par Stephane Montabert le

    Et le magnifique Maudet qui annonce à la RTS que la France aura un problème d’image si ces gens commettent ensuite des attentats en Suisse…

    L’attentat éventuel ne semble pas lui poser de problème. Et le principe de précaution qui voudrait qu’en pareil cas on n’embauche pas des frontaliers, il n’y a évidemment pas pensé. Bien petit ce Maudet.

  4. Posté par anjufre le

    Et donc ne permettons plus que des gens dont on ne connait pas les antécédents entrent en Suisse.
    Renvoyons donc tous ces frontaliers français parmi lesquels se cachent des assassins futurs de nos compatriotes et des étrangers bien intégrés.

  5. Posté par Derek Doppler le

    C’est étonnant. Étant donné que l’Afrance est à l’occident ce que Genève est à la Suisse, on s’attendrait à une radieuse et efficace collaboration.

  6. Posté par JeanDa le

    Il ne reste donc qu’une seule solution : les renvoyer !

  7. Posté par Daniel le

    Et employer des Suisses, les entreprises y pensent? Ah oui, chuuut!

  8. Posté par Geronimo le

    Apparemment paris ne supporte plus rien de ce qui va à l’encontre des intérêts islamistes. Surtout n’y voyez aucune accointance. Et si Simonetta s’empare du problème, tout va rentrer dans l’ordre très rapidement. Ne serait-ce pas un job idéal pour ses migrants?

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