Plus la pression est forte sur le territoire de l'EI, plus il va lancer d'attaques à l'extérieur, selon le directeur du renseignement interne américain.
Extrait de: Source et auteur
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Alors, si l’on suit bien ces graves messieurs « sachants » (mais petits sachems !), il vaudrait mieux se prémunir en laissant la crapule islamique se tailler définitivement un califat aux dépens de l’Irak et (surtout !) de la Syrie ? S’imaginent-ils que la guerre infâme menée par les salafistes de « l’état » islamique ne vise qu’à se procurer un territoire et qu’ensuite tout redeviendrait calme ? Pauvres « sachants » ! Ils n’arrivent même pas à tirer parti du coran, de la sunna, pour comprendre que l’offensive musulmane commencée au temps de l’hypothétique « prophète » vise la domination de la Terre entière ? Sont-ils assez stupides pour ne pas comprendre qu’un califat puissant serait une base arrière et une source de financement pour le pire djihad planétaire ?
En fait, je ne pense pas qu’ils soient niais à ce point. Leurs déclarations, visiblement, sont des leurres. Elles cachent des visées stratégiques sans doute inavouables menaçant le conglomérat ouest-européen et la Russie, tout autant que le Moyen-Orient. En d’autres termes, il y a gros à parier qu’un califat salafiste solidement établi servirait volens nolens leurs desseins, ou plus exactement ceux des monopoles de Wall-Street.
Dans cette hypothèse, les États-Unis d’Obama et Clinton chercheraient pas avance à justifier leur désengagement du conflit, en apparence pour ne pas jeter d’huile sur le feu terroriste (là est l’hypocrisie), en réalité pour accomplir leur projet secret.