2 commentaires

  1. Posté par Yolande C.H. le

    C’est en raison d’un cadre solide que la liberté a pu se déployer. Un cadre fortement intériorisé et nécessairement lié à un territoire, puisqu’il faut bien une législation: l’organisation politique suisse et sa législation s n’a pas de validité en dehors de son territoire. Malheureusement, cette liberté a pris une ampleur telle qu’elle écrase et fait éclater le cadre qui lui a donné naissance. Au nom de la liberté, on abat la structure; et on s’étonne que la maison s’effondre? Sur les débris, d’autres murs porteurs s’édifient et imposent ou dictent leurs lois. Pour l’instant. ces systèmes profitent encore de l’état de droit, une réussite bien plus extraordinaire que celle de marcher sur la lune ou de faire atterrir un module sur Mars. Aujourd’hui, l’état de droit est perçu comme un récipient servant à distribuer des droits. Mais voilà: « Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse ».

  2. Posté par Yolande C.H. le

    Quand il faut déployer sur le territoire les forces de l’ordre, développer les services de renseignements, faire appel à l’armée et constituer une réserve nationale, fouiller les sacs des vacanciers sur les plages, à l’entrée des lieux de cultes, cela signifie que « les valeurs de la France » ne sont plus portées par l’ensemble des résidents, ni même de l’ensemble des « nationaux ». C’est ainsi que l’on peut comprendre que la France n’est plus la France, parce que la fracture est évidente: on ne peut servir deux maîtres dans la gestion d’un territoire.

    J.C. a dit:rendez à Dieu ce qui est à Dieu (spirituel), à César ce qui est à César (état). La charia ne fait pas cette distinction. Le Pape actuel et autres « autorités religieuses » sèment la confusion la division en se mêlant de politique.

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