Toronto, Montréal, Vancouver, London, Windsor et Calgary s’engagent à censurer la critique de l’Islam et des musulmans. Ils ont signé simultanément lundi, 4 juillet 2016, la Charte pour des communautés inclusives et pour condamner l’islamophobie.
Cette initiative répond à un appel lancé par le Conseil national des musulmans canadiens (National Council of Canadian Muslims – NCCM) qui dénonce une augmentation du « nombre d’actes islamophobes au pays. »
La Confrérie islamiste des Frères musulmans prétend que « les incidents à caractère haineux visant les Canadiens musulmans sont en croissance non seulement en nombre, mais aussi en intensité surtout contre les jeunes femmes musulmanes».
En signant la Charte, ces municipalités s’engagent envers les communautés musulmanes afin de mettre en place des politiques, des programmes et des initiatives qui visent à réduire et interdire l’islamophobie sous toutes ses formes.
Cette nouvelle disposition permettrait à des personnes musulmanes qui se disent victimes de déposer des plaintes, et éventuellement de recevoir des compensations, le cas échéant.
Bonne question JDV… Je n’a rien trouvé de récent sur le net… curieux… Ceci dit le débat fait effectivement rage au Canada depuis des années. On le voit par exemple ici: http://www.journaldemontreal.com/2015/08/24/un-tribunal–de-la-censure
Une grosse question: qui a signé cette « charte » ? Aucun nom ne figure, aucune autorité municipale n’y figure, aucun texte officiel. Aucun media canadien n’en parle, ni au Québec ni en Ontario. Curieux tout de même ! Isn’t it ?
l’islam et ses populations, si pratique, comme une armée invisible au service de la mondialisation et de ses apôtres…….
Hallucinant de bêtise et de lâcheté. La critique de ces croyances moyenâgeuses incompatibles avec la démocratie est une condition essentielle de la survie des sociétés civilisées.
Génial, les disciples vont pouvoir incriminer à tort et à travers pour se faire du blé. Pour autant que l’on sache les amérindiens, et plus particulièrement les Inuits traités de faces de terre cuite, n’ont jamais bénéficié de telles faveurs de la part du gouvernement fédéral. […]
Avant de dénoncer une augmentation du nombre d’actes islamophobes, il faudrait plutôt se poser la question « pourquoi ».