France : affrontements violents entre « réfugiés » à Paris

Arbres arrachés, traces de sang recouvertes de sable… Ce samedi, au lendemain d’une rixe particulièrement violente survenue dans la nuit, sur le camp qui réunit quelques 350 réfugiés sur l’esplanade Nathalie-Sarraute (XVIIIe), les riverains ont le tournis.

Il était un peu plus de 23 heures, vendredi, lorsque des dizaines d’hommes armés de branches et de barres de fer se sont affrontés. Un véritable déluge de coups, ponctué de hurlements, qui a mis en émoi le quartier Pajol, confronté depuis neuf jours à la nouvelle installation sauvage d’un campement où se sont regroupés Soudanais, Erythréens et Afghans.

« C’était effrayant, confie un riverain. Les groupes se sont poursuivis jusqu’à l’un des restaurants de la halle Pajol dont la terrasse était bondée. Les gens ont dû se réfugier dans l’établissement. L’émeute n’a cessé qu’à l’arrivée de la police qui a dû user de lacrymogènes ».

Déjà théâtre de l’installation d’un camp l’été dernier, l’esplanade, avec ses commerce et sa médiathèque – fermée depuis une semaine -, vit de plus en plus mal la situation. Et les tensions entre réfugiés afghans et soudanais pour le contrôle du campement seraient de plus en plus vives. « Qu’attendent les pouvoirs publics pour mettre ces personnes à l’abri ? s’inquiète un couple de riverains de la rue Pajol. Qu’il y ait un mort ? »

Source

6 commentaires

  1. Posté par Tommy le

    Mais qu’on m’explique une fois pour toutes en quoi je dois considérer mon existence comme étant enrichie au quotidien par la présence de cette populace!
    Je passe comme chat sur braise sur l’origine géographique et religieuse des protagonistes de cette rixe, de crainte de me voir taxé de raciste, de rétrograde ou de néo-nazi!

  2. Posté par Hérodote le

    Qui peut encore croire que ces clandestins sont des réfugiés de zones de conflit? Ils importent toutes leurs pathologies dans nos pays – en particulier la violence – contre notre volonté, à nos dépens, à notre détriment et pour notre malheur.

  3. Posté par Vincent Rossignol le

    Ne pas parler de Réfugiés, ils n’ont peut-être pas la carte d’identité spécifique aux réfugiés. mais il est vrai que cela est plus politiquement correct que de dire « clandestins » ou étrangers originaires de tel ou tel pays !!! On ne peut plus accueillir tous les peuples qui fuient leurs pays, si c’est pour les laisser vivre dans la rue, autant donner de l’argent pour déjà sortir nos SDF de la rue avant de l’occuper des étrangers.

  4. Posté par Marylin le

    Du moment qu’ils se battent ou se tuent entre eux, mon sommeil est épargné d’une nuit…..

  5. Posté par Anne Lauwaert le

    Mettre ces personnes à l’abri ou mettre la population à l’abri?

  6. Posté par Alain le

    Merci le vivre ensemble !!!

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.