Samedi, le premier Mister Puppy Suisse sera désigné à la Gay Pride de Fribourg. Une pratique qui explose en Suisse et en Europe, selon les organisateurs du concours.
«Je suis son propriétaire depuis cinq mois, je dois le protéger et prendre soin de lui. En échange, lui doit m’obéir», explique Sacha, tout en précisant que le jeu ne dure que tant que Farex porte son masque. Le reste du temps, ils se comportent comme un couple normal.
Source
Une nouvelle pub pour Royal Canin??
C’est ridicule de faire la promo de ces pratiques, qui plus est dans un torchon à forte diffusion comme ce journal. MAIS… Il s’agit de pratiques jeux de rôles entre 2 (…) personnes majeures, capables de discernement (j’espère) et consentantes, dans un cadre privé. Partant de là je m’en fiche, j’en ris… Il faut bien reconnaitre qu’ils ont l’air ridicules pour qui n’est pas dans ce trip, mais c’est leurs oignons, non?
dommage pour les canadiens en cas de doute sur leur état mental ils peuvent toujours faire appel au PCL-R test du Dr Robert Hare un compatriote pas zoophile d’après ce que je sais …
http://www.hare.org/
le progrès ? trop robosorisé pour être vrai !
Milou ! a ta place tu nous fais honte avec tes manies, et Rintintin tu peux pas la fermer deux minutes !
à côté tu mets la FSSPX, soit comme dit dans un article, les suiveurs de Mgr Lefèvre qui vieillent sur ce troupeau en priant et le tableau est parfait! ils profitent aussi de la pub de la gay pride pour officialiser leur statut de communauté rejetée et difficilement acceptée, malins les lefébristes ils ont appris à surfer sur la vague c’est à la mode aujourd’hui……
bravo Ò Matin ! c’est la top classe !
La décadence de notre société est largement en marche. Ces tarés devraient être bouclés dans un zoo ou un chenil…
La montée de la perver-cité.
Qui a visionné le JT de TV Liberté d’hier, 24.06.2016?
J’ai appris qu’au Canada, la zoophilie est acceptée de fait. J’ai voulu en avoir le cœur net!
http://www.slate.fr/story/119295/cour-supreme-canadienne-zoophilie
C’est abject et le mot est faible.
J’ai toujours plaidé auprès de mes collègues pour que l’on considère ces personnes comme atteintes d’une pathologie grave. Je maintiens mon diagnostic.