Dimanche 5 juin, les Suisses sont invités à voter l’introduction dans la constitution fédérale du principe d’un revenu de base inconditionnel (RBI) qui « doit permettre à l’ensemble de la population de mener une existence digne et de participer à la vie publique ». La loi en fixerait les modalités mais d’ores et déjà, les initiateurs du […]
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Notre Patrie a parfois du bon. Demandez aux Suisses de voter pour plus de vacances, pour moins d’impôts ou un abaissement de l’horaire de travail, ils vous diront non. Il ne fait aucun doute que la stupidité du revenu minimum garanti passera à la trappe. En revanche, les gauchistes, Stalinova Pipirruga en tête, font des ravages. Nous gardons les criminels étrangers chez nous et procurerons des avocats, à tous les clandestins afin qu’ils nous envahissent pour piller nos assurances sociales et dépouiller le peuple.
Merci Vautrin pour cette belle analyse !
Cette initiative a été fomentée par des jean-foutre qui sont déjà à l’aide sociale, qui ont donc le temps de commettre pareille proposition, avançant des chiffres erronés, et de recueillir les signatures de 100 000 citoyens actifs dans un délai de 18 mois pour que cette initiative aboutisse à une votation populaire. Ces feignants se réjouissent de toucher encore plus pour vivre à leur guise sans se secouer, aux dépens de ceux qui devront continuer de travailler pour payer les impôts servant à financer ces fainéants…
C’est une affaire propre à la Suisse, cela ne me regarde pas en tant qu’étranger. Je ne parlerai donc que du principe, qui me paraît parfaitement saugrenu. Je vis dans un pays, la France, ruiné par ce que l’on appelle « le social », système de spoliation fiscale alimentant un reversement de prébendes à des assistés. Les conséquences sont évidentes : les entreprises et les citoyens croulent sous les charges et les impôts ; les faillites se multiplient, entraînant le chômage -qui ne diminue en rien, quoi qu’en dise Hollande. Quant aux prébendiers, ils ne voient pas pourquoi ils feraient un effort pour travailler, puisque les alouettes leur tombent toute rôties dans la main. Le mal engendre le mal. Allons plus loin : la spoliation fiscale est une atteinte à la propriété, puisqu’une partie considérable de ce que peut gagner un citoyen est confisquée par l’État. Quant à l’assisté, il est placé en position infantile, déclaré à jamais incapable d’autonomie : on en fait un sous-homme. Le simple bon-sens économique et la morale condamnent donc de telles pratiques.