En Pologne où je séjourne actuellement, de plus en plus de monde s’en rend compte.
Plusieurs appellent à un renforcement du groupe de Visegrãd pour lui résister.
Je dirais même plus, c’est une dictature ! Appelons les choses par leur nom !
@Yolande
Bravo pour la clarté et la pertinence de vos propos 😉
Les états de droit fonctionnant sur le modèle démocratique n’ont pu voir le jour qu’au travers d’une union nationale solide, dont le processus est fortement lié à la culture de chaque pays (la culture ne se cantonnant pas à la production artistique): une réussite remarquable solidarisant des millions de citoyens entre eux (capital de confiance élevé) pour l’intérêt de la communauté et de la gestion du territoire. Veulent en recevoir les bénéfices tous ceux qui chez eux n’ont pas mis en place un tel contrat de confiance fondant la citoyenneté.
Aujourd’hui, dans cette « maison » (l’état de droit), construite au travers de siècles d’histoire, les « murs porteurs » (l’union nationale à laquelle tous les gouvernements font appel), sont démolis à la faveur de la multiplication de « parois amovibles » ( les hors-sol, les opportunistes de carrière, ceux qui se nomment « citoyens du monde » d’un état inexistant et par ailleurs truffé de guerres et de conflits ). La consolidation des états en Europe qui assurait une bonne sécurité de base s’érode à grande vitesse: formations de nouvelles entités qui s’auto-légitiment, remettant en cause de ce fait la légitimité de la nation sur laquelle repose l’état de droit. Cette légitimité est profondément bafouée par, entre autres, la production sans scrupules de faux documents, de fausses déclarations, de faux papiers, ceci uniquement pour « être légitimé » et avoir accès aux droits: où peut s’inscrire la confiance dans un tel chaos?
En Pologne où je séjourne actuellement, de plus en plus de monde s’en rend compte.
Plusieurs appellent à un renforcement du groupe de Visegrãd pour lui résister.
Je dirais même plus, c’est une dictature ! Appelons les choses par leur nom !
@Yolande
Bravo pour la clarté et la pertinence de vos propos 😉
Les états de droit fonctionnant sur le modèle démocratique n’ont pu voir le jour qu’au travers d’une union nationale solide, dont le processus est fortement lié à la culture de chaque pays (la culture ne se cantonnant pas à la production artistique): une réussite remarquable solidarisant des millions de citoyens entre eux (capital de confiance élevé) pour l’intérêt de la communauté et de la gestion du territoire. Veulent en recevoir les bénéfices tous ceux qui chez eux n’ont pas mis en place un tel contrat de confiance fondant la citoyenneté.
Aujourd’hui, dans cette « maison » (l’état de droit), construite au travers de siècles d’histoire, les « murs porteurs » (l’union nationale à laquelle tous les gouvernements font appel), sont démolis à la faveur de la multiplication de « parois amovibles » ( les hors-sol, les opportunistes de carrière, ceux qui se nomment « citoyens du monde » d’un état inexistant et par ailleurs truffé de guerres et de conflits ). La consolidation des états en Europe qui assurait une bonne sécurité de base s’érode à grande vitesse: formations de nouvelles entités qui s’auto-légitiment, remettant en cause de ce fait la légitimité de la nation sur laquelle repose l’état de droit. Cette légitimité est profondément bafouée par, entre autres, la production sans scrupules de faux documents, de fausses déclarations, de faux papiers, ceci uniquement pour « être légitimé » et avoir accès aux droits: où peut s’inscrire la confiance dans un tel chaos?