Christian Hofer: Pendant ce temps, nos jeunes doivent compter chaque sou pour s'en sortir... bien joué les gauchistes. Plus discriminatoire, cela n'existe pas!
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Des repas gratuits pour les migrants sont proposés dans un food truck garé tous les soirs depuis mi-avril devant un foyer genevois.
Tous les soirs, depuis un mois, un food truck propose des repas gratuits pour les migrants adolescents du foyer de l'Etoile, dans le quartier genevois des Acacias. De 18h15 à 20h30, des spécialités culinaires des pays des requérants d'asile sont servies par l'association de lutte contre le handicap No Difference.
Et ça marche! L’engouement aidant, le food truck a rapidement été victime de son succès, avec quelque 230 plats servis quotidiennement. Quelle nourriture, d’ailleurs? «Des lipides, des hydrates de carbone, des protéines…», liste Claudio Alessi, qui endosse presque le rôle de diététicien pour le coup! Aurélie, l’une des deux cuisinières, se veut plus illustrative: «Le menu change chaque jour, suivant nos inspirations. Cela va du banjan boorani, une spécialité afghane à base d’aubergines, d’épices et de tomates, au poulet indien, par exemple. On essaie d’honorer les traditions culinaires des nationalités représentées.»
Et maintenant? Prévue pour durer jusqu’à la fin du mois de juin, l’opération va notamment accueillir des animations autour de la coupe d’Europe de football. Ensuite, «qui pourrait prendre la relève?» s’interroge Claudio Alessi. Pour l’instant, personne. Mais, «nous continuerons à chercher à développer ce genre de programme visant la prise de conscience de l’importance de se nourrir de manière équilibrée. C’est aussi un moyen qui permet de favoriser l’autonomie des jeunes dans ce domaine essentiel quelle que soit l’issue de leur procédure d’asile», souligne pour sa part Corinne Chuit, la responsable du foyer de l’Etoile.
» Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front »
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Et tu montreras d’abord ce que tu vaux…
avant qu’on accepte
d’envisager
de commencer
à éventuellement
te faire confiance.
Chacun de nous doit faire ses preuves. Chacun de nous doit mériter sa place.
Rien n’est gratuit dans la vie, c’est donnant-donnant, il y a toujours un prix à payer.
Pourquoi est-ce que cela vaut pour nous et pas pour les autres ? ? ?
@Lulu :
La pauvreté, oui, elle nous gangrène tous peu à peu, insidieusement…
Vu ce qu’on raque quand on a encore la chance d’avoir un boulot (cotisations pour une caisse de pension dont on ne verra plus la couleur quand les caisses seront vides, impôts qui nous laissent juste de quoi couvrir les factures courantes, assurances-maladie obligatoires mais qui freinent de plus en plus quand il s’agit de rembourser les frais de santé, soins dentaires impayables)…
Et vu le désert financier, medical et social que traversent les chômeurs, les familles monoparentales, les vieux, les jeunes qui rament pour trouver un job, et tous ceux qui ont besoin de l’aide sociale, mais qui parfois ne la recoivent même pas…
On est de plus en plus à jongler avec nos fins de mois, à se demander comment on va payer nos factures, à différer à l’infini des soins dentaires pourtant nécessaires, à se priver de tout pour arriver à joindre les deux bouts…
On va tous devenir encore plus pauvres…
C’EST MATHEMATIQUE.
On va vivre une descente aux enfers programmée pendant les 10 prochaines années.
Europe et Suisse comprise…
Seule la terre pourra encore assurer notre survie…
« Growing your own food is like printing your own money »
(Ron Finley, the « gangsta » gardener)
C’est justement un exemple de ce que Chesterton a appelé « des idées chrétiennes devenues folles »
Hé, Claudio et Corinne : N’oubliez pas qu’il y a bientôt le ramadan (vous savez, c’est cette période d’autodiscipline totale : on ne mange rien, mais strictement rien toute la journée, mais la nuit, alors là, on s’empiffre…) Ce sera pendant la fête du foot ! Alors pas une miette, pas une goutte avant la nuit tombée !! Bon, les non-musulmans qui ont faim, vous pouvez quand même leur donner à manger… de préférence pas devant le nez des autres – il paraît que cela peut exciter certains et les conduire à des rencontres un peu moins amicales… La police risquera de vous rendre visite…
A moins que – par charité, bien entendu – vous ayez l’intention de faciliter leur vraie intégration chez nous et que arriviez à libérer un peu, à dévergonder (hm) un peu la jeunesse barbue, juste un peu… ? Au risque de voir un autre policier, Hani Ramadan, vous faire une petite visite…
Ben moi, qui est un pauvre Suisse de ce qui reste de Suisse à Genève, qui mange des pâtes presque sans rien d’autres, tellement je suis pauvre, aussi souvent qu’il y a de jour dans la semaine. Je vais aller voir là-bas si on me permet de manger aussi gratos.
Côté intégration, je trouve que les autochtones s’assimilent très bien à la masse envahisseuse. La dhimmitude se répand de jour en jour et l’Europe entière se soumettra d’ici peu à la Secte. À moins d’une guerre civile et cultuelle, l’Europe (la Suisse avec) va connaitre les joies du « crever-ensemble ». J’invite les résistants à mener, dès les 6-7 juin, une vie porcine, voire délicieusement cochonne, en guise d’insoumission à cette secte délétère qui s’installe avec la complicité de nos gouvernants christianophobes et la bénédiction de notre antipape François Zéro.
Des petits malins viennent de trouver un nouveau créneau, j’imagine qu’ils ont déjà contacté l’Etat pour le versement de subventions, et ils développent à fonds leur commerce… animations autour de la coupe de football… et tant mieux s’ils mangent équilibré, j’espère juste que c’est le cas de tous les suisses âgés par exemple, ceux qui ont bossé et payé toute leur vie des tonnes d’impôts et qui se retrouvent avec peu pour survivre….
Par contre…. favoriser l’autonomie de ces jeunes.. là je comprends moins, s’ils devaient se faire leur repas eux-mêmes, comme beaucoup de jeunes suisses, oui, mais les servir…. les distraire pendant qu’ils digèrent … les habitue-t-on à être servis toute leur vie ? Et toute leur vie, faudra leur servir des plats de leur pays ? Ne cherche-t-on pas à les intégrer, c’est-à-dire à manger les plats d’ici ? Si la nourriture d’ici ne leur convient pas, que viennent-ils faire ici ?
Si cette association est sponsorisée par des dons privés, ok.
Par contre, si c’est le contribuable qui doit bourse délier pour s’agenouiller encore davantage devant ces intrus, et je reste poli ( tiquement correct), alors là , non!
C’est comme si j’étais emprisonné au Maroc ou en Syrie et que j’exige qu’on me serve:
Le lundi, une fondue.
Le mardi, du papet aux poreaux.
Le mercredi, une raclette.
Le jeudi, des roestis.
Le vendredi , etc..
On me traiterait de fou furieux, alors que nous, on devance les revendications de ces bronzés!
» Voyez, en Suisse, on n’est pas racistes, pas du tout, on vous donne ce que vous n’avez pas encore exigé! »
Et cette bobette qui affirme que ces attardés seront plus autonomes si on leur évite de devoir accepter de la nourriture de chez nous!
J’ai beau chercher, je n’arrive pas à tracer de trait d’union.
Splendide, vraiment! Les droits pour les uns, et les devoirs pour autres. Le devoir, en particulier de s’écraser et d’accepter ce genre d’avanie.
Je suis citoyen de ce pays, je gagne ma vie en travaillant, je paye mes factures et mes impôts, je ne commet pas de crimes, j’ai effectué mon service militaire jusqu’au bout, et je donne cent cinquante heures de mon temps bénévolement par année. D’où ma question: pourquoi je n’ai pas le droit à des repas gratuits?
Et plus généralement, pourquoi offre-t-on des privilèges à des personnes au seul motif qu’elles sont arrivés récemment dans ce pays au titre de (faux, parfaitement faux, intégralement faux) de réfugié et qu’elles sont issues d’un civilisation bien différente de la nôtre? Une civilisation totalement incompatible, d’ailleurs, vous n’avez qu’à voir ce qui se passe un peu partout en Europe, et en particulier en France, en Belgique, en Grande-Bretagne…
Je pense que les trop nombreux (merci aux autorités de la République et Canton d’accepter une telle masse de frontaliers!) chômeurs genevois vont bondir de joie en apprenant ce genre de nouvelle. Comme les working-poors, comme les retraités, comme les étudiants, comme les apprentis, etc.
Un signe de plus de la démence de la Pensée Dominante et Unique-car-seule-autorisée.
La SEULE vraie question à se poser aujourd’hui :
Est-ce que j’accepte de financer tout ça ? ? ?
Oui, je trouve ça génial !
ou
NON, PAS QUESTION !
Comme intégration, on ne fait pas mieux 🙁
Qui doit s’intégrer et à quelle société ?
Des repas gratuits, pour les migrants, mais payé par qui, je vous le demande.
Intégration douce en attendant que le pays leur tombe dans les mains grâce aux bisounours ignorants. Rencontré un ancien préfet hier qui n’avait jamais entendu parler de la taqqya. Ils sont encore (trop) nombreux comme lui …