9 commentaires

  1. Posté par AntiEU (Belgique) le

    Le pouvoir européen doit être destitué par la force, il faudrait créer une résistance organisée transnationale, la population devrait arrêter tous les dirigeants européens en s’emparent directement des bâtiments de la commission européenne comme le firent les roumains sous Ceaucescu et de les faire passer devant un tribunal populaire, c’est la seule solution, nous sommes en guerre contre le pouvoir. En attendant qu’un putsch de ce genre s’organise tous les dispositifs européens doivent être sabotés sans relâche comme lors de l’occupation nazie, tôt ou tard nous réussirons à virer cette racaille à l’usure.

  2. Posté par MichelSwiss le

    La tyrannie c’est: « Ferme ta gueule ! »
    La démocratie c’est: « Cause toujours… »

  3. Posté par Briamont le

    Bonjour à toutes et tous,
    J’ai fait partie d’un mouvement citoyens en Belgique qui avait réclamé un référendum citoyens, une sortie de la zone Europe et nous commencions à avoir de plus en plus de citoyens qui nous rejoignaient avec un député. Quand le gouvernement s’est rendu compte que le mouvement prenait de l’ampleur et que nous disions des vérités qui dérangent, les ennuis ont commencés, dénigrements farfelus, ensuite vu que cela ne tenait pas la route, menaces de mort, surveillance etc….La démocratie s’éteint peu à peu et je ne vois pas l’avenir sous des beaux jours, que du contraire! Ils ne veulent pas non plus des référendums car des malfaçons, escroqueries et bien d’autres actes physiques sans compter des dessous de table seraient mis à jour. Je suis pour le pacifisme mais à partir du moment ou des vies humaines sont en jeu, je crois qu’il est temps de nous faire comprendre autrement! Avec le mouvement dont chaque membre possède un certificat de bonne conduite sans condamnation, nous avons tout fait dans la légalité, enfin je veux dire leur légalité car à partir du moment que vous ne rentrez pas dans leur jeu, vous automatiquement soit un anarchiste, un délinquant et j’en passe. Il me semble qu’il est temps d’agir autrement si nous voulons retrouver notre liberté.

  4. Posté par toyet le

    L’europe…. la continuation du III ème Reich par d’autres moyens.A lire les livres d’ Antony Sutton

  5. Posté par P. Monnard le

    Unio Europaea delenda est

  6. Posté par Franz le

    Monsieur Windisch, dans sa structure actuelle, l’UE est presque copie conforme de l’idéologie dominante du IIIe Reich ou du communisme. Alors, agissons en fonction !

  7. Posté par Vautrin le

    Souvenons-nous de la Déclaration de 1789 : « le principe de toute souveraineté réside essentiellement en la Nation ». Par conséquent, le fait même de déléguer son pouvoir à des parlementaires, s’est s’exposer à être trahi. Car le vice du parlementarisme est de susciter une caste politique qui a ses intérêts propres, qui de surcroît est facilement corruptible par l’argent des groupes de pression (lobbies). Ces « parlements » et les castes qu’ils représentent s’emparent absolument du pouvoir, sous l’apparence fallacieuse de la démocratie parlementaire.
    Le mal est pire lorsqu’il s’agit de l’UE, qui gouverne par le biais de commissaires non élus et responsables devant personne, et d’un parlement qui n’est qu’une chambre d’enregistrement.
    La seule démocratie possible est la démocratie directe, où le peuple s’exprime par voie de référendum sur les lois fondamentales et organiques qui dirigeront son devenir. En dehors de cela, il n’y a qu’apparence de démocratie, en réalité non point « dictature » mais tyrannie.
    C’est parce que l’UE est un groupement tyrannique qu’elle déteste le référendum, car les tyrans savent que les peuples, sachant ce qui leur convient, votent assez généralement contre leurs projets néfastes.
    On l’a vu : l’Irlande vote « contre », un an après on l’oblige à revoter, et l’on était prêt à la faire revoter indéfiniment jusqu’à résipiscence. La France vote « contre » en 2005, un président traître fait voter un traité de Lisbonne par un parlement à sa botte. Nous voyons le résultat aujourd’hui !
    Les fourbes européâstres admettraient bien le référendum « consultatif », ça fait bien pour la galerie, mais ce n’est qu’une foutaise, puisque ce qui est voté dans ce cas n’a pas force de loi.

    On ne peut donc pas déclarer la démocratie en danger : elle n’existe pas dans cette URSS qu’est l’UE. Le problème est de la créer.

  8. Posté par Myrisa Jones le

    Quand on constate comment les votes, sur des sujets très importants, se déroulent au parlement européen, cela fait vraiment peur.
    Comme nous le savons la plupart des « fonctionnaires » viennent pointer et puis s’en vont. Et ceux qui restent pour voter sont sous « influence », politique ou financière, et obéissent à la voix de leur maître…
    Et dire que nous avons un Burkhalter, prêt à brader notre souveraineté et nous obliger à reprendre automatiquement le droit européen et ce genre de vote pitoyable!
    A ce rythme, quand une guerre sera déclarée à la Russie par les USA ( qui a besoin d’une grande guerre sur sol européen pour abolir sa dette magistrale…) quelques fonctionnaires européens prendront la décision de suivre, comme dans le coup d’état « dégeulasse » en Ukraine.
    Ainsi la Suisse, elle, devra soutenir l’effort de guerre d’une manière ou d’une autre, car la souveraineté et la neutralité auront été éliminée de fait, par en dessous et contre la volonté populaire.
    M Burkhalter est un homme extrêmement dangereux pour le pays, car il avance masqué sous ses airs faussement timide et mesuré… Il nous livre pieds et poings liés à ce genre de simulacre:

    Parlement européen : nouveau vote – mêmes erreurs
    13 mai 2016
    Le 12 mai 2016, le Parlement européen a adopté une résolution qui condamne les actions de la Russie en Crimée, démontrant ainsi son «analphabétisme historique», tout en faisant «une grave faute politique et morale», estime l’historien John Laughland.

    «Je n’ai aucun doute que toutes les personnes présentes dans cet hémicycle condamnent l’occupation de la Crimée par la Russie», entonnait Bronis Ropé, député lituanien, ouvrant la séance du Parlement européen du 12 mai 2016 qui a approuvé une résolution condamnant les actions de la Russie en Crimée.

    En réalité, le député européen s’exprimait devant un hémicycle vide. Parmi plusieurs centaines de sièges vacants était présent seulement la petite dizaine de députés qui voulaient intervenir dans le soi-disant débat, en réalité une pure mascarade de la vie parlementaire. Chacun de ces députés s’étant exprimés pendant les 60 secondes autorisées, et la résolution ayant été adopté sans vote, le Parlement européen a ensuite passé à autre chose, aux droits de l’homme en Gambie. C’était une parodie de la démocratie qui souligne le caractère profondément infantile de cette assemblée. Autant voter sur les conditions climatiques sur la lune.

    « L’appui démonstratif du Parlement européen aux Tatars de Crimée est donc incompatible avec la lettre et l’esprit de ces accords. »

    Le texte adopté ainsi – c’est-à-dire sans aucun examen, comme cela devrait pourtant être la règle pour tout texte émanant d’une législature – fait plus de 2 000 mots et se plaint de tout : de la situation des Tatars de Crimée dont les autorités viennent de fermer leur assemblée, le Mejlis, accusée d’activités extrémistes ; de l’annexion dite illégale de la Crimée par la Russie en 2014 ; et même de la situation de la «communauté LGTBI» dans la péninsule qui se serait dégradée depuis le rattachement de celle-ci à la Russie. Décidément, l’Assemblée de Strasbourg ne craint pas le ridicule.
    (…)
    https://francais.rt.com/opinions/20553-parlement-europeen-nouveau-vote-memes-erreurs

  9. Posté par Alain le

    Merci M. Windisch pour un éclairage toujours pertinent à propos de cette « hydre des profondeurs » .

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