Roger Nordmann, socialiste: «Mettre des limites» à Roger Köppel

Christian Hofer: Un article du Temps, qui focalise sur la forme tout en oubliant le fond. Une technique visant à détourner les yeux du problème que pose S. Sommaruga pour notre pays et le déni de démocratie que l'extension de la libre-circulation implique. Du "grand journalisme" qui donne la parole aux... adversaires de l'UDC. Et rien qu'à eux! Celle qui provoque la colère populaire n'est aucunement remise en question.

Évidemment, si ce n'est du racisme ou de l'homophobie, il reste la pitoyable excuse du sexisme. Il faut bien inventer quelque chose pour cacher les problèmes engendrés par notre pécore nationale. Bref une rhétorique 100% gauchiste/féministe qui place Simonetta Sommaruga dans un rôle de victime. Sortez vos mouchoirs.

On appréciera la réaction du PLR Portmann, qui ose parler de propos indignes en ciblant M. Köppel mais qui n'hésite pas à traiter le peuple comme un animal dans son discours, avec le fameux mantra du combat contre la "haine" et la "peur". Bien entendu, Portmann peut diaboliser Roger Köppel sans aucune retenue, usant de la même peur qu'il reproche à l'UDC.

Quant à la réaction immature de Sommarga, son mensonge grotesque, son humiliation publique, l'image que cette femme a donnée à la Suisse sur le plan international, ils ne sont guère évoqués. La machine médiatique doit impérativement effacer les mémoires et inscrire dans l'esprit du lecteur une seule vision: le rejet de l'UDC.

Pétition en faveur de la démission immédiate de S. Sommaruga à télécharger ici.

******

(...)

Attaquée dans une tirade à relents sexistes par l’UDC zurichois Roger Köppel, la ministre de la Justice Simonetta Sommaruga avait quitté la salle, le groupe socialiste la suivant peu après pour marquer, comme elle, sa désapprobation.

Dans Le Matin Dimanche, le chef du groupe parlementaire socialiste, Roger Nordmann, explique sa position et celle de la conseillère fédérale: «Roger Köppel a attaqué Simonetta Sommaruga au dessous de la ceinture, un acte symbolique était nécessaire pour montrer qu’il y a des limites à l’indécence», explique le Vaudois. (...)

Dans le SonntagsBlick, le conseiller national PLR zurichois Hans-Peter Portmann prend aussi la défense de la conseillère fédérale. Il juge «indignes» les attaques de Roger Köppel contre la ministre de la Justice, explique qu’elles empoissonnent le climat au sein du bloc bourgeois et le divisent. Après avoir qualifié une première fois les propos de l'UDC d'«indignes» sur une télévision locale alémanique mercredi, il indique avoir reçu des messages de haine et d’insultes. Hans-Peter Portmann reproche à Roger Köppel d’encourager les plus bas instincts avec ses discours démagogiques, qui «sèment fureur, haine et peur chez les personnes instables ou sujettes à l'extrémisme».

La SonntagsZeitung en revanche cite anonymement des politiciens critiques envers l’attitude de la conseillère fédérale qui donne une »plate-forme» à l’UDC.

Source

27 commentaires

  1. Posté par RealrecognizeReal le

    Il faut lancer un crowdfunding pour financer des chaises percées à tous les socialistes.

  2. Posté par Le pragmatique le

    On ne peut pas lui donner le département des sports et de la trottinette afin qu’elle arrête de nuire au pays.

  3. Posté par bigjames le

    Certains se sont mis des limites malheureusement.
    Nos deux CF UDC sont inexistants. Pitoyable.

  4. Posté par Cédric le

    J’adore le socialisme. Ça me rappelle la pub Canada Dry. Ça a la couleur de la merde, le goût de la merde… Normal c’est de la merde !

  5. Posté par Philippe le

    Il est normal que quelqu’un de borné cherche à mettre des limites…

  6. Posté par Peyhem Veys le

    Il faut bien que les socialistes cherchent à limiter les autres, car leur connerie à eux, est sans limite…..

  7. Posté par top gun le

    Il y a trois jours, j’ai rencontré un ami qui a toujours voté PLR!
    Eh bien il m’a dit Basta, à bas les masques, je suis dorénavant à l’UDC! Puis il enchaîne et me dit que le socialisme devrait être interdit en suisse! Il était entrepreneur (à la retraite maintenant) il est dégoûté par son ancien parti et par le parti destructeur des nations (PS). Il enchaîne en me disant: une chose est sûre, jamais nous ne saurons ce que Sommaruga a traficoté dans notre dos à Bruxelles!? Avec Nordmann le virulent et Levrat le Stalinien, ils sont tous du même tonneau, celui qui donne de la piquette et qui pue et du tord boyaux. Salut l’ami à la prochaine…

  8. Posté par Vautrin le

    Pôvre Sommaruga ! Comme tout le monde pas socialiste est méchant avec elle ! Heureusement qu’il y a à Bruxelles des gens qui l’aiment, sans cela ça ne serait vraiment pas juste ! Personne n’a songé à lui donner une coquille d’œuf pour couvre-chef ? C’est plus seyant qu’un entonnoir, tout de même !

  9. Posté par Marcassin le

    « il y a des limites à l’indécence »
    De quel côté de ces limites se situent l’irrespect des citoyens et de la Constitution ?

  10. Posté par Pierre H. le

    Nordmann et le socialisme sont vraiment révoltant ! Ils font vraiment envie de vomir ! Ces gens se prennent pour des dieux ! Il n’y a aucune raison de combattre démocratiquement des suppôts de la dictature. Il faut les mettre par la force au ban de la société, eux et leur idéologie destructrice. On ne va pas respecter les règles de la boxe quand on sait que son adversaire a du plomb dans ses gants !!!

    « Il n’y a aucune différence entre le communisme et le socialisme, excepté dans les moyens pour atteindre le seul but et même but ultime : le communisme réduit l’Homme à l’esclavage par la force, et le socialisme par le vote. C’est à peu près la différence entre le meurtre et le suicide »

    –Ayn Rand

  11. Posté par Paul le

    Il nous faudra bientôt reprendre les institutions par la force.

  12. Posté par Jeferson le

    L’aveuglement idéologique n’a pas de limites. L’attitude de Roger Köppel était correcte, il a fait son travail de parlementaire, ce pour quoi il a été élu. Du côté de Stalinovna Pipiruga par contre, on ne peut pas en dire autant.
    Que ces socialopes nous expliquent d’abord ce qu’ils sont allés faire tous ensemble aux toilettes. Avaient-ils besoin de papier pour rédiger leurs communiqués merdiques?
    A force de défendre la gôche contre vents et marrées, la presse romande perd toute crédibilité. Il n’y a aucun intérêt à s’abonner à un organe de propagande. Il est temps que la droite et le centre relèvent la tête et lancent un vrai quotidien, neutre, documenté, avec un vrai contenu journalistique, argumenté. Je suis certain qu’il y aurait une clientèle. Ne serait-ce que tous les déçus des journaux actuels.

  13. Posté par G. Vuilliomenet le

    Je me tâte par ailleurs à envoyer à ce nordmann un de ces sachet pour merde de chien accompagné d’un petit carton où il serait écrit
    « VIVE LA LIBERTE D’EXPRESSION
    A BAS LES NAZILLONS »

  14. Posté par Olivier-Pierre le

    Regardez la gauche française et tout est dit. Valable aussi pour la Suisse.

  15. Posté par aldo le

    @aldo le 2 mai 2016 à 09h55
    Conclusion von Sommaruga touche une double paie, au C.F. plus au service du bailli Europe. Avec 800’000.- à 1 millions de CHF par année, elle ne démissionnera jamais !!!!

  16. Posté par Christian Hofer le

    @ M. G. Vuilliomenet

    J’ai eu la même réaction que la vôtre. Il est bien clair que ces gens de droite ont peur désormais. Et c’est ce qui se passe dans un état totalitaire. Les socialistes n’ont su faire qu’une seule chose: se revendiquer défenseurs de la liberté tout en pratiquant son exact contraire.

    Et ce Hans-Peter Portmann ose prétendre que les « attaques » de M. Köppel empoisonnent le climat alors que les opposants de droite n’osent plus parler librement !!! Vous avez ici la différence entre la propagande et la réalité.

    D’autre part, le Temps arrive à écrire 2 paragraphes 1/2 bien consistants pour défendre S. Sommaruga et laisse pitoyablement 1 phrase en fin d’article pour évoquer vaguement la partie adverse.

    Mais franchement, on va continuer ce cirque longtemps avec ces médias?

  17. Posté par Aude le

    M.Nordmann pas étonnant….et l’esprit académique…où est-il?
    Dites donc est-ce qu’il a été demandé aux socialistes de poser des limites quant à leurs attaques systématiques contre l’UDC…? Et je ne suis pas membre de l’UDC.
    Mr. Nordmann, nous sommes sensés vivre dans un pays démocratique où la liberté d’expression et d’opinion sont privilégiées…et qui plus est en débat démocratique en session fédérale.
    Le parlement suisse est avant tout législatif. Tout élu de celui-ci est en droit de contester ou de favoriser une loi en gestation. Dans le cas de figure, Mr.Köppel rempli parfaitement son rôle. Sa critique envers la CF Sommaruga porte sur sa manière de traiter le dossier de l’immigration et la conception de cette loi sur l’asile. « Dire à Mme Sommaruga qu’elle traite ce dossier de manière légère…n’est pas une insulte…mais une critique…
    Dans le passé, le parti socialiste a été insultant envers l’UDC tout autant d’ailleurs qu’avec le peuple….parlant de fachistes, d’Hitler, de racistes….et j’en passe…
    Par contre, ce que le peuple n’accepte plus de la part des gouvernants…ce sont les mensonges à répétition….DIRE LA VERITE…EN POLITIQUE…..NE DOIT PAS ETRE SANCTIONNE PAR DES LIMITES ABUSIVES
    Le parti socialiste suisse est le « copié-collé » du gouvernement français actuel…
    Limiter autant que possible la « Liberté d’expression et d’opinion »…
    Raison pour laquelle la France se ramasse un pointage désastreux dans ce domaine, au niveau mondial, soit au même titre que le Botswana….dans le 40e et pico du classement effectué par « Reporter sans frontières »….lamentable.
    Nous ne voulons pas de cette « soft-dictature » en Suisse.

  18. Posté par Pierre H. le

    C’est à Nordmann et à ses socialistes qu’il faut mettre limite quant-à leur pouvoir de nuisance ! Allez Monsieur Köppel profitez que l’ennemi (on ne peut pas parler d’adversaires avec les socialistes) soit dans les cordes ! Après le crochet du droit, un uppercut pour le mettre KO définitivement !

  19. Posté par Alain le

    M. Köppel a mis des limites au dictat du PS !

  20. Posté par G. Vuilliomenet le

    « La SonntagsZeitung en revanche cite anonymement des politiciens critiques envers l’attitude de la conseillère fédérale qui donne une »plate-forme» à l’UDC. »

    ANONYMEMENT!

    Intéressant non? Cela me laisse assez perplexe sur cette imposture d’une Suisse magnifique modèle de démocratie!

    C’est sérieusement à vomir de penser que des politiciens n’osent même plus s’exprimer librement sans risquer la vindicte élites auto-proclamées.

  21. Posté par Pierre Steiner le

    L’intervention de Roger Köppel était parfaitement factuelle dans ses arguments et nullement ‘en dessous de la ceinture’ par sa forme. Simonetta Sommaruga n’avait aucun argument valable à faire valoir. Si cette personne avait un minimum de compétence politique elle aurait attendu la fin de la prise de position de RK et aurait répliqué. Cela se fait partout dans les parlements. Elle a préféré prendre la fuite. Cela prouve son manque de confiance en elle-même et surtout qu’elle n’est pas faite pour ce job. Une personne qui se dérobe à ses responsabilités n’a rien à faire au Conseil Fédéral. Quant à la forme du discours de RK il suffit de visionner sur Youtube les interventions de Nigel Farage à Bruxelles pour constater que Jean-Claude Junker ne quitte jamais sa place en l’écoutant et pourtant Farage c’est du dur !

  22. Posté par aldo le

    @aline le 2 mai 2016 à 09h01
    Les compères Nordmann et Le(v)rat ont décidé que c’est eux qui remplacent la Constitution. C’est le syndrome des fascistes internazis qui transpire dans toutes l’Europe. Ce matin à FranceInfo nous impose depuis 2014 Fabienne Sintès, une pétroleuse de l’extrême-gauche. Pour chaque problème, elle ne s’adresse pas aux intéressés, mais au syndicat de… A croire que les journalistes touchent de plusieurs côtés pour nous imposer la dictature des fascistes internazis et pour la RTS et son rabatteur Billag ça sort du même tonneau.

    Quitte à ne pas laisser le monopole de l’agitation aux fascistes internazis, il faudrait que l’UDC offre à Madame von Sommaruga une chaise à porteur trouée pour ses besoins les plus pressants avec une lunette bleue et des étoiles d’or. Un trône bien en rapport avec ses jérémiades pro-réfugiés non par pragmatisme mais uniquement pour cracher sur l’UDC, puisqu’elle ne représente plus le Peuple suisse, mais le bailli totalitaire de l’Europe.

  23. Posté par G. Vuilliomenet le

    Tiens! Ces socialopes montrent leur vrai visage, mélange d’hitlérisme et de stalinisme!

    Ce sont vraiment des crevures.

    VIVE MONSIEUR KÖPPEL!

    VIVE LA LIBERTE D’EXPRESSION SURTOUT QUAND ELLE EMMERDE CES NAZILLONS!

  24. Posté par aline le

    Afin d’éviter que le CN devienne définitivement un atelier protégé, nous avons besoin des personnes comme M. Köppel. Le moulin à paroles Nordmann et le cracheur Levrat font beaucoup de bruit inutile, mais n’apportent aucune solution.

  25. Posté par S. Dumont le

    Les partis politiques et la presse défendent à grands renforts notre pianiste fédérale SS, comme tout ce qui vient de gauche. Alors laissons ce parti se perdre dans leurs innombrables incohérences, comme c’est le cas pour la libre circulation des personnes.
    Incapable de sortir de son idéologie et de faire face aux problèmes du terrain, (terrorisme, sécurité, flux migratoire, etc), ce parti n’est plus crédible.

  26. Posté par Christian Hofer le

    Comme l’évoque Nicolas Daïna, le sens commun s’indigne des propos de Roger Köppel alors qu’il était demeuré silencieux lorsqu’un des leurs placardait une croix gammée pour qualifier l’initiative pour la mise en œuvre effective du renvoi des criminels étrangers.

    ***

    On est dans une inégalité de traitement tellement choquante qu’elle dépasse l’entendement. On peut traîner dans la boue la Suisse pour des criminels mais on ne doit surtout pas s’offusquer d’une Conseillère fédérale qui autorise l’expropriation ou la violation de la constitution.

  27. Posté par Jules Bolomey le

    Il est affligeant de constater que la gauche s’offusque quand elle mise face à ces faiblesses, pour ne pas dire mensonges …

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